Vous avez apprécié à leur juste valeur Mohamerd Merah, Mehrdi Nemmouche, les frères Kouachie, Amerdy Coulibaly, Sida-Mehrd Ghlam et compagnie? Eh bien le petit dernier, Yassine Salhi (slamiste) , ne dépare pas dans le paysage. Un beau spécimen, celui-là, pas très malin certes mais audacieux, habile de ses mains, déterminé, prêt à tous les sacrifices pour plaire à Allah et accéder un jour aux jolis jardins sous lesquels coulent des ruisseaux ainsi qu’à ces délicieuses houris aux grands yeux noirs, réservées en priorité aux martyrs; surveillé d’un œil distrait, comme tous les dangers potentiels de son espèce, par une République attentive à ne froisser personne, surtout pas nos « Jeunes » issus des quartchiers sans cible et des allocations familiales réunis. Un bon garçon, somme toute, Yassine, né à Pontarlier en 1980, pendant les derniers soubresauts de Giscard, le concepteur éclairé du regroupement familial. Français par droit du sol, donc, et fier de ne l’être que pour cela, ce brave garçon porte barbe et arbore djellaba…un musulman ordinaire quoi, comme dit sa tendre épouse, un bon papa de trois morpions subventionnés qui effectue son ramadan bien comme il faut, infiniment attentif à la stricte observance des prescriptions Coraniques, respectueux à bloc et plein de soumission, voilà tout. Bien sûr il s’apprêtait à faire péter toute une usine bourrée de produits hyper-explosifs après avoir consciencieusement découpé le cou de son patron afin de pouvoir en accrocher la tronche à la barricade…mais bon, n’y voyez surtout pas malice, il s’agissait d’un mécréant, comprenez vous, le genre de zigomar à bouffer du saucisson en plein jeûne! D’accord il ne discriminait pas à l’embauche, Hervé, sans quoi il vivrait toujours, mais est-ce une raison pour blasphémer à ce point? Je vous le demande! Quoi qu’il en soit, comme dit Vallsounet, une seule question : à quand le prochain? Nous allons devoir nous habituer aux attentats comme nous nous sommes accoutumés à tout un tas de bizarreries incongrues, le halal, les fatmas voilées, les prières de rue, le ramadan, les mosquées, les barbus, l’accent arabo-banlieusard, le rap, le slam et les bagnoles qui brûlent la nuit, bref à cette sorte d’insensible transformation des mœurs par laquelle nous ne sommes déjà plus tout à fait des européens. Sachant la considérable influence exercée dans les quartiers muz par les mosquées salafistes, de plus en plus nombreuses et de mieux en mieux organisées face à l’invraisemblable passivité des pouvoirs publics, ce sont des dizaines de milliers de merahs en herbe et de salhis en devenir qui se préparent à nous éliminer petit à petit, par tous moyens…la valise ou le cercueil, nous avons déjà connu ça, dans le temps…pour nos descendants ce sera sans doute la Shahada ou l’envol vers d’autres cieux…on récolte toujours ce qu’on sème, pas vrai? Nous autres, nous avons préparé une grande plantation de Chances pour la France…ça pousse drôlement bien, ces truc-là, suffit de ne pas se montrer trop regardant sur l’engrais…
Quant à la Tunisie, elle nous explique clairement la recette pour bien accommoder les musulmans fanatiques. Il n’y a pas trente six méthodes, la seule qui marche ça reste la démocratie. Des trois pays Maghrébin qui constituèrent jadis la fine fleur de l’implantation française en Afrique, le seul qui connaisse le bordel islamiste c’est la patrie bien aimée de Habib Bourghiba, de Michel Boujenah et de Bertrand Delapédale (noé, excusez moi). L’Algérie dès les années 90 avait compris l’astuce : fermer sa grande gueule au suffrage universel. Moyennant quoi le pays ne connaît plus les attentats, il se contente de les exporter! Je ne vous parle même pas du Maroc où Sa Majesté Commandant des Croyeurs (ou Commandeur des Croyants, c’est pareil) se charge lui même de l’intermédiation avec la Puissance Divine et ses appendices; du coup personne n’ose se mettre au milieu et les rares fois où la chose se produisit les coupables, voués à l’enfer, servirent de repoussoir et sûrement pas d’exemple. Ne reste donc que la jolie République Tunisienne, pionnière des « Printemps Arabes », pour s’offrir à tout bout de champs des massacres d’infidèles propres à décourager les touristes les plus attachés à sauver la Tunisie et ses séjours à prix cassés. Après le Musée du Bardo, la tuerie de Sousse vient à propos nous rappeler la règle d’or : pour échapper aux kalachnikovs des Muz Fondamentalistes, l’Occidental se doit d’éviter les pays qui se baladent avec leurs valeurs républico-démocratiques en bandoulière, comme la Tunisie… ou la France. Et tout cela sent de plus en plus mauvais pour ce qui nous concerne. La Tunisie privée des ressources du tourisme, viendra pire encore dégueuler sur nous son trop plein de jeunes-hommes pleins d’appétits de toute nature! Vous me direz qu’au point où nous en sommes, cela ne changera plus grand chose…oui mais quand même, elle a bien assez de Chances comme ça, la France, faudrait peut être commencer à envisager d’en laisser un peu aux copains!
Cela dit, ce n’est pas que je m’ennuie en votre compagnie mais je m’en vais tout de même vous laisser. Ce genre de sujet tourne carrément au cauchemar, je m’en voudrais de vous troubler le sommeil…et n’ayant aucune envie de vous parler de taxis ou de referendum grec, le mieux pour votre serviteur consiste à espérer des jours meilleurs la semaine prochaine…l’espoir fait vivre…
Amitiés à tous.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN