C’est du belge!

On pourrait au moins nous reconnaître le statut envié de lanceurs d’alertes, à nous autres qui, depuis plus de quarante ans, inlassables cassandres, dénonçons sur tous les tons les dangers désormais hélas trop évidents, d’une invasion musulmane consentie pour notre compte par les ineffables ordures qui nous gouvernent. Hé bien pas du tout, au contraire! Juste au moment où une bande de salafistes fait péter, au nom d’Allah Le Miséricordieux, tout ce qui passe à leur portée entre Paris et Bruxelles, nos chères Élites trouvent le moyen de diffuser une série de petits films de merde visant à dénoncer, avec la délicatesse pachydermique qui caractérise les bobo-gauchiards, un soi-disant racisme anti-muz qui, paraît il, ferait des ravages dans notre jolie société si paisible. Vous avez d’un côté les grandes vedettes, ces beurs-kamikazes issus, soit des allocations familiales soit du regroupement du même tonneau, avec, à leur traîne, les obscurs, les sans-grade, les délicieux « jeunes » de nos banlieues dealers de drogue, violeurs de filles et tortionnaires, à l’occasion, de petits blancs isolés (voir par exemple http://onefoutus.over-blog.fr/article-la-figure-comme-le-cul-121034991.html ) et de l’autre côté nous autres, les nauséabonds, les sales fachos-racistes, identitaires, extrême-droitistes, nazis même tant qu’on y est, qui rappelons si honteusement les heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire et qui, à chaque détour de phrase, risquons la condamnation pour délit d’incitation à la haine raciale. Rien n’a changé, tout reste pareil, immuable, on se demande bien ce qui pourrait se passer pour qu’enfin on nous reconnaisse un tout petit minimum de jugeote au lieu de continuer à nous chier et à nous pisser dessus avec une inépuisable persévérance.
Pour ce qui me concerne, en toute modestie et juste pour illustrer le propos au moyen d’un exemple concret, je ne dis aucun mal des Musulmans, ils peuvent musulmer -comme disait notre chère Dixie- autant que ça leur chante, je m’en fous éperdument, ce sont leurs oignons pas vrai… mais à la condition expresse qu’ils nous foutent une paix aussi royale que celle que je leur laisse moi-même, voilà! Hélas, quand le Mahométan musulme il s’arrange pour que ça se voie et n’a rien à foutre des dégâts collatéraux; pour peu qu’il pousse le fanatisme un peu plus loin, il commence carrément à nous massacrer ainsi que cela s’est déjà produit à plusieurs reprises depuis 1995 et prend désormais une tournure systématique laissant présager des lendemains de plus en plus sanglants.

Alors bon, je veux bien admettre que l’immense, enfin la grande… bon disons la majorité de ces gens-là se révèlent inoffensifs à l’usage… on va dire ça… mais reconnaissez tout de même l’énorme quantité d’emmerdements que nous aurions évités s’ils s’étaient contentés de musulmer chez eux, de l’autre côté de la Méditerranée, délicieux pays d’où ils nous virèrent jadis comme des malpropres… à juste titre sans doute car nous n’avions pas plus à faire chez eux en ces temps lointains qu’ils n’ont à faire chez nous ici et maintenant. Et au lieu de cela, vu qu’après le rapatriement des colonisateurs survivants les autochtones se mirent à claquer du bec devant leur gamelles vides, nous les incitâmes à venir chez nous, d’abord pour y travailler ce qui à la rigueur pouvait s’admettre et ensuite carrément pour s’y installer et y faire souche moyennant rémunération proportionnelle au nombre d’enfants engendrés.
A partir de ce moment-là les vrais emmerdements commencèrent à nous choir sur la gueule. Dès le début des années quatre-vingts les moins futés d’entre nous avaient déjà constaté les conséquences funestes d’une situation s’aggravant en permanence sous leurs yeux effarés. Il eût alors fallu prendre des décisions drastiques à fin d’y mettre un terme définitif quitte à choquer les bonnes âmes et à essuyer une tempête médiatique au titre de laquelle « Le Monde » eût fait figure de Neptune en furie… au lieu de cela nous élûmes Mitterrand et sa cohorte de Socialos. La cause était entendue! La situation perdura jusqu’au quasi-irréversible. Peut être aurions nous pu encore, lors de l’arrivée au pouvoir de Chirac voici plus de vingt ans, tenter d’endiguer quelque peu un raz de marée qui prenait par surcroît l’effrayante figure de Khaled Kelkhal, mais le Président n’en manifesta nulle intention.  L’habile manœuvre qui conduisit ce dernier à dissoudre l’Assemblée Nationale nous infligea alors un lustre supplémentaire de socialisme jospinien qui ajouta la CMU et l’AME à la panoplie des avantages offerts à tout envahisseur tant régulier que clandestin. La partie se trouvait ainsi définitivement perdue et ce ne sont ni les cinq années de chiraquisme socialisant issus du second tour de Mai 2002, ni le grotesque quinquennat de Sarko avec son kärcher enrhumé, qui eussent pu se révéler susceptibles de remettre un tant soit peu les pendules invasives à l’heure. Aujourd’hui, de toute façon le mal est fait et bien fait, une proportion considérable et fortement croissante de la population confesse la religion de Mahomet, en conséquence de quoi aucun retour en arrière n’apparaît plus possible. La République, forte de sa connerie congénitale et de ses illusions béates, s’imagine encore qu’au moyen d’une laïcité bien comprise et grâce à ses sacro-saintes Valeurs elle parviendra un jour ou l’autre à ressouder la Nation en un ensemble harmonieux et apaisé tel que nous le connûmes peut être quelques temps après la fin de la dernière guerre mondiale…. tiens fume, c’est du belge! voilà bien le cas de le dire.

On ne nous a pas écoutés, on nous a couverts d’opprobre, méprisés, calomniés, condamnés, médiatiquement exécutés.  Le résultat est là, rien à ajouter!
Alors ils ont bonne mine nos politico-médiatiques, justement, de se foutre de la gueule des malheureux Belges qui se sont bornés à suivre notre exemple… les Lumières vous savez… Nous ne tarderons pas à dénombrer, dans les faubourgs crasseux de nos villes, des centaines de Molenbeek toutes prêtes à produire de petits djihadistes bien décidés à exploser au milieu des foules innocentes, juste pour rejoindre au plus vite le beau jardin d’Allah et les soixante douze vierges aux grands yeux noirs qui les y attendent.Dommage qu’on ne les ait jamais écoutés les Nauséabonds, à croire que le Bien-Pensant, quand il se pince le nez, en profite pour fermer les yeux et se boucher les oreilles… il a la main vaste et le bras long, faut dire…

Joyeuses Pâques, il nous reste encore Lundi et les yeux pour pleurer.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

Décadence et effondrement

Hier, pendant que les media enthousiastes célébraient tous en cœur l’arrestation apothéotique de ce petit trou du cul de Salah Abdeslam, celui dont la notoriété atteint désormais les sommets, avec à la clé un avenir brillantissime au moins dans la littérature, Hollandouille commémorait pour sa part le déballonnage honteux de la France Gaullienne en Algérie. Ce faisant, ce faisan crachait une nouvelle fois à la gueule des copains un peu plus âgés que moi contraints de risquer leur peau dans un conflit dont ils n’avaient que foutre et qui finit en eau de boudin. Ce triste sire conchiait par la même occase tous les braves Français de là bas -dis- qui plaçaient si naïvement leur confiance dans une République sans honneur, insoucieuse même de les défendre face à un ennemi vainqueur sur le tapis vert et résolu à casser un max de Pieds-Noirs ainsi que de Harkis, ces derniers apparaissant comme les plus baisés de tous…ils auraient mieux fait d’observer ce qui s’était passé quelques années plus tôt dans la campagne indochinoise…le pays des Droidlom apparaît coutumier du largage sans parachute des pauvres couillons qui croient en lui. Vive la République, vive la France!
Sans honte, donc, le Chef de l’État s’en est allé draguer, dans sa quête éperdue de suffrages potentiels pour 2017, les voix de tous ces « français » descendants de nos ennemis FLN qui, par la grâce des allocations familiales, constituent le peuple innombrable de nos banlieues merdeuses. Passe leur toujours de la pommade! Flatter la fierté patriotique de ces braves Algériens bizarrement affublés d’une nationalité surnuméraire autant que saugrenue -la nôtre- c’est peut être en récupérer un sur dix qui se rendrait aux urnes histoire de niquer la France par le biais de son big boss au pantalon tire-bouchonné sur les godasses… Rigolez pas, un sur dix ça fait déjà assez de monde pour lui sauver la mise au premier tour! Alors hein, les vieux kroumirs, anciens cons-battants, rapatriés de 62, tout ça qu’est-ce qu’on en a à foutre? De toute façon ça vote FN ce genre de perdreau, alors qu’ils crèvent, la Démocratie leur pisse à la raie! Et ne croyez pas que je débloque, le raisonnement est exactement celui-là, à la virgule près. Si vous espérez trouver un minimum de noblesse dans le comportement des gouvernants, alors il faut changer de pays, ou d’époque…voire les deux. Ici et maintenant on fait dans l’efficacité, M’sieu Dame, sinon pourquoi qu’on irait toucher au point d’indice des fonctionnaires, pas vrai? Une réélection ça n’a pas de prix et il fine giustifica i mezzi comme disait ce cher Machiavel dont la justesse de vue ne s’est jamais une seule fois démentie…sauf qu’on ne cherche même plus à justifier: la pute ne se justifie jamais, à quoi bon?

Moyennant quoi, juste pour essayer d’assurer le coup d’une hasardeuse prolongation de bail à l’Elysée on lâche tout. Par exemple la loi El Konnerie dite « Loi Travail », laquelle à force de compromissions avec l’extrême-gauche finit par tellement ressembler au bordel préexistant qu’on ne voit plus très bien pourquoi on la soumettrait au vote auguste des Parlementaires… mais oui, on voit très bien au contraire, le texte en question sera voté, juste pour éviter à Petit Caudillo de passer totalement pour un con…l’espoir fait vivre. Il pourrait en être de même, d’ailleurs, pour la fameuse « révision constitutionnelle » chère à Président-Ubu : vu que la déchéance de nationalité il va pouvoir se la carrer où je pense en guise de suppositoire, son seul espoir consiste désormais à soumettre au Congrès de Versailles un petit truc sur l’état d’urgence, juste pour dissimuler sous la tapisserie d’Aubusson la foirade lamentable d’une opération à la mords-moi-le-noeud telle que ces pauvres cloches nous en fabriquent une par semaine, au bas mot, depuis 2012. Au fond, vous savez, quand on gouverne dans le seul but de conserver le pouvoir coûte que coûte, ça se voit tellement que le plus abruti des électeurs finit toujours par s’en apercevoir. Mais bon, de toute façon pourquoi voudriez vous qu’ils gouvernassent, ces gens? Ils se trouvent là pour se fabriquer leur fromebock et non pour se mettre au service des intérêts du Pays, faut pas déconner c’est pas compatible. Pour sortir de ce merdier il nous faudrait un bon dictateur, celui-là au moins se sentirait concerné…oui mais alors la Démocratie, les Valeurs de La République, les Droidlom, tout ça, on en ferait quoi, je vous le demande? Ben oui, naturellement… jamais nous ne transigerons là dessus, dussions-nous en crever! Alors pas de problème : crevons!

Sans compter que par dessus le marché il y a l’Union Européenne. Alors là ça dépasse tout ce qu’on aurait pu imaginer de plus tortibigondolé même dans les songes les plus psychédéliques de politicards schizophrènes. Nous atteignons le moment où les ficelles apparaissent si emberlificotées que nul ne sait même plus qui les tire. On croyait que la grosse Angela les tenait bien en main jusqu’au moment ou Draghi a commencé doucement à tirer de son côté… grande merveille quelque chose est venue! Bon on ne sait pas trop quoi mais tout de même, l’EURO en a pris un coup sévère dans la gueule contrairement aux espérances teutonnes; et nonobstant que nul n’en ait vraiment constaté les effets bénéfiques -au contraire- l’évènement a eu lieu, c’est y pas l’essentiel? Pareil avec la « crise des migrants », en voilà une belle affaire! Vous avez la Dame Merkel, l’été dernier, qui décide d’ouvrir les bras à tous les « réfugiés » susceptibles de venir apporter à la Germanie une force de travail low-cost et corvéable à souhaits (comme quoi les illusions à la con ne constituent pas une exclusivité hexagonale) et ensuite, non seulement on constate les dégâts à Cologne mais encore l’Autriche et les pays de l’ex-bloc soviétique s’accordent pour fermer les frontières, au besoin en montant des murs, comme à Berlin au temps du communisme triomphant! Et tout à coup, à cause de la minuscule Macédoine qui décide de se claquemurer de la manière la plus hermétique, la Grande Deutchland Über Alles s’incline là encore et, en catastrophe,  prend volens-nolens la tête d’une entreprise visant non seulement à interdire l’entrée de l’Europe aux malheureux fugitifs mais encore à réexpédier purement et simplement en Turquie ceux qui seraient parvenus jusqu’en Grèce. Du coup on discute le bout de gras avec les sbires d’Erdogan et on finit par tout lâcher, à commencer par les milliards d’Euros, pour arriver à leur faire digérer la combine. Ils vont aussi pouvoir se pointer chez nous sans visa, nos copains Ottomans! Même s’il se raconte que Hollandouille aurait lourdement insisté pour y mettre des conditions un peu dures à réunir, il reste que bientôt le simple passeport turc permettra l’entrée dans l’Espace Schengen…le faux passeport turc aussi, je suppose… c’est con pour les Passeurs, ça, y a de la reconversion dans l’air!

Comme quoi finalement ce qui devait arriver arrive, drapés dans tous nos radieux principes issus des Lumières, nous sommes parvenus à créer un bordel pire que tout ce que nos ancêtres révolutionnaires, anarchistes, libertaires, socialistes, communistes voire trotskystes auraient pu imaginer dans leurs délires les plus débridés. Un bouzbir inextricable avec des dirigeants qui ne dirigent plus, des responsables qui ne répondent jamais de rien, des gouvernements ingouvernables, des unions au sein desquelles chacun tire à hue et à dia et des Humanitaristes dont l’essentiel de l’action à consisté à installer chez nous des hordes de criminels fous-furieux débarqués directement du haut moyen-âge. Comme disaient les excellents Intellectuels de Gauche d’Outre-Quiévrain à propos de Molenbeek : « laissons les donc s’installer là et vivre en toute liberté selon leurs idées et leurs coutumes, nous verrons bien ce qui se passera »… ils ont vu et nous aussi…les victimes, en revanche, ont cessé de voir quoi que ce soit. Devant pareil résultat quelles conclusions tirons nous? On pourrait envisager par exemple de rechercher les causes afin de poser un diagnostic et envisager un traitement curatif avant que le malade ne crève une fois pour toutes…mais que non point, pensez vous, on continue allégrement en se foutant pas mal du tiers comme du quart du gouffre insondable vers lequel nous nous précipitons! Et quand vous avez un clampin qui tire le signal d’alarme en proposant quelque chose pour tenter de nous sortir du pétrin, on s’empresse de lui cogner dessus à bras raccourcis afin qu’il ferme sa sale gueule et que tout continue comme devant, sans rien changer, surtout pas! Quand on possède la vérité révélée, la contestation on la tient en absolue horreur! Et ce n’est pas vrai que sur le Vieux Continent, c’est bon pour tout l’Occident, regardez donc ce qui arrive à l’ami Trump : propos mal pensants et délit de sale gueule, donc interdit de démocratie le mec, abhorré de tout le monde, exclus, viré, débarqué…ils finiront bien par l’avoir, d’une façon ou d’une autre, vous verrez, hélas, c’est Hillary (jaune) qui finira sur l’ex-trône de son époux roi du cigare à moustaches.Finalement il m’est de plus en plus sympathique ce gros Donald, un homme sur lequel tout ce qui pense comme il faut crache et pisse à qui mieux-mieux ne devrait pas être si mauvais après tout!
En tout cas, dites vous bien que nous n’en sommes encore qu’à la décadence, l’effondrement c’est pour bientôt mais bien malin qui pourrait en prédire la date précise… alors profitons-en tant que ça dure!

Amitiés à tous.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

Le fantôme de Mc Carthy

En démocratie le candidat c’est comme le cholestérol, y a le bon et le mauvais.
Par exemple, tenez, vous avez les fameuses primaires amerloques, avec leurs meetings gigantesques, leur petits caucus et leurs gros cocus, aussi, Trump et ses supporters notamment. Ce brave Donald apparaît depuis le début comme une sorte de paria, mal vu des politicards de tout poil, vilipendé par les media et cependant largement victorieux dans un paquet d’États alors même que la toute-puissante doxa politiquement-correcte le voyait retomber au fond de la poubelle de l’Histoire avant d’avoir eu le temps d’en sortir la tête. Non mais qu’est-ce que c’est que ce gros rigolo plein de poils de carotte, à moitié sinoque, mal fagoté, mal embouché, malséant, mal-pensant, qui prétendrait poser son sale derche dans le fauteuil encore tout chaud du divin postérieur de Barack-Hussein? Digne représentant de ce qui se fait de plus laid, de plus ignoble et de plus nauséabond dans l’espèce humaine et, par surcroît pété de tunes, ce comique croupier (il possède aussi des casinos!) se voyait promis au retour immédiat vers  un quasi-anonymat que jamais il n’aurait dû quitter. Et contre toute attente médiatique le voilà tout d’un coup qui casse la Barack…je veux dire la baraque! Tel un gros néléphant d’Afrique, la Trump en l’air, les défenses au clair et les oreilles face à la route, il écrase tout sur son passage le Donald depuis qu’il a commencé à charger…et pour ce qui est de charger, il charge, à bloc, sans retenue, sans égard pour aucun des mythes les plus sacrés de la Bisounourserie Occidentale. Ennemi déclaré de toute immigration, pétri de préjugés racistes, déterminé à bouter les Musulmans hors d’Amérique, ne reculant devant aucune concession au populisme le plus vil et le plus abject, l’abominable personnage flirterait en supplément de programme avec le Ku Klux Klan…oui mes pauvres amis, vous lûtes bien…le KKK! Un homme qui prétend à la Présidence des States, face à Dame Hillary (comme un bossu) si cette dernière parvient un jour à terrasser le délicieux vieillard Bernie Sanders…un Homme de Gauche, celui-là, comme on aimerait en voir plus souvent… »l’ami communiste » selon les termes du milliardaire rouquin toujours prêt à dégainer les vérités les plus mauvaises à dire. En somme, Trump ce serait un peu comme le fantôme de Mc Carthy… en plus à droite!
Du coup notre ami Hank Hulley, électeur républicain de toute éternité, commence à se poser des questions. Au début, je le sentais très-très réservé sur ce bonhomme : un New-Yorkais plein aux as avec une allure de tafiole à tendances hétérosexuelles, doté d’une gonzesse de rêve siliconée à souhait,  faut quand même pas lui en demander trop à Hank, y a des bornes aux limites. Seulement maintenant, vu la tournure des évènements ce dernier commence à se dire qu’après tout la démocratie ça sert à choisir le meilleur candidat, apparemment, si les choses se confirment par la suite il s’agirait de Trump. Alors pourquoi pas Trump dans le fond? Il ne dit pas que des âneries le type et en plus il emmerde les négros, les latinos et les gauchos : l’homme de la situation en somme… Allons-y sans haine et sans crainte, faisons confiance à notre système électoral et si c’est Donald qui nous représente, votons tous pour lui, de toute façon comme président il ne pourra jamais faire pire que ses prédécesseurs, pas vrai?
Et puis surtout il a du mal à avaler, Hank Hulley, la manière dont tout le monde depuis les  journaux les plus ratatinés du fin fond du Milwaukee jusqu’au Président des Etats-Unis soi même, tombe à bras raccourcis sur ce malheureux candidat au motif que, victime de tout une série d’agressions à l’occasion de ses meetings, il en constituerait lui même la cause en raison de la nature provocatrice de ses propos de campagne. En d’autres termes, dans un pays où la liberté politique apparaît pratiquement aussi révérée que le Petit Jésus et son Céleste Papa, des énergumènes -basanés par surcroit- seraient fondés à faire obstacle au fonctionnement normal de la démocratie pour peu qu’ils s’en prennent à un candidat catalogué nauséabond. Comme dit ce cher Hank : « Ho, les amis réveillez vous, on n’est pas en France! »
Il semblerait du coup qu’une partie considérable des sujets de l’Oncle Sam (fait ch…) s’apprêtassent à voter pour le hurluberlu rouquemoute; surtout, on le voit bien à l’occasion des primaires, qu’il attire vers les urnes tout un tas de gens qui ne s’y rendaient plus depuis lurette… Trump rend espoir! Trump fait voter les abstentionnistes invétérés! Ouh, la, la, ça fout le bordel dans le landerneau médiatico-bien-pensant des horreurs pareilles : attention la Démocratie c’est pas quand on ramène les fachos dans les isoloirs, merde, faut pas confondre chaude pisse et barmitsva, c’est pas le même cierge qui coule! Vu sous cet angle, en effet, il va bien falloir de toute urgence trouver le moyen d’empêcher les mauvais candidats de briguer les suffrages, un peu comme ça se pratiquait sous Staline, vous voyez? Mais le contraire, bien sûr… Vous vous rendez compte, on ne peut tout de même pas laisser n’importe qui se faire élire, surtout à White House! Même Martin Schulz,  notre bien aimé Président du Parlement Européen s’y oppose formellement… ça va peut être le faire changer d’avis ça, Hank Hulley… non… vous ne croyez pas?

Mais attention, horreur suprême, le phénomène ne se limite pas aux trumperies d’Outre-Atlantique, de ce côté-ci aussi il se passe des trucs pas très nets. En Bochie, tiens, pas plus tard qu’aujourd’hui : élections régionales à haut risque qu’ils disent, les baveux! La situation apparaît gravissime les amis, l’Allemagne s’apprête à faire la part belle à l’extrême-drouate, mais si! La peste brune qui revient, putain d’Adèle, enfin d’Angela… mais non, qu’est-ce que je dis moi, excusez moi, vous m’en voyez tout retourné!
Figurez vous que chez les Chleus, le petit parti AfD (alternative pour l’Allemagne) prend un sacré poil de la bête et vous savez pourquoi? Il veulent virer les « Réfugiés » ces salopards-là! Alors, sous prétexte que cette chère « Muttie » Merkel a généré un cataclysme à l’échelle européenne en appelant tous les miséreux du tiers monde à venir goûter aux charmes de l’arbeit macht frei version édulcorée par salaire minimum garanti et prestations sociales bien grasses, nos amis germaniques voudraient la foutre dehors à grand coups de pompes dans les grosses fesses plates et la remplacer par des olibrius à moustache carrée? Mais où on va là, je vous le demande? Un gros million de Musulmans de plus ou de moins ça ne leur change pas la vie à ce point-là, tout de même! Suffit que les nanas fassent gaffe à leurs miches et évitent autant que possible la fréquentation des lieux publics, surtout aux heures un peu tardives, notamment à Cologne… et puis voilà tout, pas la mer à boire tout de même! D’autant que la mer, ce sont principalement les « Réfugiés » qui la boivent, enfin ceux qui loupent la traversée…une infime minorité, Dieu merci! Avec un peu d’astuce et beaucoup de milliards d’Euros, on va pouvoir gérer les flux, vous savez. Les Turcs se montrent très coopératifs, avec eux il y a toujours moyen de discuter. Du moment qu’on les laisse entrer chez nous sans visa, qu’on se prépare à les accueillir dans une Union Européenne si florissante qu’elle ne demande que ça et qu’on leur file un gros pacsif d’oseille emprunté à 0% chez la Maison Draghi ils sont même prêts, ces braves Ottomans, à nous en reprendre quelques uns de « réfugiés ». Vous voyez des raisons de voter néo-nazi, vous autres? Non franchement là aussi ça part en quenouille la Démocratie, décidément on ne va pas pouvoir la laisser se démerder seule, faudra trouver des trucs pour la calmer sans quoi on va au clash!

Au fond, vous savez, le problème c’est les Peuples. Jusqu’à présent, plus ou moins on arrivait toujours à les manipuler…enfin à les aider à éviter les conneries, comprenez vous? Mais là, depuis quelques temps ça commence à craindre, on ne sait plus trop où on va. Les mécontents on les calmait avec des pièges à cons de gauche, des communisteries, des socialisteries, tout ça quoi, ça marchait et on arrivait peu ou prou à faire ce qu’on voulait. Seulement maintenant on commence à nous coller des Trump, des Le Pen, des Orban, des Farage et ça essaime de partout, en Autriche, en Hollande (aux Pays-Bas, zut!), en Pologne, en Tchéquie et même chez les Scandinaves, m’enfin, des gens si bien! Et toute cette racaille vous parle de construire des murs, de fermer les frontières, de revenir sur Schengen, de remplacer l’humanitarisme-bisounoursique par l’évacuation de l’étranger, manu militari voire, le cas échéant, pede militari! Sans raison, comme ça, juste pour essayer de préserver ce qui nous resterait de bien-être, juste pour éviter quelques viols par-ci par-là, quelques trafics, quelques burkas, quelques mosquées, quelque destruction prétendue de notre identité de vieux cons d’Occident! Non décidément les Peuples va falloir les neutraliser sans quoi ils vont nous foutre en l’air la Démocratie! D’ailleurs tous ces Populistes à la flanc, ils prospèrent grâce aux Peuples, pas vrai? Par définition même! Alors qu’est-ce qu’on attend? Vous muselez les uns, vous vous débarrassez des autres… si nous voulons éviter le réveil des Nauséabonds, nous savons ce qu’il nous reste à faire : pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie! Bon, en même temps allez dire ça à Donald Trump…

Allez d’accord, aujourd’hui ce n’était pas la super-forme… Passez une bonne semaine en attendant des jours meilleurs!

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

 

Un cas d’école

On rigole bien, non? Franchement, une bande de branquignols comme le Gouvernement Français, vous l’auriez imaginée, vous, même en rêve? Moi, en tout cas ils arrivent toujours à me surprendre ces braves gens à force, comme disait César (celui de Pagnol), de porter toujours plus loin les bornes du couillonnisme afin d’étendre leur domaine. Voyez un peu l’histoire de la « Loi Travail », ci-devant « Loi El Khomry » (belle connerie!), un modèle du genre! Jugez plutôt…
Au Forum de Davos, le gentil plaisir médiatique des Maîtres du Monde, vous avez Petit Caudillo qui dîne à une table bourrées de big-bosses à plusieurs millions la mensualité. Ces mecs lui expliquent en deux coulées gros ce qu’il conviendrait de faire pour rendre la France un peu attractive aux investisseurs étrangers créateurs de richesse et nonobstant d’emplois. En gros simplifier le code du travail, faciliter les licenciements et tout le toutim; les évidences habituelles en somme,  pas le moindre scoop à l’horizon pour vous dire. Seulement voilà, l’altitude, l’ambiance feutrée des palaces Suissagas, la chaleur communicative des banquets de pleins aux as, le Fendant, peut être allez savoir, figurez vous qu’il a ressenti la grosse révélation Vallsounet, tout d’un coup, là comme ça, un peu à la manière de Saint Paul sur le Chemin de Damas (bien avant l’arrivée de l’État Islamique, évidemment): « putain les mecs, fit il, c’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, vos combines! J’en fais mon affaire, z’allez voir ce que vous allez voir, ça va chier des bulles carrées! »
Et sitôt dit sitôt fait, dès le lendemain matin -enfin vers les quinze heures trente, faut pas déconner- branle bas deux cons bas à Matignon! Quatuor à cordes de jeunes conseillers énarco-hacheucéiens pour mettre en musique la partoche déboulée des montagnes helvétiques, cours de rattrapage d’urgence de la Miss Myriam pressentie pour porter le fétus sur les fonts baptismaux en ayant l’air de savoir de quoi elle parle et -autant que possible- d’y croire en dépit d’une éducation fortement marquée en sens inverse (sans quoi qu’est-ce qu’elle foutrait chez les Socialopes, je vous le demande!). Et hop, à peine le temps de mettre au propre le produit des cogitations matignonnéennes que l’impayable Manolo te nous le balançait dans les salles de rédac tout en précisant gourbi et zobi (oui maintenant on dit comme ça, diversité oblige), un qu’il s’agissait de l’arme absolue anti-chômage et deux que le dispositif en cause n’appellerait pas la moindre négo : à prendre ou à laisser mais gaffe, dans ce dernier cas ce serait le 49.3 sans hésitation aucune, cons se le disent! Allez je fonce! Conseil des Ministres début Mars, passage à l’Assemblée dans la foulée et avant cet été nous voilà prêts pour la grande aventure, c’est y pas formidable, ça, hein?
Alors évidemment, stupeur et balbutiements à gauche! On ne s’y attendait tellement pas qu’on se retrouve un peu anesthésiés sous le choc. La macronnisation du Gouvernement on la sentait bien un peu profond mais bon, tant qu’il ne s’agissait que de faire rouler des autocars et de bosser douze dimanches par ans, on maîtrisait. Seulement là, sacré nom de Marx, comme coup de panard dans la fourmilière ça dépasse tout, on n’arrive même pas à y croire!
En revanche, sur l’autre bord, chez les sales libéro-droito-patronaux on touche pratiquement à l’orgasme! L’émerveillement à ce point-là ça atteint les sommets du plaisir le plus violemment sensuel! Putain les mecs on en a rêvé Vallsounet l’a fait, dites donc, les couilles nous en tombent dans les souliers, on va enfin pouvoir licencier à tour de bras, sans haine et sans crainte, sans s’emmerder surtout, vite et pas cher! Champagne pour tout le monde et vive la Gauche, eux au moins les affaires ils savent de quoi il retourne! On trouvait même un paquet de politicards Ripoublicons pour soutenir carrément le Premier Sinistre comme quoi la loi Khonry on la voterait des deux mains et des deux pieds, voire même de tout ce qu’on a d’autre en double, tellement qu’elle fait plaisir à voir, qu’elle va redresser l’économie et faire repartir l’activité franchouille. Ben oui, forcément, des chars d’assaut de ce calibre c’est pas la Droite qui pourrait envisager d’en fabriquer, en deux temps trois mouvements ça nous foutrait une putain de révolution! Laissons donc le Catalan faire le sale boulot et au besoin refilons lui un coup de paluche, si ça ne lui fait pas de bien, en tout cas ça peut lui faire du mal, on n’aurait pas tout perdu…

Les premiers à se réveiller furent nos amis Syndicalistes. Une fois le moment d’incrédulité passé, on a commencé à les voir rappliquer au renaud : « Dites, les camarades, y a maldonne là! Vous déconnez à pleines tubulures, confondons pas la Gauche avec le Tea-Party c’est pas le même cierge qui coule! Allez, on se calme, on la remet dans sa culotte et on rentre au bercail, gentiment, merde on comprend, tout le monde peut se gourer, ça arrive ces choses là, c’est juste perseverare qui tomberait dans le diabolicum…otez nous d’un doute, Manuel, Myriam, vous nous avez fait le coup du poisson d’Avril en Février, pas vrai, sacrés farceurs, va! »
Oui mais non, pas du tout, il ne déconnait pas le Petit Caudillo, qu’on se le dise! « Moi, mon boulot ça consiste à inverser la courbe, Pépère soi-même il me l’a confié comme ça. Alors j’inverse! Point final! Et les ceusses qui seraient pas contents qu’ils aillent se faire visionner chez les Grecs, y a du boulot là bas pour faire passer les frontières aux Clandestins! Foutez moi la paix, donc, laissez moi bosser et circulez, y a rien à voir! »
Ce sur quoi Culbuto qu’on n’avait guère entendu dans l’histoire, toujours prudent comme un vieux singe passé maître ès art de la grimace, prépare ses valises et fout son camp direction Wallis et Foufouna histoire d’entamer un joli tour du monde bien distrayant avec les copains et les copines. Aux frais de la Répupu, on va pas s’emmerder…
Comme ça commençait tout de même à tirailler sec dans le landerneau gauchiard, la première à vraiment se ressaisir fut la Maire de Lille, la Dame des Trente-Cinq-Heures, comme on disait. Bonne occase! Pépère aux antipodes, empêtré dans les décalages horaires et le jet-lag, le moment idéal pour leur foutre un joli merdier à ces affreux de la Gauche de Droite. Et paf! Une tribune au vitriol dans Le Monde, approuvée comme un seul homme par des tas de pointures dont Con Bandit, retour à l’extrême-gauche, comme au bon vieux temps, et sans frais en plus, vu que sur ce coup là avec un minimum de pif, on capte tout de suite où se trouve le côté du manche. La sortie du brûlot s’effectue dans les meilleurs conditions, retentissement énorme, tout le monde sur le pont, les Syndicats tous d’accord pour une fois, les mouvements étudiants qui s’y mettent et même les manipulateurs de lycéens qui menacent d’envoyer les petits nenfants dans la rue pour y semer terreur et désolation! Bref, la montée en puissance de la Grande Famille enfin unie, tous contre l’abominable traître, l’usurpateur éhonté, le ver dans le fruit, le loup dans la fourmilière et le coup de tatane dans le poulailler. Celui qui doit mourir, en somme, cloué sur la porte monumentale de l’Hôtel de Matignon, histoire de conjurer le mauvais sort…

Et voilà t’y pas, Lundi dernier, Culbuto qui revient à l’Élysée, un peu sonné par sa visite mouvementée au salon de l’agriculture (voir https://nouratinbis.wordpress.com/2016/02/28/air-bouse-one/) et qui tout à coup réalise le pétrin pas possible dans lequel ce connard de Caudillo est en train de lui coller le fromage. « Les Etudiants! Les Lycéens! Comme pour un gouvernement de réacs! Avec le pays bloqué,le bordel arabe et si ça se trouve un piège à cons à la Malik Oussékine! « Non mais ça va pas! Je m’en pisse déjà dessous de trouille moi! Appelez moi ce connard toute affaire cessante et puis aussi la mère Konry, après tout y a pas de raison! Et que ça saute bordel, y a le feu! Comment ça la grosse peut pas? Quoi? Elle trempe dans son bain? Passez la moi, bordel…allo quesse tu fous connasse? Si je te vois pas à ma botte dans le quart d’heure t’es virée, rappelle toi la Fleur de Pellerine…moi quand j’ai les foies je connais plus personne, compris? » A telle enseigne que la malheureuse, on ne sait pas trop dans quelles circonstances mais vingt minutes après elle débarquait… à l’hosto, complètement dans les pommes…accident de baignoire…petit malaise…bon, bref glissons…enfin je veux dire…
En tout cas Vallsounet essuyait derechef la grosse tempête Hollandouillenne…d’autant que commençait déjà à pointer le coup de la pétition : trois cent mille signatures d’entrée de jeu sur internet contre la loi Khonry…Bon d’accord un peu truquée la combine, on peut voter autant de fois qu’on veut pour peu qu’on possède plein d’adresses mail mais tout de même, il a bien senti le coup fourré, Flanby, et puis les sondages pointaient déjà leur sale museau…en gros les trois quarts de l’opinion refusent l’idée même de faciliter les licenciements, sans parler du plafonnement des indemnités prudhommales… Le Franchouille son boulot c’est sacré, nom de Dieu, se faire virer pour un oui ou pour un nom ça le débecte, y veut pas, y refuse tout net! Nein, pas question, ça va pas la tête!
Autrement dit, un piège à nanars de la pire espèce la combine à Manuel : sommé de passer la marche arrière à tout berzingue et le plus platement possible: « arrête les conneries caballero, désamorce illico où je te fous dehors à grands coups de pompe dans le derche! Non mais a t-on idée! Y me fabrique la machine à perdre, le mec, j’y crois pas! Allez, fissa, ducon la tortilla, au micro et sans perdre une seconde, démenti et rétropédalage et démerde toi pour que ça fonctionne sans quoi tu peux préparer les cartons ».

Entre tant leur pétition à la con dépasse très largement le million de signatures et avec la pub ça crèvera très vite tous les plafonds; on va bientôt s’apercevoir qu’avec une combine de ce calibre plus la peine d’organiser des élections, une bonne consultation numérique et on se trouve fixé tout de suite, la démocratie va évoluer, c’est moi qui vous le dit. Alors du coup vous avez ce cher Manuel, la queue entre les pattes, qui vient faire son canossa médiatique: « oui mais non, j’ai jamais dit ça…comment? Le 49.3? Mais jamais de la vie, il ne saurait en être question, pensez vous! Allez on va prendre son temps, pour le Conseil des Ministres on voit d’ici quinze jours et si ça suffit pas on repoussera, pas de problème, on a le temps…vous savez, nous autres la négo on a ça dans le sang, c’est notre ADN la recherche du con sans suce avec les Forces-Vives, vous ne croyiez tout de même pas qu’on passerait en force! On est degôche ou on l’est pas, tout de même! Faut pas déconner! »

Et voilà le travail, exit la loi Konnerie, bienvenue à la Loi Travail celle qui va prévoir…rien du tout vu que les Syndicats tiennent déjà leur victoire…Quant à notre ami Vallsounet, il a le choix entre passer pour un con et rester, ou passer pour un con et partir. Suivant l’importance du bordel auquel nous assisterons les jours qui viennent, il pourra opter pour l’une ou l’autre des solutions…ça va dépendre de la mobilisation  des Lycéens, tout ça: chouette pays, y a pas à dire! Moi je leur conseillerais d’enseigner cette histoire-là à Science-Pot: en matière d’amateurisme politique on a affaire à un cas d’école, pas vrai?

Allez, passez un bon Dimanche et observez bien ce qui va se passer la semaine prochaine, on n’a pas fini de rigoler!
Amitiés à tous.

Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN.