Une fois qu’on a passé les bornes…

Ce coup-ci y en a marre! Raz le bol, plein le dos, plein le…enfin vous voyez! La mesure est comble, la coupe pleine et toutes les bornes sont dépassées! Comme le faisait remarquer fort judicieusement Alphonse Allais « une fois qu’on a passé les bornes, il n’y a plus de limites ». C’est ce qui arrive à ce pauvre pays de nazes, pays des  droidlom et des petits fouteballeurs bleu-foncés…il franchit sans barguigner tous les garde-fous; du coup les sinoques se retrouvent complètement lâchés dans la nature, plus rien ne les garde et personne ne nous en protège: désormais tout espoir fout le camp vers des cieux plus raisonnables, pour la France, c’est foutu. On est foutu!
Jusqu’à présent, aucun doute ne subsistait vraiment. Depuis longtemps la déchéance imbécile et la décrépitude sénile dont nos fabuleuses élites s’appliquaient à nous faire à tout bout de champs l’éclatante démonstration, nous apparaissait comme de nature à provoquer tôt ou  tard l’effondrement cataclysmique d’une France qui sapait allégrement ses propres fondations. Cependant l’apparence d’un état encore solide, campé sur son organisation bonaparto-gaullienne, pouvait encore laisser croire à une déchéance de long terme, une lente agonie dont seuls nos lointains descendants verraient la fin. Sauf que là, maintenant, c’est l’État lui même qui place les charges de poudre à la base de ses murailles, le puissant cuirassé se saborde, comme la flotte de Toulon en 42, pas question de se battre, l’ennemi a dores et déjà gagné!

Le Conseil Constitutionnel, oui, vous savez, les « Sages de la Rue Cambon », le machin créé en 1958 pour juger de la conformité à la Constitution des lois votées par le Parlement. L’idée, déjà, apparaissait modérément démocratique dans la mesure où il s’agissait de confier à des clampins choisis, qui par le Président de la République, qui par celui de la Chambre, qui par celui du Sénat  -des copains, certes, mais non élus-  le soin de foutre en l’air si bon leur semble,  les décisions arrêtées par les représentants légitimes de la Nation, en d’autres termes par la Répupu soi même. Le Conseil Constitutionnel, c’est donc ladite Répupu qui, en douce, se fait corriger la copie par l’amant de la voisine du dessous! La combine est d’autant plus tordue qu’elle possède une géométrie variable:  suivant les majorités, au hasard des errements démocrassouilles, ses membres se retrouvent plus ou moins à droite ou plus ou moins à gauche, plus ou moins franc-maçons (plutôt plus, en général), plus ou moins gâteux s’agissant notamment des anciens chefs de l’État à qui la Loi Suprême réserva un siège viager, à une époque où les types claquaient dans leurs septantièmes années. Les excellents Valéry et Jacquot n’étaient pas prévus au programme!
Le Conseil Constitutionnel, vous disais-je -on va dire le Concon, ça ira plus vite, vient donc de prendre une décision qui vaut son pesant de crotte de chien, c’est moi qui vous le dis et je m’y connais, vous pouvez me croire, vu le nombre incalculable de fois où j’ai marché dedans au cours d’une vie déjà fort longue (ce devait être le plus souvent du pied gauche, car pour être toujours là après tout ce qui m’est arrivé depuis la première moitié du siècle dernier, il faut vachement de bol, croyez moi). Cela dit, bon, on va finir par y parvenir, un peu de patience, l’extrême gravité du propos, nécessite qu’on l’amène en douceur, sans brutalité et avec tout le tact et la mesure nécessaires pour éviter les crises cardiaques et autre AVC, qu’annoncé sans ménagement il risquerait de provoquer chez mes bien-aimés -rares et donc précieux-  lectrices et lecteurs.
En un mot comme en cent, donc, voilà ce qu’ils ont trouvé Vendredi les soi-disant Sages du Concon. Vous connaissez -ou pas- le sieur Cédric Hérrou, un prétendu « agriculteur » de la vallée de la Roya, au dessus de chez moi, le long de notre frontière avec l’Italie. Cet individu, installé dans un gourbi de montagne, passe le plus clair de son temps à transporter et à héberger les clandestins qui viennent aimablement nous envahir. Les tribunaux, bien obligés d’appliquer la Loi, même s’ils ne le font qu’à reculons, vu que Hérrou c’est un gauchiard du même acabit que la plupart des juges, mais en plus activiste, l’ont condamné à des peines, certes gentillettes mais suffisantes toutefois pour que les règles mises en place par l’ineffable Sarko, permettent à l’intéressé -ou à ses potes- de saisir le susdit Concon, lequel vient de trouver la solution finale: le « Principe de Fraternité »! Oui mais encore, observeriez vous pour parler comme il convient aujourd’hui, disez nous un peu cékoi le principe de brozeure-niqué ?
Eh bien mes chers amis, le principe en question, dans le genre arnaque de grand style  -ou, si vous préférez, de meurtre avec préméditation-  on n’avait pas fait mieux depuis la prise de la Bastille! Et justement il y a un lien, puisqu’aussi bien notre affaire trouve sa source dans cette Grande Révolution Franchouille qui a tant œuvré pour remplir les cimetières. Suivez moi bien, la devise de la Répupu tient en ces trois mots glorieux et généreux autant que lapidaires: « Liberté, Égalité, Fraternité ». La liberté, ma foi, on s’en est vachement servi, notamment pour entuber les braves gens qui s’en trouvent privés parce que la leur ferait obstacle à celle d’autres, plus dignes sans doute d’intérêt. L’égalité apparaît comme une denrée fabuleuse que l’on peut mettre à toutes les sauces pour justifier la plupart des injustices, des dilapidations et des saccages, mis en œuvre par nos maîtres à penser et à gouverner afin de caresser dans le sens du poil les abrutis et les fainéants dont se trouve constituée leur base électorale. La fraternité, en revanche, excepté les velléités fuligineuses de Ségo La Pintade dans les déballages psychédéliques de son inénarrable campagne, en 2007, nul n’était encore parvenu à s’en servir à des fins de démolition sociétale.
Le mal est réparé! Le Concon, lui, il a trouvé la coupure en portant ladite « Fraternité » au rang de principe constitutionnel, donc supérieur par nature aux lois et des règlements de la Répupu, quels qu’ils puissent être.
Alors, suivez moi bien, désormais tout ce qui est écrit dans les centaines de milliers de pages des centaines de codes à la con et autres recueils de textes administratifs, se doit impérativement d’être fraternel. Ne vous figurez tout de même pas, restons sérieux, que l’absence totale de fraternité qui caractérise votre percepteur quand il vous colle un redressement ou bien encore le radar automatique lorsque vous dépassez la vitesse fraternellement autorisée, puissent se voir concernés par le principe en cause, non, là vous pouvez toujours vous brosser. En revanche, lorsque vous rencontrez un jeune malien en manque cruel d’affection, occupé à donner un bon coup de grosse quéquette à la demoiselle qui passait par hasard, vous n’avez pas intérêt à tenter de l’en empêcher. L’exemple paraît sans doute un peu outré mais pas tant que cela, si vous regardez bien, puisque l’idée de départ consiste à  considérer l’aide aux « migrants » entrés en fraude sur le territoire national  comme légitimée par la Constitution. Le camarade Herrou peut donc à bon droit jouer son rôle de passeur plus ou moins bénévole sous l’œil bienveillant de la Répupu. Et comme l’aide à ces malheureux en détresse relève au premier chef de la solidarité fraternelle, pour le jeune Malien ci-dessus mentionné, gaffe, il a vraiment besoin de se rasséréner le bousticateur… n’allez surtout pas lui gâcher ce bref moment de fraternité! Mais ne vous avisez pas d’en faire autant, bougre de salaud, il vous en cuirait grave, surtout avec la jurisprudence Weinstein!

Pour résumer la situation, la plus haute autorité de l’État, juge suprême des lois,  permet de désobéir à ces dernières lorsqu’il s’agit de favoriser l’invasion africano-musulmane. C’est ça que ça veut dire, rien d’autre! En guise de justification elle nous exhume ce vieux concept d’inspiration maçonnique, fumeux et imprécis, gravé en lettres dorées au fronton des édifices républicains: fraternité. Et c’est à cause de ce bidule que seront bradés notre identité, notre sécurité, l’héritage de nos ancêtres et l’avenir de nos enfants!
Y a pas à tortiller, c’est chouette la Répupu, spécialement quand ça franchit les bornes! Maintenant les amis, il n’y a plus de limite…mais réjouissez vous sans retenue (comme on disait dans les lycées en 68) « la France » est en demi-finale, alléluia! Pour peu que nos amis Belges se montrent compréhensifs vis à vis de nos chers petits Bleus (foncés), à tous les coups on disputera la finale et Macrounette pourra se refaire la cerise!
Et tout cela dans un esprit de fraternité bien comprise puisque ça se passe en Russie, que six Russes c’est six Slaves, six Slaves c’est qu’y s’nettoie, et s’y s’nettoie c’est donc ton frère!
Faites pas attention, la chaleur sans doute…

Que l’Esprit de la Sainte-Fraternité vous inonde sans toutefois vous noyer!
Amicales salutations à tous et à la semaine prochaine.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

 

26 réflexions sur “Une fois qu’on a passé les bornes…

  1. elba 8 juillet 2018 / 13 h 08 min

    « Six russes c’est six slaves… » Ah ! j’adore lorsque la chaleur vous envahit, Nouratin ! « Brotheure-niqué » c’est pas mal non plus. 😉

    Heureusement que vous vous laissez partir un peu dans les jeux de mots, sinon, même avec votre prose que j’admire toujours, il y aurait de quoi… de quoi quoi d’ailleurs ? J’ai déjà tendance à déprimer dès que je regarde les infos. De quoi déprimer encore plus, sans doute.

    « La fraternité »… moi j’attends de voir l’exemple d’en haut. Et lorsque je saurai que Macrouille, Attali, BHL, Sorros et toute cette bande accueillent moult migrants dans leurs résidences secondaires, gratuitement et à leurs frais – mais pas aux nôtres – alors là, je réfléchirai.

    Sinon, en matière de fraternité, mon truc à moi serait de ne pas aller bombarder les pays étrangers, et de les laisser vivre comme ils le veulent, sans qu’ils viennent regarder ce qui se passe chez moi. Mais bon ! Y’a le pétrole, le gaz, les métaux précieux qui enrichissent ceux qui sont déjà riches… et qui se trouvent ailleurs que dans notre beau pays. C’est sans doute pour cela qu’il y a toute cette chienlit à l’heure actuelle.

    Une coquille dans le second paragraphe : « la » déchéance… Vous voyez bien que je vous lis attentivement, hein ? 😉

    Plein de bises, bien à l’ombre.

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    • nouratinbis 8 juillet 2018 / 15 h 23 min

      Merci chère amie pour votre efficace assistance, j’ai reféminisé grâce à vous
      notre déchéance!
      Sinon, pour le reste, je pense en effet que le désintéressement de nos chers
      directeurs de pensée et gouvernants de surcroît, est à géométrie variable, lui
      aussi.
      Bisous climatisés.

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  2. Paul-Emic 8 juillet 2018 / 14 h 22 min

    « « La fraternité »… moi j’attends de voir l’exemple d’en haut. Et lorsque je saurai que Macrouille, Attali, BHL, Sorros et toute cette bande accueillent moult migrants dans leurs résidences secondaires, gratuitement et à leurs frais – mais pas aux nôtres – alors là, je réfléchirai.  »

    Chère Elba, peut-être n’avez vous pas compris, mais j’en doute, que ce n’est pas du tout le sens de la partie qui se joue. Attendez, attendons et nous n’en serons que plus Gros-Jean comme devant. Attendre! mais c’est exactement ce que veut la clique de débauchés que vous citez. C’est notre attente qui fait leur force parce que notre passivité et notre indécision jouent en leur faveur.

    Dans un registre voisin on vient d’apprendre que la mosquée cathédrale construite à Poitiers avec le soutien de tout l’État français ripoublicain et maçonnique, contre laquelle des jeunes hommes, courageux ont risqué gros, vient d’être baptisée du nom de « Pavé des martyrs » en hommage, d’après son promoteur, aux combattants musulmans morts à Poitiers sous les coups des Francs de Charles Martel.

    Ils ont la mémoire, ils ont la haine, ils auront forcément la victoire, c’est inéluctable. Nous on se demande encore si taguer « les musulmans sont des méchants » ce n’est pas trop violent et d’ailleurs notre justice nous condamne comme si nous en avions décapité une dizaine juste pour s’échauffer le poignet.

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    • elba 9 juillet 2018 / 13 h 29 min

      Paul-Emic, ce que je voulais dire par là, c’est que ma fraternité se borne pour le moment à l’encontre des gens qui m’entourent, des gens qui sont honnêtes…
      Lorsque j’aurai un exemple venant d’en haut, ce dont je doute, alors on verra pour « ma fraternité » si elle peut s’étendre un peu.

      Effectivement, moult mosquées sont financées à nos frais, alors que nous (enfin, moi) sommes chrétiens. Nos églises tombent parfois en ruine et l’état n’est pas là pour les consolider.

      Quant au « les musulmans sont méchants » c’est clairement raciste, soyez-en certain !

      Ce matin je suis allée à la plage avec mes petits-enfants. Une plage longue de sable fin, près de laquelle il n’y a aucun magasin… Je m’y suis encore sentie en douce France, car toutes les personnes rencontrées (pas beaucoup, c’est certain) nous ont souhaité, poliment et avec le sourire, le bonjour.
      C’est cela mon pays… Il en reste encore de petits endroits protégés.

      Bisous.

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      • Paul-Emic 9 juillet 2018 / 15 h 06 min

        quelques îlots bientôt submergés

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  3. nouratinbis 8 juillet 2018 / 15 h 26 min

    Je ne sais pas qui a décidé de nous éliminer, mais en tout cas il s’y
    prend comme il faut. Nous ne faisons pas le poids, je le crains.
    Amitiés consternées.

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  4. Boutfil 8 juillet 2018 / 16 h 08 min

    j’ai des doutes sur la  » fraternité » de ce taré de soit disant paysan qui recueille les migrants, j’ai mauvais esprit, je sais bien, mais, j’ai comme dans l’idée que c’est pas totalement fraternel et désintéressé, passons….
    en ce qui concerne les soit disant sages, qui nous vendent comme des serfs au moyen âge, je souhaite ardemment que le jour venu , les amis accueillis avec fraternité commencent par eux pour la séance de pal, on en est réduit à regarder cette catastrophe qui s’annonce et a espérer que nos descendants auront les c….nécessaires
    gros bisous l’ami et bonne semaine

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    • nouratinbis 8 juillet 2018 / 17 h 34 min

      Tu sais, si nous, nous n’avons pas les c…je crains que nos descendants n’en auront
      guère plus…oui je sais, question optimisme ça le fait pas…
      Gros bisous et profitons-en tant que ça dure.

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  5. Pangloss 8 juillet 2018 / 16 h 29 min

    J’étais en train de donner mon opinion sur ce sujet quand je me suis interrompu pour lire ton excellent billet. Tu as raison: nous sommes désormais foutus. N’importe quel imbécile pourra contester n’importe quelle décision de justice qu’il jugera insuffisamment fraternelle à son goût.
    Mais surtout n’importe quel enrichisseur fraîchement arrivé pourra exiger qu’on lui donne des preuves tangibles, sonnantes et trébuchantes (et plus si affinités et même sans affinité aucune) de notre fraternité.
    Amitiés.

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    • nouratinbis 8 juillet 2018 / 17 h 36 min

      Ben oui…j’espère que la Corse continuera à ne pas fraterniser
      avec n’importe qui…
      Amitiés.

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      • Pr Calguès 9 juillet 2018 / 9 h 59 min

        En Corse les « natios » au pouvoir le sont par défaut car la classe politique « clanique » complètement déconsidérée a perdu presque tout son crédit pour ne pas écrire son honneur.
        Les Corses sont hospitaliers, c’est connu, mais pas au point que les camarades Simeoni et Talamoni veulent faire avaler à l’opinion.
        Ces deux là font de la provoc c’est tout. Et personne ne moufte.
        Personne ne moufte non plus, vous l’aurez remarqué, après la récente et calamiteuse décision du ConCon que vous venez d’évoquer.

        Désespéré, je vais me goinfrer de socca pour me consoler !
        Allez, baïèta, collègue et vive le Comté.

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  6. Gérard 8 juillet 2018 / 17 h 54 min

    Fraternité, ça vient du latin – frater, ça veut dire frère. Ah ben là, ça va plus ! Et les soeurs, hein, elles sont où, les soeurs ? Va falloir me changer ça, et vite fait. Allez hop ! Un con-grès pour décider que la devise doit prévoir la sororité et en premier en plus, pas par galanterie évidemment, ce truc qui va bientôt tomber sous le coup de la loi mais pour compenser le fait que celles qui se pensent nanas attendent depuis plus de 200 ans réparation de cette injustice.
    Ça y est : je crois que je fais partie du camp du Bien.
    Amitiés quand même, bande de fachos !

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    • Gérard 9 juillet 2018 / 6 h 16 min

      Excusez-moi M’sieurs-dames, j’ai écrit « celles qui se sentent nanas » et il fallait évidemment lire « celles-zé-ceux qui se sentent nanas » … Mea culpa, et en plus je ne sais pas quel pronom personnel il faut utiliser pour qui se sent plutôt « non binaire ». Parce que ça existe aussi, ce bidule, et on ne voit pas au nom de quoi i.e.lle.s auraient droit à rien dans la devise de la répupu ? Non ?

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  7. nouratinbis 8 juillet 2018 / 20 h 48 min

    Tiens c’est vrai ça au fait! Ils se sont drôlement plantés les Concon!
    Amitiés sorornelles!

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  8. Liz Ford 9 juillet 2018 / 6 h 29 min

    Les folles Chiennes de Garde, dressées contre le mâle (mal ?) dominant, allez savoir pourquoi tant de haine ? Avaient proposé de remplacer « fraternité » par « adelphité ». Un quart d’heure de discussion avec une de ces initiés suffit pour comprendre que leur logorrhée vengeresse, relève de la rage du manque de pénis. Je n’évoque pas ici le pénis intermittent du partage amoureux, mais de son absence tout court si je puis dire. A croire qu’elles méprisent leur clitoris. Quelques séances chez un psychiatre pourraient, peut-être, les aider à réintégrer leur féminité.
    C’était pour Gérard qui à posé le doigt où qu’ça fait mâle.

    Fraternité donc, vaste sujet, sujet bateau… rempli de migrants économiques qui choisissent l’assistanat de l’état, plutôt que de travailler leurs terres. Le Concon tient le pompon !
    En quelque sorte une loi Herrou, gravée dans un étron de plus.
    Fraternité évidemment, puisqu’il s’agit de jeunes mâles sportifs, parfois grimpeurs, qui ne demandent qu’à grimper… Comme Montaigne ? Non là je m’égare. Ils ne savent bien souvent ni lire, ni écrire, ils sont là pour déstabiliser les Desouches blancs et fournir une main d’oeuvre low cost, l’esclavage c’est pour maintenant. Faudra pas pleurer.

    Si en effet, les corrupteurs sont riches et blancs, c’est que l’Africain est hautement corruptible, pourquoi s’en priver ? C’est à un tel niveau, que conduire une voiture en Afrique, du nord au sud, quand on est blanc, doit inclure la distribution de bakchiche au flic qui peut vous arrêter pour n’importe quel motif. Des amis ont trouvé la solution : ils paient désormais un chauffeur local.

    L’Africain n’est pas industrieux, la technologie n’est pas son fort et il est inconstant.
    Voir ce qu’est devenu le Zimbabwe après la spoliation des terres appartenant aux blancs : la famine auto générée. L’Afrique du Sud suit le même chemin. Ils n’ont pas compris que posséder ne suffit pas, il faut travailler intelligemment. Comme l’écrivait un correspondant dans un commentaire : « la kékette et la machette ne suffisent pas. »

    Ils ne s’adapteront jamais à nos terroirs.
    Pour conclure un éclairage cru :
    http://echelledejacob.blogspot.com/2018/07/repartition-du-qi-dans-le-monde.html

    Merci encore Nouratin et bien des bises à tous

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  9. nouratinbis 9 juillet 2018 / 18 h 19 min

    Oui, peut être, mais il ne faut pas le dire, ça c’est puni par la loi…et puis
    surtout ce n’est pas fraternel!
    Merci à vous et gros bisous.

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  10. carine005 10 juillet 2018 / 9 h 39 min

    « Ne vous figurez tout de même pas, restons sérieux, que l’absence totale de fraternité qui caractérise votre percepteur quand il vous colle un redressement »
    Comment le sais-tu ? Tu as des radars chez moi, avoue !
    J’ai un redressement pour avoir déclaré ma mère dépendante à notre charge, chez nous, et avoir oublié de fournir une carte d’invalidité que je n’ai jamais demandée, vu qu’on avait une carte de personne handicapée. On m’a coincée pour crime grave et j’ai un redressement pour 3 ans d’une part supplémentaire dont je n’aurais pas dû bénéficier, à leurs yeux.
    Mais attention ! Ce n’est pas du redressement ! « des modifications », ça s’appelle. Pluss des majorations (attention, pas des sanctions !) pluss des intérêts de retard…
    Ce pays de cons m’insupporte de plus en plus.
    Alors conciliateur fiscal et tout. Mais paraît que le conciliateur ne conciliera rien, puisqu’il doit soutenir son administration. Donc encore un emploi fictif.
    C’était ma tranche de vie en france maçonnique.
    Ils nous font vraiment les poches, pour loger, nourrir et soigner nos frères terriens (les soeurs arrivent par avion, juste après, pas de bousculade). Fais un tour à Orly sud, tiens …

    Le camarade Herrou a misé sur le bon cheval. Il sera présipède de la raie publique.
    Et nous, nous irons reboiser le Sahara.

    Jardinobizouilles !

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    • nouratinbis 11 juillet 2018 / 11 h 51 min

      Tu es bien à plaindre et toute ma commisération fraternelle t’est acquise, un redressement
      fiscal c’est le pire des châtiments qu’on puisse imaginer, vu que la prison, on n’y va plus, ou
      en tout cas pas longtemps et que tous les supplices ont été abolis, sauf celui-là. Mais il faut
      des sous pour entretenir les voyageuses d’Orly-Sud.
      Mon pays ce n’est pas un pays c’est la merde!
      Foutuzibouilles.

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  11. elba 10 juillet 2018 / 13 h 51 min

    Carine, effectivement, un de ces jours, on se demandera s’il n’est pas plus confortable pour nous d’aller reboiser le Sahara…
    Mais si nous faisons cela, une fois reboisé, ces sangsues reviendront au Sahara nous voir, pour nous coller des impôts et taxes divers.

    Des « majorations » + « des intérêts de retard » ? Ce n’est pas la même chose, tout ça ?
    Quelle bande de voleurs !

    Pas eu de chose de cette sorte, moi, je ne suis pas imposable. Mais « seulement » suppression de mes 39 euros d’apl, vu que je n’étais pas ‘éligible’ à la hausse de la CSG (moins de 1000 euros par mois.)
    Il y a sept ans, j’avais 150 euros d’apl/mois. A présent, avec le même revenu, zéro.
    Les pauvres (français) coûtent cher, que voulez-vous ! Les migrants beaucoup moins : eux, ils sont UNE CHANCE pour la France !

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    • carine005 10 juillet 2018 / 22 h 49 min

      Non Elba, tu as bien lu : majorations d’impôts en plus des « modifications » (rattrapage), plus intérêts de retard.
      Oui, c’est du vol.

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    • nouratinbis 11 juillet 2018 / 15 h 19 min

      Depuis quarante ans passés on nous serine le même rengaine et, forcément, on nous
      pompe de plus en plus de sous. Le reboisement du Sahara nous guette, certes, mais
      ne nous sauvera pas, hélas, la disparition nous guette…
      Amitiés d’un optimisme modéré.

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  12. G.Mevennais 10 juillet 2018 / 17 h 30 min

    Chaque semaine, grâce à vous et à quelques autres « blogspotes », nous apporte son lot d’infamies. Qu’ajouter à tout cela, la guillotine ? Il faudrait raccourcir un nombre…incalculables de français (sans majuscule faut pas exagérer quand même)….rien à ajouter…. Ah, si, j’oubliais, la blague que j’avais apprise commençait par « Sais tu pourquoi Sirus, le roi des Perses, est ton frère ? » parce que Sirus, c’est si slaves….etc.
    Amitiés, cher Nouratin, et bonne semaine, malgré tout, à tous/toutes.

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  13. nouratinbis 11 juillet 2018 / 15 h 21 min

    Oui, c’était ça la blague…mais je n’ai pas réussi à coller le roi des Perses
    dans le texte, je me suis contenté de tronquer.
    Amitiés.

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  14. Louis d'Hautan 14 juillet 2018 / 15 h 13 min

    Le concon aurait dû aller plus loin dans sa lecture de l’inénarrable devise franc-maçonne : « Liberté, égalité, fraternité… ou la mort »
    Lecteur de longue date, mais je l’avoue, pas assidu. S’agissant de ce petit enfoiré d’hérou, je n’ai pas résisté à venir déposer mon grain de sel dans les com’
    Bonne continuation.

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    • nouratinbis 14 juillet 2018 / 18 h 54 min

      Merci pour lui, il vaut bien ça le camarade Hérrou.
      A un de ces jours, j’espère.

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