Présipède ou le manque de pot démocratique

Un phénomène étrange, tenez, une particularité tout à fait digne d’intérêt dans l’ordre médico-sociologique: partout on observe, hélas, une efflorescence d’attentats islamistes, à Barcelone, à Londres, à Bruxelles et jusqu’à la lointaine Finlande qui commence elle aussi à morfler… chez nous, en revanche, calme plat, plus rien à signaler…sinon quelques exactions imputables à d’infortunés déséquilibrés en rupture d’asile, voilà tout. Bien sûr on pourrait se demander…mais non! Circulez y a rien à voir! Le dernier fada en date, enfin provisoirement, on l’a repéré à Marseille, en ces lieux où précisément voilà deux ou trois jours, un autre allumé faisait vroum-vroum avec un gros fourgon en démolissant au passage quelques clampins qui attendaient paisiblement leur bus. Le dernier fou, donc, ce samedi, s’en prenait à grands coups de poignard, le pauvre, aux passants de La Canebière. Pas de morts, Allah soit loué, mais trois blessés tout de même avant que les poulets n’électrisent l’agresseur au taser. Rassurez vous, le malheureux s’en tire tout à fait sauf, mais pas sain, hélas! Jugé « inapte à la garde à vue » les autorités l’ont expédié direct à La Conception, l’hosto des sinoques où il restera sûrement quelques jours… le temps de recouvrer une santé mentale qui lui permettra de sortir et de récidiver.
Bien sûr, nous ne pouvons que nous réjouir de cet arrêt qu’on espère définitif des attentats allahouakbar sur notre sol. L’Islam de France, par sa parfaite intégration dans le tissu national, maîtrise désormais à merveille un climat somme toute serein par nature, à l’exception des manifestations -marginales- de la colère, bien légitime au demeurant, d’une infime minorité. En revanche on s’inquiète de cette recrudescence soudaine de folie furieuse qui semble affecter prioritairement nos populations d’origine plus ou moins africaine. Il appartient à la République, je crois, de se pencher avec une bienveillance accrue sur le sort des Pludéfavorizés, comme on dit, afin de rechercher les causes sociétales de ce qui pourrait, si l’on n’y prend garde, se muer en épidémie de démence meurtrière ciblée. J’ose espérer que notre petit Présipède, compte tenu de l’affection qu’il porte aux personnes issues de l’immigration (parfois y suent des pieds, aussi), saura apporter à ce fléau potentiel une réponse rapide et efficace, tout en respectant scrupuleusement les critères de Maastricht, cela va de soi.

Cela dit, le délicieux Macrounette a bien du pain sur la planche. Pour l’instant, certes, personne encore ne la lui savonne -la planche- mais cela ne devrait pas tarder à lui choir sur la gueule comme une fiente de pigeon sur le costard de Culbuto, son illustre prédécesseur. Regardez donc un peu sa popularité, elle continue la dégringolade amorcée le mois dernier et tout laisse présager un effondrement total dès la rentrée. Les ordonnances sur le boulot avec leur cortège de protestations syndicales et d’escarmouches mélanchonnesques, ne manqueront pas d’accélérer un processus de déconsidération déjà bien engagé, alors que rien de sérieux ne trouble encore la quiétude estivale. Pour peu qu’une bonne grève à rallonge de la SNCF se mêle de venir casser le moral des citoyens-travailleurs, les Macrouille, Barbapoux et consorts ne manqueront pas de vivre un automne exécrable forcément suivi d’un hiver sibérien. Sans compter qu’en pareille hypothèse, notre Gouvernement de doux plaisantins trouvera son salut dans un repli stratégique en forme de bérézina. Je vous fous mon billet que nous sortirons de cette histoire de réforme du code du travail avec une loi El Konnerie-bis, tout juste bonne à vaguement sauver la face et les quelques meubles susceptibles d’échapper à la grogne sociale. D’ici le Printemps prochain, nous verrons disparaître à tout jamais les jolies illusions de Mai 2017, avec leur mignon Président tout neuf, son aura jupitérienne et son sourire de VRP des années soixante.
Ce mec, somme toute, n’est jamais que le fruit d’une étrange série d’évènements inattendus qui l’ont propulsé en tête du premier tour des présidentielles, par la grâce de vingt-quatre pour cent d’ahuris en rupture de socialisme ou de juppéisme. Parmi les trois quarts restants, une puissante majorité, terrorisée à l’idée de voir Marine et ses affidés investir l’Élysée, s’est résignée à grossir les rangs des macrophiles et à parachever ensuite le désastre en donnant au petit bonhomme sa « majorité pour gouverner ». Alors il gouverne; mais par défaut, sans véritable assise populaire, ce qui conduira très rapidement les braves gens, frappés notamment par une baisse significative de leurs revenus, CSG oblige, à prendre conscience de la connerie accomplie en propulsant cette bande de branquignols à la tête de l’État. Le bordel social fera le reste!

Cependant, conscient on non des gros nuages noirs qui lui barrent l’horizon, le sémillant Manu poursuit sa partie de billard à une chiée de bandes sur la scène internationale. La semaine fut consacrée à une blitzkrieg contre la Pologne. Le plombier polonais, maintenant on dit « le travailleur détaché », reste un sujet porteur sur le terrain de la politique intérieure et notre grand chef au petit pied compte bien s’en servir à bloc. D’autant que par la même occase, en emmerdant les Polaks il se range du côté de la mère Angela et de la Commission Européenne (c’est à peu près pareil), très remontés contre les sales fachos des pays de Visegrad. Ces ignobles saloperies s’obstinent notamment à rejeter toute idée d’accueil sur leur sol du moindre « réfugié » musulman! Une intolérable rébellion à relents xénophobes voire racistes, vous vous rendez compte? Partant c’est Macrouille qui s’y colle, avec mission d’enfoncer un bon coin dans la coalition concernée en essayant de séparer les affreux Polonais et Hongrois de leurs copains Tchèques et Slovaques. Parti en guerre de conquête au nom de la directive sur les travailleurs détachés, laquelle enquiquine surtout la France, il faut bien l’avouer, le Macrobiote s’est livré à une diatribe fort peu diplomatique à l’encontre de Varsovie. La réplique ne s’est pas fait attendre et le Premier Ministre Polak, une Dame de Fer sans gant de velours, n’a pas manqué de l’envoyer aux pelotes, en lui conseillant d’apprendre le métier avant d’ouvrir sa gueule et surtout de s’occuper du bordel qui règne dans son bled au lieu d’aller chatouiller les roustons aux voisins. Et au bout du compte, notre blanc-bec national revient bredouille d’une tournée en Europe Centrale au cours de laquelle les Roumains eux mêmes l’ont poliment envoyé sur les roses, en dépit de sa promesse de soutenir leur admission dans l’Espace de Schengen… Pas sûr qu’ils y tiennent tant que ça, les Roumains, à voir débouler chez eux des hordes de mahométans du style de celles qui déferlent au sein dudit Espace. A Bucarest, du moment qu’ils arrivent à se débarrasser des Roms et à faire circuler leurs camions dans toute l’Europe, il semble qu’ils n’en demandent pas plus. Quant à la directive sur les détachés, vu la manière effrénée dont ils en profitent on voit mal pourquoi ils y renonceraient. En résumé, chou-blanc sur toute la ligne, ridiculisé, même, le Présipède! De là à ce que ses électeurs finissent par regretter d’avoir éconduit la mère Le Pen… cinq ans c’est long, pas vrai?

Nous voilà donc un peu plus au clair, au moins sur la question de l’avenir immédiat du pays. Le Chef de l’État, dont les plus aveugles des membres éminents du corps électoral commencent à déceler les criantes insuffisances, apparaît entouré d’une tripotée disparate de guignols incapables de tenir convenablement les postes auxquels le hasard, la nécessité politicarde et la fantaisie présidentielle les ont rangés. Le Premier Ministre, un ancien maire de ville moyenne doté d’une belle barbouze, certes, ne fait manifestement pas le poids; il se trouve là pour des raisons de basse tactique, sans disposer d’aucune des compétences requises pour exercer la fonction et sans soutien ni légitimité en dehors d’une nomination vicelarde par un Président qui n’hésitera pas à le dézinguer en cas de besoin. Pour ce qui concerne les ministères importants, ils se voient affecter des personnalités toujours un peu en déséquilibre vis à vis du rôle qui leur incombe. Les deux ex-Républicains des Finances ne possèdent aucune autorité sur les Services de Bercy, lesquels obéissent à leur propre logique et, le cas échéant, à l’Elysée. Beauveau ressortit à une espèce de Gnafron Lyonnais visiblement à côté de ses pompes, la Défense se voit dirigée par une socialiste historique totalement étrangère à tout ce qui peut concerner les Armées…bref, les erreurs de casting jointes à l’impréparation manifeste des intéressés, viennent aggraver encore le bordel qui règne dans tous les compartiments du jeu, qu’il s’agisse de l’Exécutif ou du Législatif. Reste donc, comme d’habitude, l’Administration, noyautée depuis des décennies par la Gauche la plus sectaire, qui fera plus que jamais la pluie et le beau temps…enfin surtout la pluie. Bien évidemment dans de telles conditions il semble peu probable que le climat s’améliore pour l’époux de Brigitte…et surtout pour nous autres couillons de Franchouilles qui paierons rubis sur l’ongle les pots cassés, si tant est qu’il en reste à bousiller, vu notre légendaire manque de pot démocratique…

Bonne semaine tout de même et n’y pensez pas trop, de toute façon les carottes sont cuites.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

 

De tout côté on n’entend plus que ça!

Jusqu’à un certain point on peut ironiser, quitte à se forcer un peu. Toutefois, ainsi que l’observait fort judicieusement Pierre Dac (celui qui m’a dégouté à tout jamais de l’antisémitisme systématique) « quand les bornes sont franchies, il n’y a plus de limite ». Elles me semblent désormais bel et bien franchies, les bornes, et du coup, pour rigoler comme avant ça va devenir très dur. Voilà: de tout côté on n’entend plus que ça…et pas un air nouveau qui nous vient de là bas, c’est moi qui vous le dis… (Pour les moins de soixante-dix ans, cette sorte de citation-réminiscence (1) un peu niaise n’évoque rien, bien sûr, sauf que les non-initiés doivent me prendre pour un gatouillard radoteur, mais bon, aux quelques autres, aux survivants des années soixante qui n’ont pas encore chopé Alzheimer, ces couillonnades doivent rappeler quelque chose. C’est toujours ça.)
Mais revenons à nos moutons, foin des digressions parasites propres à déliter le fil d’un raisonnement déjà passablement ténu et dont l’intérêt même me semble, à moi, c’est dire, grave sujet à caution. De tout côté, disais-je, on ne parle plus que de fourgons ou de BMW qui foncent dans les foules, d’attaques au couteau, de machines infernales, de cellules djihadistes, de radicalisation indétectable, de revendications par un État Islamique agonisant, de « Français » qui reviennent de Syrie avec la ferme intention de nous faire la peau, bref des manifestations belliqueuses de la haine inexpiable vouée à la Chrétienté par une proportion indéfinie des Musulmans vivant en Terre ex.Chrétienne. Car c’est bien de cela qu’il s’agit: la détestation sourdement nourrie à l’encontre des « Croisés » par des hurluberlus cantonnés au fin fond du Moyen-Age et qui se foutent bien pas mal de ce que nous autres n’ayons plus aujourd’hui grand chose à voir avec Godefroy de Bouillon et ses potes. Et c’est bien regrettable d’ailleurs, car si nous trimballions encore aujourd’hui les couilles de ces chevaliers mal dégrossis, les espèces de saloperies importées qui nous bouffent la vie par les deux bouts retourneraient vite fait dans leurs gourbis d’origine, la queue basse et bien contents encore de s’en sortir à peu près indemnes.
Hélas, question couilles force est de reconnaître que nous avons dû les oublier en quelque endroit maudit, peut être sur les barbelés de l’Argonne ou dans les marécages puants de Dien Bien Phu,, allez savoir! Le fait apparaît dans toute son horreur: en guise de baloches, nous autres Européens de l’Ouest -les principaux intéressés- il ne nous reste plus que les Droidlom avec leur Cour Européenne et leur cortège de prétextes à abandon du terrain sans combattre. Des mous, des molassons, des poltrons, des poules mouillées, des dégonflés, des pétochards, voilà ce que nous sommes, et des irresponsables, aussi, surtout! Car non seulement nous léguons le malheur à nos enfants mais encore leur apprenons nous le renoncement dans les écoles de merde que nous finançons à grands frais, pour le plus grand bonheur des humanitaristes de tout poil, nos maîtres à penser et à nous laisser sodomiser sans rien dire.
On le voit bien, puisqu’il est trop tard désormais pour endiguer une invasion totalement installée et inexpugnable, il importerait à tout le moins d’organiser dare-dare les opérations visant au nettoyage manu-militari des foyers d’infection salafistes, d’arrêter les terroristes potentiels, de les stocker en quelque endroit désert et si possible hors du territoire métropolitain, de détruire les mosquées dangereuses, d’expulser à grands coups de botte dans le cul leurs prédicateurs à la con, bref de vider les abcès et de bien désinfecter tout autour. Et s’il fallait pour cela remplacer l’état d’urgence foutaise, par l’état de siège, le couvre-feu ou tout ce que vous voudrez, histoire de s’éviter la somme des encombres découlant  de nos illusions bisounoursiques, de nos lois permissives et de l’aveuglement idéologique des juges-dhimmis, il serait de notre devoir de le faire aussitôt, afin d’accorder à nos pays une petite chance de préserver leur civilisation et leur art de vivre.
Hélas, je parle pour ne rien dire, en brandissant comme un sabre de pacotille quelques vœux pieux tout juste bons à me faire couvrir d’excréments par la Bien-Pensance Universelle. Ce n’est pas avec des Macron, ni avec des Merkel, ni même avec des Rajoy que nous parviendrions à envisager si peu que ce soit de telles mesures de salubrité publique. Eux se contentent de condamner avec la plus grande fermeté, et de rendre hommage aux victimes en respectant allègrement des minutes de silence… Au point où nous voilà rendus, ce ne sont plus des minutes qu’il faudrait respecter, mais des heures, voire des jours entiers…Tenez, moi je propose un truc qui passerait peut être, allez savoir, une fois n’est pas coutume: le 1er. Janvier prochain on décrète carrément une semaine de silence et comme ça on est tranquille pour toute l’année 2018, il y a de grandes chances que ça couvre et en plus ça nous ferait du repos… Sept jours pleins sans entendre les âneries de nos politicards, de nos journalopes et des « experts » verbeux de BFM et LCI! Un pur bonheur, dites donc… Vu qu’il y a de fortes chances que nos djihadistes hexagonaux nous fassent péter la « trêve des confiseurs » ça compenserait un peu…

A côté de ça, les Macrouille-Barbapoux-Collombo, eux, sans doute pour corser encore un peu le comique macabre de notre situation, ils créent la « Police de Sécurité  du Quotidien »! Avec une denrée de ce calibre on est tranquille! Il s’agirait, si j’ai bien compris de larguer de pauvres poulets à demeure dans les quartiers, afin qu’ils se fassent insulter, compisser, cracher dessus, voire molester par la racaille. Dix-mille condés se verraient ainsi, dès la fin de l’année, offerts en victimes expiatoires à la furie malfaisante des jeunes générations de sauvages urbains. Sans parler, bien entendu, des caïds-droguistes dont on imagine l’accueil qu’ils réserveront à ces nouveaux-venus théoriquement affectés à la surveillance paisible de leurs activités. Chaque jour que Dieu fait, aujourd’hui, la vie des banlieues se trouve émaillée d’incidents plus ou moins graves au cours desquels les flics, succombant sous le nombre, s’enfuient en désordre pour tenter de sauver leurs peaux. Pas plus tard qu’avant-hier soir, dans l’illustre « Cité des Trois-Mille » d’ Aulnay Sous-Bois, trois braves policiers (un pour mille, quoi) en patrouille, manifestèrent l’audace de vouloir contrôler un « jeune » lequel s’enfuit sans plus attendre, non sans avoir pris soin au préalable de coller une bonne châtaigne dans la gueule d’un des keufs mal-intentionnés. Deux de ces derniers se lancèrent crânement à la poursuite du jouvenceau, laissant leur collègue, une femme, seule pour garder leur bagnole. Inutile de décrire ce que la malheureuse a pu ramasser dans les instants qui ont suivi, assaillie par une dizaine d’anthropoïdes sortis de nulle part, elle a réussi à se blottir au fond de l’auto pendant que ses agresseurs faisaient main basse sur les armes défensives qui s’y trouvaient. L’arsenal de la cité-repaire de ce cher vieux Théo y aura quelque peu gagné, c’est toujours ça que les kouffar n’auront plus!
Voilà, grosso-modo, le sort de la future « Police du Quotidien », sauf que celle-là résidera par construction au cœur des cités, il lui faudra donc assumer le contact permanent avec la faune sauvage, les dealers, les salafistes, les désœuvrés sans nombre à qui les nouveaux parias en uniforme fourniront un amusement bienvenu. Il y aura tout intérêt à les choisir masochistes, les sécuritaires du quotidien, sans quoi, eussent-ils la chance d’échapper au lynchage, on les voit mal conserver longtemps leur santé mentale; ça fera du policier en maladie au quotidien, en attendant le classement en invalidité ce qui les rapprochera encore un peu plus des populations en cause…

Nous voilà donc, nous autres Franchouilles et Européens, de plus en plus noyés sous une multitude dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle ne nous veut aucun bien. Nous le voyions venir depuis belle lurette, enfin pour ce qui concerne les moins aveugles d’entre nous, mais nous n’avons absolument rien fait pour nous en préserver. Au contraire! Et nous continuons, avec un entêtement prodigieux, à laisser entrer chez nous par milliers, ces gens qui viendront grossir et parachever l’envahissement de nos pays. Pourquoi? Je ne détiens pas la réponse, juste quelques vagues lueurs susceptibles d’éclairer un petit bout du mystère. Les Gauchiards qui voulaient susciter l’apparition d’un nouveau prolétariat pour succéder à l’ancien embourgeoisé… Ils ont bien vu, pourtant, à quel point ils se foutaient le doigt dans l’oeil, alors pourquoi persister. Et puis il y a la bêtise rousseauiste et droidlommiste, celle qui prétend à l’universalisme de l’Humanité, tous frères, tous chez eux partout…surtout les autres chez nous, bien sûr.
Cependant n’oublions pas non plus cette espèce de coalition occulte, de ces puissants sans visage qui jouent un jeu subtil et inaccessible au vulgum pecus. Ceux, notamment qui, depuis l’élection du camarade Donald à la Présidence des Etats-Unis, ont décidé sa perte, son élimination et son remplacement rapide par quelqu’un de convenable. Il a tellement de casseroles accrochées au derche, ce pauvre Trump, qu’il aura bien du mal à tenir le choc encore longtemps. Notamment, ce type a voulu, à titre préventif, essayer d’empêcher les Muz d’entrer aux States, partant du principe, parfaitement justifié au demeurant, que si tous les Musulmans ne sont pas djihadistes, tous les djihadiste sans exception émargent à la religion mahométane.  En somme il voulait tout bêtement appliquer le principe de précaution, le rouquemoute! Pour lui faire rentrer ses idées saugrenues dans la tronche, on commence par lui casser les pattes, ce qui dès à présent, l’empêche d’aller plus avant dans la réalisation du programme pour lequel il fut élu naguère, et ensuite on lui collera un bon gros impeachment dans les gencives, comme à  Nixon dans le temps, même motif, ou à peu près, même punition! Il y a des moments où la sacro-sainte Démocratie doit savoir se plier aux impératifs dictés par la logique supérieure de ceux qu’on ne voit pas. Non mais des fois!

Je vous souhaite à tous une chouette semaine avec le moins possible d’attentats djihadistes.
Amitiés.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Un tube de 1962: « La leçon de twist« …Pas de quoi fouetter un chat sauvage mais un vieux souvenir…un souvenir de vieux.

Attentats, Libye et vacances présidentielles

Ce qu’il y a de bien avec les attentats-allahou-akbar, c’est qu’on les oublie vite. Le coup de la Tour Eiffel, dont je vous parlais Dimanche dernier, avec son petit « Français originaire de Mauritanie », nul ne s’en souvient plus, à l’exception sans doute des pauvres troufions qui manquèrent de peu d’en subir les regrettables conséquences. Il faut dire qu’entre-tant nous connûmes l’affaire de Levallois, laquelle se révéla autrement dommageable vu les six militaires restés sur le carreau après percussion à la grosse BMW. Mais le souvenir s’en estompe déjà sous l’effet conjugué des vacances du couple Macrouille et des « informations » protéiformes qu’on nous assène à bras raccourcis, histoire de bien nous changer les idées, voire de nous abrutir un peu plus dans la mesure du possible. Pourtant elle ne manquait pas d’intérêt cette petite attaque à la berline allemande, riche d’enseignements même, n’ayons pas peur des mots. Jugez plutôt.
Les soldats en question disposent  d’un casernement de fortune offert plus ou moins gracieusement par les HLM de Levallois-Perret. Ouverte à tous les vents et nullement surveillée, même en pleine relève d’effectifs, l’allée privative jouxtant l’immeuble dont il s’agit, a permis au criminel fanatique de garer tranquillement la bagnole en attendant la sortie des bidasses. Ces derniers n’ayant pris aucune des précautions d’usage, telles que le contrôle préalable des alentours, il ne restait plus au conducteur de la grosse chiotte qu’à écrabouiller l’accélérateur pour foncer dans le tas, puis à se barrer plein gaz, la voie étant libre de toute entrave à la bonne circulation. Quant aux braves tringlots restés indemnes, le temps qu’il reviennent de leur stupeur, tant ils ne s’attendaient pas à se voir ainsi agressés au saut du lit, le salopard se trouvait déjà à l’autre bout de la ville qu’ils se demandaient encore si c’était du lard, du cochon, ou carrément du halal.
Cependant le fugitif, au lieu de s’en aller tranquillement planquer dans son gourbi de Sartrouville, parmi ses potes salafistes et djihadistes en puissance, choisit de tracer vers la Belgique où il pouvait trouver d’excellentes conditions d’accueil au prix, toutefois, des aléas d’un voyage  en terrain découvert. Eût il tout bêtement pris la précaution de changer de bagnole, qu’il coulerait actuellement des jours paisibles à Molenbeek dans un anonymat total et salvateur. Mais pas du tout, ce con a conservé sa belle auto de location, dûment équipée d’un GPS grâce auquel les poulets ont pu le suivre à la trace! Et, chose encore plus étrange, l’andouille a mis plus de cinq heures pour couvrir les deux-cent-soixante bornes qui séparent les lieux de son crime de ceux de son arrestation! Un prudent, certes, puisque chauffeur-uber de son état, mais à ce point là ça interpelle tout de même…Bref, nous n’en saurons sans doute pas plus, car l’affaire semble en instance d’enterrement de première classe, contrairement à l’assassin qui, lui, fait l’objet d’un suivi médical digne d’un chef d’état. Dame, il faut dire que les flics flingueurs de musulmans sont aussi mal vus chez les magistrats que dans les quartiers  sans-cible, mieux vaut, en conséquence, que cette immonde charogne reste en vie et conserve l’usage de ses jambes, avec une balle dans la colonne on ne sait jamais…
Cela dit, en dépit de circonstances qui laissent pas mal de place au doute, tant à l’égard des procédures en usage chez les « Sentinelles » censées protéger le bon populo mais infoutues de se sécuriser elles mêmes, qu’en ce qui concerne la véracité des faits relatés, le « suspect », lui, présente en revanche toutes les caractéristiques du vivre-ensemble-danger-public.
De nationalité algérienne, Hamou Belatreche, ou Bachir, on ne sait pas trop et d’ailleurs on s’en fout, coulait des jours heureux dans son petit coin islamisé des Yvelines. Le type était connu des services de police pour séjour illégal assorti de quelques « délits mineurs » mais non fiché « S », cependant, car une sale gueule encadrée d’une barbouze infecte de salafiste ne constituent en aucune façon des signes de « radicalisation ». Cela dit la République, bonne fille, n’avait pas manqué de régulariser sa situation, moyennant quoi cet individu se trouvait en droit d’infester en toute légalité notre territoire national, de fréquenter assidûment les mosquées où des Imams venus d’ailleurs appellent à la guerre-sainte et accessoirement de prendre en location des guimbardes de luxe. Comme un certain nombre de ses coreligionnaires, dont notamment le tunisien délinquant récidiviste dont les Niçois purent apprécier, l’an dernier, les qualités de conducteur de poids lourd, cette nouvelle pourriture a pu nous bousiller six militaires parce qu’au lieu de l’expulser à grands coups de pompe dans le derche, les autorités bisounoursiques de notre pays d’aliénés l’ont autorisé à profiter ad vitam aeternam de notre « solidarité » de merde. Les Chleus disaient « heureux comme Dieu en France », vous remplacez « Dieu » par « voyou étranger » et vous obtenez la formule magique, la recette de nos malheurs. Nous aurions pourtant bien assez de l’innombrable racaille banlieusarde issue de la « générosité » imbécile de nos gouvernants humanitaristes de toute obédience, du regroupement familial et des allocations du même tonneau. Eh bien non! Il nous faut aussi récupérer les scories des autres, les parasites venus d’ailleurs boulotter nos prestations sociales et qui en profitent de temps à autres pour nous crever la pastèque par tous les moyens que nous mettons à leur disposition. Bien entendu, personne ici ne porte aucune responsabilité dans tous ces crimes qu’il suffit à nos dirigeants politicards de qualifier d’ odieux et de condamner avec la plus grande fermeté pour absoudre l’État de toute faute. Remarquez bien que cela découle des procédures démocratiques qui poussent les Citoyens à élire des Giscard, des Mitterrand, des Chirac, des Sarko, des Hollande et enfin des Macron, avec toute leur cohorte de serviteurs zélés de la Bien-Pensance, dont l’action consiste depuis cinq décennies à nous laisser joyeusement envahir par les barbares obscurantistes qui veulent notre peau. Cela procède également, hélas, d’une Union-Européenne complètement inféodée à l’idéologie rousseauiste dominante et toujours prête à ouvrir largement les bras aux ennemis jurés de notre civilisation.

L’essentiel du problème vient désormais de Libye, nous le savons (…de Marseille comme dirait le vacancier Macrounette) trop bien puisque c’est là bas que nous allons chercher les « réfugiés » dont deux pour cent au grand maximum viennent de pays effectivement en guerre. Rappelons pour mémoire l’origine du problème: Sarkozy et sa guerre de libye! Les Italiens nous le rappellent assez, dans la mesure où ils morflent en pleine gueule les conséquences tragiques de la prétentieuse stupidité sarko-béachelienne. Alors justement, les Ritals, lorsque le petit Macaron se permet de recevoir en douce les patrons respectifs de Tripolitaine et de Cyrénaïque, trouvent un peu regrettable de se voir laissés sur la touche. Le fait que notre cher Présipède la joue perso les embête d’autant plus que les affaires libyennes les impactent directement ès-qualité à la fois d’ancienne puissance coloniale et de réceptacle des traverseurs de Méditerranée.
Or il se trouve que le Général Khalifa Haftar, un vieux briscard qui contrôle les trois quarts du territoire Libyen, vient de déclarer, lors d’une interview au Corriere della Sera, qu’il détient la solution du problème, qu’il s’en est confié à Macrounette et que ce dernier l’a écouté avec attention. L’idée du vieux général consiste à enrayer complètement le flux des « migrants » en leur fermant tout accès à la Libye. C’est la seule vraie solution car, une fois entrés dans le pays ils ne savent plus quoi en foutre sinon les laisser partir sur la mer. Et la solution « hotspots » proposée par la France apparaît là-bas comme une douce plaisanterie à l’usage des crèches pour bambins occidentaux! Le seul problème, poursuit ce brave Haftar, c’est qu’il faut surveiller quatre-mille kilomètres de frontières désertiques et que cela nécessite quelques investissements… Que l’Europe me file vingt milliards de dollars et je lui règle le problème de manière définitive! Voilà ce qu’il dit, le vieux général, il a les hommes, il lui manque les impedimenta… Notre cher Macronibus lui a demandé une liste…dont acte: armes, munitions, voitures blindées, jeeps pour le sable, drones, appareillage de vision nocturne, hélicoptères, matériels de camps mobiles, bref tout ce qu’il faut pour rejeter le sub-saharien de l’autre côté du désert. Qui plus est il demande ça sur vingt ans le vieux kroum, soit en gros un milliard par ans…une goutte d’eau en comparaison de ce que l’Europe refile à Erdogan! Et pourquoi ne lui ferions nous pas confiance à ce mec? Un type qui a traversé sans encombre un demi-siècle d’histoire de cette région infernale de l’Afrique, ça mériterait d’être pris en considération, non? Qu’est-ce qu’on risque?
Eh bien je vous fous mon billet que la proposition du Général Haftar restera lettre morte! N’a-t-il pas proclamé urbi et orbi, notre excellent Présichose, tout l’intérêt que présente pour l’Europe, l’arrivée de ces aimables « migrants »? Alors personne ne va le contrarier, pas vrai, surtout pas la mère Angela, d’autant qu’à ce qu’on dit, elle aussi se laisserait bien tenter par la mise en place des fameux  « hotspots » pour trier l’Africain avant importation… En somme, si vous comptez sur ces gens-là pour vous régler le problème de l’Invasion vous pouvez vous épousseter la vareuse avec une brosse en poils de chameau! C’est ce qu’il se dit du côté de Vintimille, là bas ils sont au bord de l’émeute, ça ne devrait pas tarder à saigner! Parce qu’il arrive un moment où le rousseauisme finit par céder sous les coups de boutoir de la réalité, ce sera vrai pour nous aussi, je le crains, mais plus tard, trop tard…

En attendant souhaitons d’excellentes vacances à notre gentil Chef de l’État, installé incognito à Marseille où il pratique la course à pied…au Prado,  sous bonne escorte et joliment revêtu d’un maillot de l’Olympique de Marseille floqué à son nom: la parfaite discrétion des super-communicants de mes deux!
On n’est pas sorti du boxon!

Bon courage pour finir l’été et attendez vous au pire pour la rentrée, ainsi vous ne serez pas déçus…

Amitiés à tous.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

 


 

Jean Neymar

Oui, bon, ça va, j’opère dans la facilité, j’en conviens, je l’avoue, je plaide coupable -sur mon honneur, comme on dit dans les séries amerloques- mais que voulez vous, il fait une chaleur à crever et simultanément leurs conneries de foot, de transferts, de « mercato« , les sommes invraisemblables dont on nous rebat les oreilles ad libitum et tout ce qui tourne autour du PSG, de son président Nasser Al Machin avec son gros pognon Qatari, me maussadise quelque peu le caractère. Alors, vous comprenez, Jean Neymar ça me semble incontournable en raison de ce jeune « attaquant » Brésilien dont le prix d’achat excède de manière astronomique le montant jadis déboursé par les sales blancs qui achetèrent toute la tribu de ses ancêtres. Alors, faut il le préciser, le jeune homme en question ne se prénomme sans doute pas Jean et d’ailleurs je m’en fous éperdument de son petit nom, cependant un tel patronyme appelle forcément de ma part un titre pas très original, certes, mais tout à fait approprié à mon ressenti personnel, comme on dit de nos jours imbéciles. Et puis, pour les quelques vieillards qui pourraient en garder de vagues souvenir, cela rappelle le « Père Cent » de nos services militaires, « Jean Némar Vicomte de la Fuite… » tout ça, quoi, des trucs de l’autre siècle, d’un autre temps… autant en emporte le vent de Sud-Est et la canicule qu’il trimballe en provenance d’Afrique, à l’instar de toutes les calamités qui nous choient sur le coin de la gueule depuis toujours.
Alors, en effet, depuis quinze jours on nous bassine sans rémission de cette histoire d’acquisition de footballeur. Il n’y a plus que dans ce sport épouvantable qu’on a encore le droit de vendre et d’acheter des êtres humains (si tant est qu’on puisse ainsi qualifier les racailles milliardaires du ballon rond). Toutefois, personne ne s’en offusque, on trouve ça tout à fait bien: sur le mercato (marché en rital) se négocient non plus des esclaves mais des joueurs de baballe pleins aux as, noirs la plupart du temps, et les media à vocation sportive en font leurs choux gras, ça attire le lecteur et crée de l’audience…panem et circenseso tempora, o morescerte quis illa tremens

Bien, cela dit nous n’allons tout de même pas y consacrer la journée. Il se passe des trucs, bien qu’on évite autant que possible d’en parler au bon populo. Tenez, par exemple, les Identitaires ont réussi contre vents et marées -sauf qu’en Méditerranée on se contentera du vent- a affréter un navire visant à chasser les trafiquants d’immigrants et leurs complices des ONG. Hélas, vu l’ampleur du phénomène, la disproportion des moyens et l’hostilité générale, l’opération relève surtout du symbole et, s’il est réconfortant de savoir que quelques courageux tentent désespérément de faire obstacle à l’invasion, nos politicards ne manquent jamais de nous ramener sans ménagement à la réalité.
L’ineffable Collomb, notamment, qui, après avoir doctement expliqué aux Corses, qu’il faut se garder d’allumer du feu en période d’incendies, nous expose son programme en vue de la gestion des flux migratoires. On ne la lui fait pas, au Gône, lui il va les trier, les migrants, laisser venir les bons et virer les mauvais, pas plus dur que ça! Et pour ceux qui le méritent il construira neuf-mille logements d’ici 2019, voilà! Seulement il est comme son patron Macrouille, il n’explique pas comment il pourra s’y prendre pour empêcher les indésirables de désirer tout de même venir chez nous, ne serait-ce que pour rejoindre les rivages de la Manche, si difficiles à atteindre depuis la Libye. Vu la manière dont les Italiens nous refilent les clients en douce, lesquels se trimballent carrément à pied sur l’autoroute au dessus de Menton au point qu’on alerte en permanence les usagers en raison de la présence de « piétons » sur les voies, il aura un peu de mal à l’appliquer sa politique de sélection sur le tas, le bovin de Beauveau.
Cela dit, il faut aussi les comprendre ces pauvres Macaronis! Tous les jours les ONG leur en déversent des milliers dans les ports de Sicile! Que peuvent-ils en foutre de tous ces types, sinon les inciter à partir se faire pendre ailleurs? Les Autrichiens, déjà, commencent à parler de fermer leur frontière, de poster l’armée, les blindés, même, pour endiguer le flot torrentueux des Africains soucieux de gouter quelques temps à leurs viennoiseries. Bon, nous pour ce qui nous concerne, nous avons posté les copains de José Bové sur le versant Sud du Col de Tende…alors évidemment mieux vaut s’attendre à accueillir du monde! Plutôt que de construire des centres d’accueil, il gagnerait à réquisitionner les logements vacants et autres résidences secondaires, le Gégé, tant qu’à laisser les portes grandes ouvertes, autant en assumer crânement les conséquences. Et puis comme ça, tous ces citoyens bien intentionnés qui ont voté Macrotte et ses députés bras-cassés, par trouille de voir la mère Tapedur s’emparer des commandes, apprécieraient pleinement la signification de leurs choix électoraux. Hélas, ne rêvons pas, les choses continueront cahin-caha jusqu’à ce que tout pète un jour ou l’autre, faute d’avoir pris dès maintenant les mesures nécessaires, au lieu de raconter aux media des histoires de « hotspots » et de tri-sélectif à faire rigoler comme des baleines tout un monastère de Trappistes.

Cela dit, il en avait encore pas mal à déballer le Guignol de l’Intérieur, spécialement sur le retour au Pays de nos jeunes Djihadistes. Vu que l’Etat Islamique, Dieu merci, n’apparaît quasiment plus désormais que comme un affreux souvenir, qu’il a perdu ses bases stratégiques en Irak et en Syrie, que ses ordures de dirigeants se sont barrés vers des cieux plus hospitaliers et que ses troupes de connards endoctrinés se délitent à vue d’œil, ceux de chez nous qui, hélas, vivent toujours, ne manquent pas de refaire leur sac pour retourner au HLM. Ils en comptent à peu près deux-cent quatre-vingts, au Ministère de l’Intérieur, seulement comme en général le retour du guerrier se fait sans tambour ni trompette et même dans la discrétion la plus clandestine, on peut aisément multiplier leur nombre par dix sans craindre de se retrouver en dessus de la triste vérité. Naturellement ils ne sont pas encore tous rentrés mais comme on ne sait pas très bien qui était parti on aura du mal à comptabiliser ceux qui reviennent. Tout ce que l’on peut numéroter ce sont les abattis des futures victimes de ces soudards d’Allah, défaits en Orient mais prêts à présenter la note aux braves couillons de l’Occident. Et ce n’est pas en regardant la gueule enfarinée de Collomb que nous pourrions nous sentir rassurés!
Sans compter qu’il ne se passe jamais bien longtemps, désormais, avant que l’un de ces Muz fanatiques de malheur ne se décide, plus ou moins efficacement, à passer à l’acte. Le dernier en date, un « Français né en Mauritanie en 1998 » (elle n’est pas bonne, celle-là?), voulait, hier soir, zigouiller du militaire sous une Tour Eiffel illuminée aux couleurs de Jean Neymar (et merde!)…Déjà condamné à quatre mois fermes pour apologie du terrorisme ce charmant jeune homme, placé en asile de fous (c’est plus sympa comme ça) se trouvait hier soir en permission…permission coutelas-Allahou Akbar! Par chance il n’a tué personne, le « Français », gageons qu’il se retrouvera très vite en perm’ et que les flics le surveilleront…pendant ce temps là ça laissera de la marge de manœuvre à ses petits camarades, ainsi va la vie dans le pays des  Droidlom et des Chances Pour La France!

La profonde honnêteté qui m’anime exige toutefois de rappeler qu’en France nous n’avons pas que des Djihadistes, nous possédons aussi des panda. Et même un exemplaire de plus depuis quarante huit heures en raison de la naissance hyper-médiatisée de jumeaux dont un, malheureusement, creva pratiquement tout de suite en dépit des soins plus qu’attentifs d’une armée de vétérinaires (non, pas Teddy Rynner, Vété!). Cela dit, la mère et l’enfant survivant se portent bien malgré la désignation de dame Macron comme marraine du petit. Rappelons qu’il s’agit de plantigrades de nationalité Chinetoque et qu’en conséquences ils n’entendent point le français.
En tout cas ça tombe bien pour Bribri, cette affaire, au moment même où une espèce de hurluberlu lance une pétition visant à lui refuser le statut de Première-Dame de même que les subsides y afférents. Vexation pour la duègne et camouflet pour son petit mari dont l’intention bien arrêtée consista depuis le début à coller son épouse sur un piédestal doré à l’américaine. Cela dit, faites gaffe, j’ai entendu dire qu’un virus se serait glissé dans la pétition… Prudent et sachant bien à qui nous avons affaire, je me garderai surtout de signer un tel document. Ce qui ne m’empêchera pas d’essuyer une petite larme en souvenir de Pénélope … « Selon que vous serez puissant ou misérable »…

Allez, bonne semaine à tous et pour ceux -on ne sait jamais- qui fricoteraient autour du Paris-Saint-Qatar: bien des choses à Jean Neymar!

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN