Séquestration de migrants!

Même le Frontex le dit, enfin son patron, Fabrice Leggeri, énarque normalien qui n’a pas froid aux yeux…je le trouve même particulièrement gonflé, le type, d’aller sortir, en pleine mouscaille migrantesque, « les africains qu’on repêche en Méditerranée, parce qu’on ne peut pas faire autrement, il faut les retourner dare-dare à l’envoyeur! A la manière dont on déconne, là, on est entrain de bien faire comprendre aux clandestins ainsi qu’à leurs passeurs, tout l’intérêt qui s’attache à tenter la traversée: pour peu qu’on arrive à mettre un pied en Europe, on est certain d’y rester! Et puis d’abord pourquoi on les amène systématiquement de ce côté-ci de la Mer? Il existe bien des ports sûrs, en Afrique du Nord, pas vrai? Vous n’allez tout de même pas nous raconter qu’en Tunisie c’est le règne du chaos et de la sauvagerie débridée! Une démocratie issue du Printemps Arabe (voir ici et aussi là), tout de même, enfin! Parce qu’à continuer comme ça, doucement-doucement on se dirige vers les petites Afriques d’Europe, enfin je veux dire les sociétés parallèles installées chez nous avec leurs lois et leurs mœurs, parfaitement étrangères à nos états de droit! » Là, sur ce dernier point, le Fabriçou, on voit bien qu’il ne se pointe pas souvent à Trappes, à La Courneuve, ni même à Barbès, dans le cas contraire il verrait que la Répupu Franchouille en possède déjà une sacrée tripotée d’implantations sauvages qui se foutent du sacro-saint « état de droit » comme de leurs premières babouches…cela dit, pas la peine d’en rajouter, il a raison, ce Monsieur, voilà tout. Il a même tellement raison que je m’inquiète pour lui, le premier qui dit la vérité… comme disait feu le papa d’Emmanuelle -celle qui soutient si gentiment les envahisseurs, vous voyez qui je veux dire- il risque de le payer, son coup de gueule, ce garçon! On ne rigole pas avec la migration, en Europe, on la voit même tellement à sens unique que lorsque les Ritals ont envie de se débarrasser de la patate chaude… ils demandent carrément aux copains d’ici de se la coltiner. Personne, même pas Salvini, n’aurait idée de demander un petit coup de paluche à nos potes du Maghreb! Non, faut qu’ils restent en Europe ces jeunes-gens, sans quoi on ne pourra pas vérifier si, par impossible, dans le tas on n’en dégotterait pas un ou deux éventuellement susceptibles de prétendre un tant soit peu au droit d’asile.
Du coup, même si personne n’en veut, du bâton merdeux, il faudra bien le ramasser, un petit bout chacun, sans faire les dégoûtés… Oui, sauf que justement les Européens ont de moins en moins envie de l’attraper à pleine main, ledit bâton, la fiente ça se supporte un moment, puis vient le temps de la savonnette purificatrice. Personne n’en veut plus de « migrants », on voit bien, comme dit le camarade Leggeri, à quel point ça risque de nous accélérer la décrépitude, cette horreur. C’est dangereux, nous en faisons tous les jours l’amère expérience -même si nos media s’abstiennent farouchement de tout nous raconter- et puis c’est injuste! Pour quelle obscure raison faudrait il obliger les peuples à se farcir des fréquentations invasives dont ils ne veulent pas, qui les révulsent? On nous a demandé, à nous autre Européens, si on les voulait tant que ça, nos frangins du Sud? On en a plein la bouche de la démocratie, alors hein, un petit referendum à l’échelle du Continent, pourquoi pas?… Ah ben non alors! Parce qu’on connaît le résultat à l’avance! Et là on ne marche plus. M’enfin, le processus démocratique n’a pas été inventé pour soutenir la réaction nauséabonde, tout de même, ça se saurait! Et d’une manière générale, les referenda faut s’en méfier, comme source d’emmerdes on ne fait pas mieux, regardez donc le coup du Brexit, tiens!  Et le « non » de 2005, le dernier loupé franchouille! Treize ans après on le traîne encore, un boulet pas possible, une invention des Chirac-Villepin, ces ahuris qui croyaient faire de la politique démocratique sans désastre, comme avec la dissolution de 1997, vous vous souvenez? Celle qui nous apporta cinq ans de jospinisme, les trente-cinq heures, tout ça! Alors croyez moi, les problèmes des Démocraties il faut les traiter le moins démocratiquement possible, sans quoi on ne maîtrise plus rien…ne vous faites donc pas de bile pour les « migrants », pour leurs passeurs, ni pour les ONG complices, tout ira bien pour eux. Ce que peuvent en penser le patron du Frontex et les Peuples de chez nous, on s’en tripatouille le bigoudi valseur; comme dit l’adage latin: electa una via non datur recursus ad alteram, une fois qu’on est parti dans une direction, on n’en change plus! La question c’est juste « pourquoi sommes nous si cons ». Faut il vraiment tenter d’y répondre?
Il convient toutefois de nuancer. Vous avez les très cons, les indécrottables…ça c’est nous. En France une espèce de majorité vachement silencieuse rouspète depuis quarante ans contre, non pas l’invasion du pays, ça c’est déjà un peu compliqué, mais sur les conséquences fâcheuses qu’hélas elle comporte. Les braves gens, pour la plupart, restent muets sur l’importation massive de populations « non européennes ». Ils voient cependant avec effroi le paysage changer et la vie quotidienne devenir plus risquée, moins paisible, ce qui est surtout vrai pour les habitants des quartiers suburbains. Alors ces derniers ont fini par transformer leur inconfort et leur peur en bulletin de vote  Front National. Les Communistes ayant disparu du paysage et les burqas ayant fait une apparition remarquée, un tel choix s’imposait désormais. Seulement voilà, jamais cela ne constituera une majorité; qu’il faille ou non le déplorer n’a rien à voir avec la présente question mais le fait est là: pas de pouvoir, dans l’hexagone, pour les partisans du nettoyage par le vide. Et comme la règle politicarde impérative et absolue interdit à tout Wauquier ou équivalent quelque alliance que ce soit avec les affreux de l’Extrême-Droite, la cause est entendue, le pays des droidlom restera ad vitam aeternam le pays où  la majorité amorphe devra toujours s’incliner devant une infime minorité active, rousseauiste et humanitariste, exonérée -pour le moment- de toute promiscuité désagréable par son aisance financière.
Et, à côté des Franchouilles, vous avez les autres bien-pensants, le Nord-Ouest européen, pour faire simple. Ceux-là apparaissent toutefois un peu moins cons et, en même temps, un peu plus respectueux des exigences démocratiques. Ils deviennent en conséquence très circonspects vis à vis des sentiments xénosceptiques de leurs électeurs, ne parlons même pas des Chleus qui désormais, pratiquement, peuvent se voir classés dans la troisième catégorie, celle qui regroupe les Européens lucides.
Ces derniers, à l’image des hongrois et des Polonais, ne veulent pas voir un seul clandestin mettre les pieds sur leur territoire. Clair et net. Ces gens-là s’aiment bien, ils ont la tête sur les épaules et n’apparaissent en aucun cas disposés à ce laisser envahir par les barbares. Ils se sont suffisamment farci les Soviets pour savoir de quoi il retourne lorsqu’on commence à laisser le ver s’installer dans le fruit. L’Est Européen, Bochie désormais comprise, se ferme totalement et sans rémission aux transfuges du continent noir.

Restent donc, en gros, les Franchouilles et les Ibériques. Et là, on notera un fait intéressant:  l’accident socialiste espagnol ne produira sans doute aucun effet notable à l’exception de l’Aquarius, affaire réglée dans l’euphorie d’un moment de déconnage gauchiard vite réprimé par l’instinct de survie du bon populo, lequel se souvient encore vaguement des affres d’une occupation musulmane, certes fort ancienne mais propre à laisser dans l’inconscient collectif des traces indélébiles. Et puis, il y a Ceuta, leur petit bout d’Afrique, régulièrement assailli par des hordes de jeunes subsahariens qui balancent tout ce qui leur tombe sous la main, à commencer par le contenu des tinettes, sur des gardes-frontière dépassés par le nombre. Pas fous, les Espanches, ils voient à quelle sorte de « migrants » ils ont affaire…par conséquent, à l’exception de Podemos -les Insoumis à la sauce paella- personne en Espagne ne marche plus dans la combine. Quant aux Portugais, pour eux la question ne se pose même pas: leurs ports sont sur l’Atlantique et de toute façon aucun Africain, à l’exception de quelques Angolais triés sur le volet, ne songerait à se replier sur un pays voué à l’accueil exclusif des retraités franchouilles en rupture de fisc.
Et voilà donc qu’on assiste maintenant à des évènements étrange. Comme le coup du « Diciotti », le navire de la Marine Ritale qui ne savait plus quoi foutre de sa cargaison de naufragés secourus entre Lampedusa et Malte. Salvini restant intraitable sur le débarquement des intéressés, et ses alliés Cinq-Etoiles lui apportant un soutien sans faille, il a bien fallu trouver une combine. Combine que la Gauche Italienne a fini par dénicher avec l’aide des Juges: inculpation du ministre nauséabond de l’intérieur pour séquestration de migrants sur navire de guerre! Du coup le processus c’est accéléré et une solution miraculeuse a vu le jour! Un peu biscornue tout de même, la solution: on va en refiler une vingtaine aux Albanais, affaire conclue avec quatre sous pour leur faire passer la pilule; on en envoie aussi une pincée en Irlande (tiens, je les avais oubliés, ceux-là) vu que l’actuelle présence du Pape à Dublin implique tout de même un petit geste commercial. Et pour finir, toujours par la grâce de Francesco le Jésuite, ce sont les Évêques d’Italie, si j’ai bien compris, qui vont se répartir le reste…ça c’est plutôt ennuyeux parce que je les vois déjà, ces braves garçons, foutre leur camp en direction de Vintimille, histoire de rejoindre aussi vite que possible le paradis macronnien.
Le seul point positif dans tout ça ce pourrait être l’Albanie. Après tout ils sont à la fois Musulmans, Méditerranéens et Européens, ceux-là. En admettant qu’on leur graisse un peu la paluche ça pourrait le faire, non… En espérant qu’ils n’exigent pas, en échange, qu’on les fasse entrer dans l’Union Européenne…Pardon? Que dites vous? Ah, « au point où nous en sommes! » Oui, après tout…

Amitiés chaleureuses aux lecteurs,

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

La petite fable du Pont

« Quand dans les dix ans qui viennent, un jour ou l’autre, le Pont Morandi s’écroulera et quand, alors, nous passerons tous des heures et des heures coincés dans des embouteillages monstres, nous nous souviendrons de ceux qui ont dit non à l’autoroute de contournement« .  Voilà, mot pour mot, les paroles du Président de la Chambre d’Industrie de Gênes en Décembre 2012. Un optimiste, le mec, en même pas six ans l’affaire se retrouvait dans le sac! Un beau désastre, le viaduc Morandi, un désastre républicain, un désastre démocratique! D’accord ça se passe en Italie, avec tout le côté folklo qu’on peut y associer, surtout nous, les Franchouilles, gens sérieux s’il en est, qui font, notamment, circuler les trains, les avions, les camions et même les bagnoles, dans une harmonie si admirable que le monde entier nous l’envie.
Pourtant, même en Italie on trouve des gens de bon sens, vous vous rendez compte! Des types responsables qui voyaient venir les gros emmerdements depuis fort longtemps. Le projet de contournement en question existait depuis 1984, une paille! On voyait bien le trafic autoroutier augmenter sans cesse, avec de plus en plus de camions et de plus en plus lourds. Ils savaient parfaitement, les gens de bon sens, que le joli viaduc surplombant Gênes, ouvrage d’art au sens le plus artistique – pour ne pas dire le plus poétique- du terme, n’offrait pas, dans de telles conditions,  les garanties d’un minimum de pérennité. Ils n’oubliaient pas, non plus, à quel point on peut douter de la qualité des bétons des années soixante, époque où c’était la Mafia qui décidait de la quantité de sable à incorporer, histoire de dégager le petit bénef supplémentaire qui met de l’huile dans les rouages administratifs. Ils se doutaient bien, ces braves Ritals, que chaque fois qu’on fait passer un quarante-tonnes sur un machin pareil on crée des ondes vibratoires propres à fragiliser un peu plus la structure. Et des engins de ce calibre il en déboulait deux bons milliers toutes les vingt-quatre heures en moyenne, vous pensez, une des principales routes entre l’Ouest et l’Est de l’Europe, ça génère du flux!
Du coup, on se dit qu’il était quand même balaise, cet architecte Morandi, il a résisté au delà de toute raison, son joli viaduc en allumettes géantes, ça fait un bail qu’il aurait dû se retrouver cinquante mètres plus bas, dans le lit douillet du petit fleuve Polcevera. Le plus rigolo restera pour moi, personnellement -ce qui m’importe le plus, je vous l’avoue- que j’y suis passé au moins vingt fois, entre les années soixante-dix et les années deux-mille, sur ce transbordeur mal ficelé. Ça se faisait tout naturellement, sans penser à mal, on percevait le caractère plutôt gracile de la structure mais la confiance l’emportait, y a pas de raison…ben oui, il y en avait une, voire même plusieurs, mais, comme disait voilà fort longtemps Fernand Raynaud (un comique qui ne se qualifiait pas « humoriste », à l’époque la décence l’emportait encore) « c’est étudié pour« … En effet…étudié sans aucun doute, mais pour…pour un trafic dix fois inférieur, ça change tout!
En un mot comme en cent, tout le monde, enfin je parle des gens dûment informés, savait que ce viaduc pouvait se casser la gueule du jour au lendemain. Manque de pot, dans une démocratie digne de ce nom, les gens informés on s’en fout, ce qui compte c’est l’opinion publique et ceux qui la manipulent. En l’occurrence nos amis Ritals disposaient d’une arme redoutable, l’illustre Beppe Grillo, le fondateur du Mouvement Cinq Etoiles, plus tard grand triomphateur des dernières élections. Le zigoto en question, un pitre de haut vol recyclé dans la politique, un peu le genre Coluche mais successful, lui, penchait grave, en plus de sa vocation anarchiste, sur le côté écologiste militant. Et donc cet espèce d’hurluberlu s’acharna à faire capoter le projet d’autoroute de contournement, avec toute la hargne et le mordant dont on le sait capable. Son leitmotiv: « Il faut envoyer l’armée pour les arrêter! Et qu’ils ne viennent pas nous raconter la petite fable de l’écroulement imminent du Pont Morandi; Autostrade (le concessionnaire autoroutier) nous a dit, à nous, qu’il durerait encore au moins cent ans, ce viaduc! » C’était il y a quatre ans! Donc ce pignouf a réussi, avec d’autres politicards du même acabit, à bloquer encore un projet vieux de trente ans dont l’urgente nécessité apparaissait tellement évidente que nul ne la voyait!… au moins parmi les grands décideurs de leur République, aux Macaroni, laquelle sous certains aspects se révèle parfois encore pire que la notre.
Vu, au surplus, le coût exorbitant de l’opération envisagée -entre trois et quatre milliards d’Euros-  Grillo et ses acolytes emportèrent aisément le morceau. Il fallut encore des années pour que le dossier revienne sur le tapis européen y recueillir enfin, hélas trop tard, un avis favorable, en d’autres termes une subvention… au demeurant tout à fait justifiée au vu de la portée internationale de l’affaire. Et c’est d’ailleurs, bien évidemment, sous les roues des gros camions polonais, tchèques et bulgares, entre autres, que l’œuvre maîtresse du camarade Morandi finit par s’effondrer comme un amas de déjections canines. Merci M. Grillo, merci les 5 Étoiles et merci la Démocratie! Quand l’incompétence et l’irresponsabilité vocifèrent à l’unisson, l’électeur les écoute; les autres ne parlent pas assez fort!

Au bout du compte, l’histoire se solde par quarante trois morts, au moins, et une embolie économique pour la Ligurie. La prophétie du Président industriel que j’évoquais tout à l’heure se réalise. Les touristes, les transporteurs, les Génois, tout cela s’accumule et s’amoncelle sur les routes d’un autre âge qui deviennent passage obligé. Ces malheureux remercient sûrement les salopards irresponsables qui dirent non quand il fallait dire oui et tout de suite. L’histrion Grillo et sa bande se sentent assez mal dans leur peau, désormais. Seulement, aujourd’hui ce sont eux qui gouvernent, en association avec  la Ligue de Salvini…tout ce qu’on peut souhaiter c’est que ce dernier profite de l’occasion pour asseoir son leadership au sein du Gouvernement. Le type qui a débarrassé l’Italie de ses envahisseurs africains parviendra-t-il ainsi à calmer les ardeurs gauchiardes ( voir ça et puis aussi ça) de ses alliés? On peut toujours l’espérer, sans quoi l’Europe ne le loupera pas et les électeurs non plus.

Alors, pour conclure tout cela, la « petite fable du pont » comme disait cet imbécile de Grillo, comporte, comme toute fable qui se respecte, une morale. Il reste juste à la débusquer car elle se cache, vous comprenez c’est une morale nauséabonde, les gens bien comme il faut vont encore se tordre le pif.
L’enseignement primordial de la triste histoire du viaduc de Gênes repose sur le fait qu’un seul décideur responsable vaut infiniment mieux qu’un tas de rigolos mus par des intérêts divers généralement dépourvus de lien avec les problèmes à résoudre. Voilà pourquoi ça marche partout où il y a un patron sérieux, qu’il soit démocratiquement choisi, comme le copain Vladimir ou simplement responsable, comme l’étaient nos Rois au temps de l’Ancien Régime, lesquels devaient seulement rendre des comptes à Dieu. Mais comme Dieu c’était l’élément essentiel de leur fonds de commerce, ils ne s’avisaient pas de le contrarier, nos bons monarques absolus. Et si, faut il le rappeler, dans ce dernier cas les choses sont parties en quenouille, c’est, avant tout, parce que Louis XVI, ébloui par les « Lumières », a voulu rendre du pouvoir aux Parlements. Montesquieu l’avait bien expliqué « le pouvoir arrête le pouvoir« … certes mais, ajoutait il, « la démocratie repose sur la vertu« … pas la peine d’en dire plus! Dans la triste réalité il faut toujours qu’il y ait un patron et qui décide en dernier ressort, dans le cas contraire les choses s’en vont à veau l’eau et cela finit toujours mal. Et qu’on ne vienne pas me raconter des histoires de tyrannie ou de dictature, la notre de dictature n’est pas mal non plus, en revanche elle ne nous sort pas du pétrin, elle nous y enfonce!
Autre enseignement à tirer de cette « petite fable du pont« : méfions nous de ces peigne-culs de la politique, qui prétendent se mêler de questions scientifiques ou techniques auxquelles, à l’évidence, ils n’entravent que dalle. Je pense, par exemple, à tous ces mecs qui nous parlent d’écologie, qu’ils soient de gauche ou de droite, et notamment à ces derniers quand ils décrètent le changement climatique foutaise de gauchiards. Prenez Trump, au hasard, qui nous rassure genre « tout va bien, les amis, circulez y a rien à voir ». Il vous paraît compétent, le Donald, pour traiter pertinemment de ce genre de question? Ou bien ça serait-y pas un peu dans le but inavoué de booster à bloc les affaires de ses potes marchands de charbon et de pétrole? J’ai mon idée là dessus mais bien sûr je m’en voudrais de vous influencer… et puis, c’est la démocratie qui veut ça, pas vrai? Alors attendons sans crainte le désastre planétaire…comme les Génois, au pied  de leur chouette viaduc, écoutaient bien gentiment la « petite fable » de Beppe Grillo.

Bonne semaine de re-canicule annoncée.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

La patate chaude…

…Ou bien le bâton merdeux, si vous préférez, en tout cas c’est un peu l’impression qu’ils donnent, les Grands de ce Monde Européen, même les humanitaristes à tout crin, dans le genre Pedro Sanchez, le socialo espagnol, la mémère Angela avec son boulet Seehoffer qui la bloque vicieusement dans sa démarche généreuse et aussi, faudrait pas l’oublier, l’ami Présipède, le sphinx de Brégançon, le protecteur de toutes les minorités (à commencer par les fameux « un pour cent les plus riches »). Bien sûr, on les accueille à bras ouverts, les gentils clandestins trans-méditerranéens, mais bon, si on peut les refiler aux copains avant de se brûler ou de se salir les paluches -selon la formule choisie au départ- ce sera toujours un peu d’emmouscailles en moins, par les temps qui courent il ne faut pas cracher dessus. D’autant que les autres, les Ritals, les Autrichiens, les mecs de l’Est, tout ça, sans parler des Rosbifs bien planqués au milieu de la mer, ni des rigolos plus au Nord, moins portés sur l’Africain que par le passé, tout cela apparaît soit complètement fermé à toute forme d’accueil d’envahisseur, soit tout à fait décidé à regarder ailleurs.
Alors on cherche des « solutions constructives sur la gestion des flux migratoires » comme dit si bien le sieur Borrell, Josep de son prénom, ministre socialo des Affaires Étrangères du Royaume ibérique. Parce qu’hier ça discutait ferme, entre Angela et le camarade Sanchez (Tassiépa), sur un projet « d’Erasmus africano-européen »! Comment? Plaît-il? Que dites vous? … Ah,c’est quoi s’te bête! Ben oui, je comprends! Alors il s’agirait de permettre aux « Migrants » de se former en Europe, pour retourner ensuite dans leurs pays…Et ce faisant, par dessus le marché on améliorerait vachement notre coopération avec les pays africains, gagnant-gagnant-quoi!  Que dites vous? On nous prend pour des figatelli! Oui d’accord, naturellement, mais ça fait tout de même un joli bout de temps que ça dure, pas la peine de se formaliser pour si peu.
Surtout que dans la réalité, qu’il s’agisse des Chleus, des Espanches ou des Franchouilles, l’idée pas trop formulée mais bien vivace dans les arrière-pensées comme au fond des arrière-boutiques, consiste effectivement à trouver des combines pour freiner autant que possible l’immigration. Eh pardi, c’est qu’il faut maintenant compter avec ces saloperies de populistes d’extrême-droite, ils n’arrêtent pas de gagner des parts de marché, ces infâmes nauséabonds! Alors on va leur montrer, ils vont voir ce qu’ils vont voir, tiens! On va leur prouver qu’on peut « réduire drastiquement l’immigration illégale sans porter atteinte au droit d’asile ni aux valeurs humanitaires« ! Eh oui, M’sieur-dames, vla l’travail, il a trouvé ça El Senor Bordell…pardonnez moi, c’est « Borrell », son blase, toutefois on pourrait s’y tromper!… Comment on fait? Alors suivez moi bien, c’est tout bête, pour parvenir à réaliser ce tour de force, il faut et il suffit de transformer l’immigration illégale en immigration légale: CQFD! D’où l’Erasmus à la con précité et probablement d’autres combines à pétrole qui ne manqueront pas de germer dans les esprits féconds des ministricules gaucho-humano-carriéristes. Je vous parie un cochon de lait contre un exemplaire du Coran doré sur tranche, que tous ces petits coquins ne manqueront pas de préparer de jolies décisions pour notre trio infernal germano-hispano-franchouille, la triplette de mocheville!
Cependant, le gros os là dedans ça reste la dame Angela avec sa marge de manœuvre hyper-réduite. La pauvre mémère se trouve bien obligée de composer avec une population Boche « toujours très sensible à la question migratoire« , comme dit son pote Niedermayer, Oskar pour les intimes, un « politologue », de renom certes limité, mais bien-pensant tout de même. Pour ce dernier, ce que les Fridolins souhaitent c’est de ne plus voir un seul invasif mettre les pieds dans le vaterland, ni plus ni moins. Et ça se conçoit vachement bien, souvenez vous, c’était il y a près de trois ans, déjà, quand cette chère Merkel lançait l’opération welcome, vous savez, plus d’un million de jeunes gens du Sud-Sud déferlant sur une Bochie un peu médusée mais qui n’allait pas tarder à comprendre! Depuis ils se sont ressaisis, nos amis d’Outre Rhin, plus la peine de leur raconter de belles fables bien humanitarisées, ils votent pour des types comme le susnommé Seehoffer, et encore, s’ils pouvaient donner la majorité à Pegida j’en connais pas mal qui le prendraient du bon côté! Alors il formule les choses différemment, le politologue de mes deux, il tourne un peu autour du pot: « Ce que la Chancelière attend des Espagnols, c’est qu’il ne laissent plus les migrants continuer leur route comme ils le font aujourd’hui -ah bon, ils continuent? Mais ils passent par où, alors? (NDLR)- elle souhaite qu’ils procèdent eux mêmes à leur enregistrement et, le cas échéant, au renvoi dans leur pays d’origine de ceux qui n’ont aucune chance d’obtenir l’asile. » Oh qu’en termes galants ces chose là sont mises!
Intéressant, tout de même, ne trouvez vous pas? Outre le fait que la brave grosse commence à lancer des messages de type un peu mal-pensant sur les bords, puisqu’en somme elle refuse à la fois le bâton merdeux et la patate chaude, on apprend -énorme surprise- que nos jeunes migrateurs ne moisissent pas en territoire espagnol. Ils continuent leur route! En d’autres termes, ils franchissent les Pyrénées, comme ils passaient les Alpes à l’époque où l’on nous envahissait plutôt par l’Italie! Du coup, sauf à disposer d’un don particulier ou d’un improbable aéronef, il faut bien qu’ils déboulent en France, les clandestins de l’Aquarius et consorts, au moins en transit (non, pas intestinal, enfin, on cause sérieux, là!)…Bon, moi ça me surprendrait qu’ils se barrent tous en Allemagne, il doit bien nous en rester un petit quota, non, qu’en pensez vous? Y a pas de raison…

Alors du coup, oui, on comprend mieux, il va devoir s’y coller lui aussi, Macrounette, dans la coalition des bien-pensants à patate chaude. Parce que pour l’instant on n’en parle plus chez nous, des migrants, black-out complet, avec les histoires de Benalla et tout le fatras  des diversions estivales, on glisse la merde à Minou sous le tapis. Mais ça ne va pas tarder à re-puer méchant…même si à Brégançon, contrairement au Cap Jeune, les lieux d’aisance bénéficient du tout à l’égout!
Il va d’autant plus falloir revenir au charbon (ah, non! il ne s’agit pas d’une allusion à caractère « raciste », c’est juste une expression en usage notamment en sol mineur, comme « le con sert tôt » enfin plutôt le « concerto », voilà!) que les deux compères germano-espagnols se sont mis d’accord pour refiler plus de pognon au Maroc…Ben oui, maintenant que les Ritals on fermé leurs ports, c’est par là qu’ils passent, le plus près de la Péninsule Ibérique, forcément! Alors, comprenez vous, quand il s’agit de cracher au bassinet, la France ne saurait se trouver hors du coup, a fortiori quand il s’agit d’un bled comme celui de Mohamed Sixième du nom, lequel nous est cher, très cher même, on pourrait aller jusqu’à ruineux, carrément. Moyennant quoi, je les vois venir gros comme la Mosquée de Marrakech: on va les aider à nous envoyer du monde, les Marocains, mais bien proprement, avec douceur, tact et délicatesse. On aurait pu envisager aussi d’aider les Espagnols à surveiller leurs côtes, mais là, faut pas déconner, ça risquerait de faire mauvais genre.

Alors, me direz vous, cette fameuse patate chaude elle va finir entre les mains de qui? Hé bien je crois qu’avec ce qui précède nous avons la réponse…tout concourt à ce que nous récoltions,  une fois encore,  le rôle du dindon dans une farce qui se joue depuis cinq décennies sur notre malheureux territoire. Les Chleus n’en veulent plus, c’est clair, les Espagnols ne financeront jamais le niveau démentiel de prestations sociales qui fait de notre pays l’unique eldorado de la misère universelle… Pas la peine d’en dire plus, les Pyrénées n’ont jamais arrêté grand monde ni dans un sens ni dans l’autre…la patate, et aussi le bâton, tenez, c’est pour nous autres Franchouilles, vous verrez, l’affaire est dans le sac, le chouette sac à Macrouille!
Quand est-ce qu’on se rebiffe?…non, je rigole bien sûr!

Bon Dimanche d’été, bonne semaine de Sainte Marie (toujours vierge, rassurez vous, elle ne fréquente pas les lieux de passage de nos sympathiques « réfugiés »).

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

Au trou!

Ça me rappelle une vieille chanson du père Maurice Chevalier, vous savez, celui qui chantait avec un canotier sur la chetron et un accent parigot antédiluvien, Momo, quoi -pas le Momo d’aujourd’hui, rien à voir avec le Prophète- un parangon de franchouillerie sympa, d’avant guerre et même largement d’après aussi. Une pointure, cela dit, ce mec, amant attitré de Fréhel, ce qui ne doit plus dire grand chose à quiconque, de Mistinguett, pour ceux qui par impossible en eussent entendu parler, et d’un certain nombre d’autres, dont Nita Raya, jolie Roumaine que l’histoire n’ a pas retenue. Un type intéressant qui disait par exemple « A soixante-dix ans, les femmes c’est mieux pour la santé de les avoir dans sa mémoire que sur ses genoux » ce qui dénote une bonne connaissance de la vie, assortie d’une dose massive de bon sens… Seulement, lui, il avait la mémoire pleine… En outre, grosse vedette hollywoodienne, adulé dans le monde entier, bref représentatif d’une époque où la simple évocation de la France faisait encore rêver. Les années anciennes, la joie de vivre, l’insouciance et la bonne humeur…le contraire d’aujourd’hui, en somme!
Je vous disais donc…ah oui, la chanson de Momo, voilà: « Ça sent si bon la France« , une bluette datant de l’occupation allemande, 1941, un truc pour essayer de ressusciter l’optimisme qui disait comme ça:

Le long des rues ces refrains de chez nous
Ça sent si bon la France,
Sur le trottoir ce clochard aux yeux doux
Ça sent si bon la France
Ces gens qui passent en dehors des clous
Çà sent si bon la France

Voilà! Ça sent surtout son vieux temps, hélas! Question parfum aujourd’hui ce serait plutôt le kébab et la chicha, quant aux refrains de chez nous, faudra se rabattre sur les ânonnements imbéciles et haineux des rapeurs vociférant dans les sonos surpuissantes des bagnoles emplies de « Jeunes »… Ça sent si bon la Chance pour la France, oui!
Le Rapeur, apparaît aujourd’hui comme le parfait symbole de ce pays qui s’en va en quenouille, pays envahi, socialisé, macronnisé, ruiné et foutu à plus ou moins brève échéance. Et jusqu’à présent il ne fallait pas y toucher, au Rapeur, le symbole hautement symbolique de la sacro-sainte « liberté artistique » (voir ici), protégé par la loi ainsi que par les juges (voir là) le délicieux artiste à la barbe fleurie pouvait tout se permettre, voir plus si affinités.
Manque de pot pour ces petits génies de la pastille et leurs affidés inconditionnels, il semblerait que tout à coup, ce statut éminemment privilégié vienne de voler en éclats!

L’affaire commença par la rencontre –a priori fortuite- de deux équipes rivales, les hommes de Booba et les gens de Kaaris. Vous ne savez pas très bien de qui il s’agit, je vous rassure, moi non plus. Et, très franchement, pas la peine d’approfondir, ces types-là appartiennent à un monde qui nous est tout à fait étranger, celui des quartchiers sans-cible, celui des commerçants en drogues molles et dures, celui des djellabas et des niqabs, bref le produit des effets conjugués du regroupement familial et des allocations du même tonneau. Bien entendu, les deux célébrités précitées en sont plus ou moins sorties, desdits quartchiers, vu les montagnes de pognon issues de leurs activités prétendûment artistiques, mais pour vivre dans l’opulence, y faut flatter çui-là qui finance, comme ils pourraient le glisser dans un de leurs petits textes si gentiment tournés (en cas de besoin, je pourrais leur filer des paroles: en deux minutes, à ce régime-là, n’importe quel analphabète vous plie une « chanson »).
Les deux grands artistes en question se détestent avec une cordialité tout à fait réciproque: rivalité professionnelle exacerbée par la nature plutôt violente de ces olibrius, particulièrement bas de plafond, qui consacrent l’essentiel de leurs efforts intellectuels à écrire des insanités mal ficelées. Aussi, le jour malencontreux où ils se rencontrèrent dans un hall de l’Aérogare d’Orly, ils ne purent s’empêcher d’en venir illico aux mains, sans sommation préalable. S’agissant de garçons bien nourris, bâtis en hercules et formatés dans les salles de muscu où ils passent le plus clair de leur temps, la confrontation fit bien du dégât. A tel point qu’il fallut fermer le hall sinistré ce qui entraîna pas mal de retards en plus de ceux qui affectent de manière générale et naturelle les vols dits « réguliers ». Outre la panique dévastatrice qui se répandit comme une traînée de poudre au sein des malheureux troupeaux de passagers, craignant une attaque en règle des commandos islamistes or something else, il fallut bien constater la destruction totale des deux ou trois boutiques duty-free qui se trouvaient, hélas, en plein champ de bataille. En deux mot, terreur et désolation! La soudaineté et la violence de l’échauffourée évoquaient de manière si irrésistible que je ne puis m’en abstraire en dépit du danger encouru, la rencontre de deux bandes rivales de chimpanzés au plus profond de la forêt équatoriale. Je ne sais si vous avez déjà assisté à ce type d’accrochage sanglant rapporté par tous les bons documentaires sur nos cousins les grands singes, mais ça fout la trouille, je vous assure! Ben là, pareil, jusqu’à l’agressivité bestiale venue du fond des âges et aux cris effrayants des belligérants déchaînés! Le temps que la flicaille intervienne et obtienne l’arrêt des hostilités, ce coin d’Orly s’apparentait déjà au Chemin des Dames à l’issue du troisième assaut!

Oui mais voilà, la révolution digitale étant passée par là dessus, il n’est plus possible aujourd’hui de se livrer à quelque acte que ce soit qui sorte un tant soit peu de l’ordinaire, sans que tous les smartphones environnants ne l’enregistrent aussitôt sous tous les angles et en vidéo-HD, évidemment. Collés en garde à vue, les deux vedettes et leurs nervis se virent ainsi présenter les preuves largement surabondantes de leur comportement de sauvages importés. Pas moyen de s’en sortir, leurs avocats respectifs en furent réduits à essayer de rejeter la responsabilité du premier geste sur la partie adverse. Le genre « c’est pas moi qu’a commencé, M’sio, c’est lui, là! »
Eh bien, croyez moi ou pas, mais les magistrats du Tribunal Correctionnel de Créteil ne s’en sont pas laissé conter: au trou tout le monde et que ça saute! Et ce en dépit d’une assistance fort nombreuse de jeunes gens issus de l’immigration, tout prêts à mettre le souk au prononcé de la sentence, mais foutus dehors manu militari, voire parfois pede militari, par des Forces de l’Ordre pour une fois assurées du soutien d’une Justice étrangement digne de ce nom…le numérique, quelle merveille! Certes, dans nos media, s’élevèrent,  pour dénoncer l’embastillement des petits chéris en question, un certain nombre de voix bien-pensantes…les mêmes, sans doute, que les adorateurs de Cantat, le massacreur de femmes: la chanson engagée, fût-ce sur les chemins de la perdition, présente pour certains un caractère absolutoire! Dieu merci les Juges du Val d’Oise s’en tinrent au bon sens avec une équanimité digne de leur fonction; qu’ils en soient loués (et non achetés, parce qu’un Juge. Monsieur, ça ne se vend jamais!).

Et voilà donc tout ce petit monde au gnouf! Pas le même, d’ailleurs, faut pas mélanger papier-cul et serviettes hygiéniques! Fleury Mérogis pour le commando frappeur de Bouba, lequel se retrouve au quartier VIP, voisin de Sa Majesté Salah Abdeslam, et Fresnes pour Kaaris -moins bien côté sur le marché du rap-  accompagné de ses petits camarades cogneurs. Ils attendront ainsi, tous, bien sagement, une audience prévue pour le mois prochain… Espérons seulement qu’entre-tant la juridiction en cause ne se ramollisse pas trop sous l’effet conjugué de la canicule et des enc… qui intercèderont en la faveur des ânonneurs de niaiseries hideuses.
En tout cas, un bon mois à l’ombre,  par les temps qui courent, ça ne peut faire de mal à personne, même pas à un rapeur… Et si ça se trouve ça va leur stimuler l’inspiration à ces deux-là…faut il le souhaiter? Qu’en pensez vous, tiens?

« Ton casier est vierge, même pas une peine aménagée (bientôt plus le cas de l’auteur)
Moïse ouvra (sic) la mer en deux, perso j’y serais jamais allé;
Le niquage de mère est journalier…
Négro, une haine venue d’ailleurs guide mes pas!
Ca c’est du Booba.

Issu du Sud sub-saharien,
Je t’allume si tu me sers à rien…
Les flics fachos rôtissent, même les manchots m’applaudissent!
…Tes potes et tes putes et ta team et ton sang,
Je leur encule leur ass sans forcer!
Ca c’est du Kaaris.

Vous préférez qui, vous?

Allez, bonne semaine à tous et que la canicule ne vous… ah flûte je ne trouve qu’une rime de rapeur!
Bon, ben conservez vous bien, voilà!

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN