Le fauteuil branlant de Sanchez

On le sent un peu inquiet, le populo. Après tout, voilà même pas deux ans, il portait le petit Présipède dessus le trône élyséen et maintenant il commence à mesurer le niveau de la connerie ainsi commise. Eh bien, qu’il soit rassuré, le populo! D’accord, il en a fait une belle, bien gratinée sur le dessus, dorée sur les bords et fondante à l’intérieur, comme dirait l’illustre Castapiane, le bovin dragueur de Beauvau. Sans aucun doute. Toutefois, dans le fond, n’était il pas condamné, en toute hypothèse, à merder lamentablement en choisissant le Roi? Bien sûr, Macrouille dans le genre pas de clerc, ça se posait là, mais bon, les choses eussent elles évolué plus favorablement en cas de victoire de la mère Le Pen? La probabilité semble nulle! Avec Présipède ce sont les petits blancs laissés pour compte du socialo-libéralisme-En-Marche qui ont foutu la merde. Pour une histoire de prix du gazoil, en plus! C’est dire à quel fil ténu les intronisations démocratiques tiennent. Une victoire des sales fachos, eût en revanche immédiatement suscité la levée en masse de toutes les bien-pensances alliées à tous les antis de la Gauche, auxquels se fussent ajoutés les fonctionnaires, les affidés de l' »Économie Sociale et Solidaire », les immigrés des différentes générations et des diverses origines arabo-africaines, sans oublier, bien entendu, la « Justice de la République » ainsi que les media de toutes obédiences ou presque. En même temps, l’Union Européenne nous tombait dessus à bras raccourcis, avec pour objectif de faire rendre gorge le plus vite possible à la bête immonde installée à Paris tel un chancre affreux sur le visage d’une femme sublime. Il suffit pour en acquérir l’absolue certitude, de comparer les traitement réservés, en matière budgétaire, d’une part à l’Italie, condamnée pour avoir présenté un déficit à 2,7% du PIB contre les 2,4% promis par le précédent gouvernement, et la France macronnifique, largement au dessus de 3% depuis le 10 Décembre dernier…et pas loin de quatre depuis Jeudi. La botte ça pue le gros pied salvinien, l’hexagone ça sent bon le parfum délicat de Présipède!

Donc, avec tout ça, vous pourrez constater que dans tous les cas nous étions foutus. Peut être aurions nous pu bénéficier d’une petite chance avec Fillon, un homme qui aime tellement l’argent ne peut pas être mauvais, pas vrai? Mais bon, vous avez vu, n’est-ce pas, la Répupu s’en est débarrassée afin de s’éviter l’arrivée à sa présidence d’un bonhomme capable, avec un peu de chance, d’améliorer son sort. La démocratie, contrairement à tous les autres modèles, possède une tendance suicidaire qui ne s’est jamais démentie en France depuis 1789. C’est ainsi et cela ne finira qu’avec la Charia. Un peu de patience, ça vient.
Que va t-il donc se passer maintenant? Hé bien vous savez, pas grand chose! En tout cas, pas grand chose de nouveau. Dans une regrettable indifférence générale, s’approchent désormais les élections européennes. Quatre semaine jour pour jour et nous connaîtrons la fin du suspense -pas vraiment insoutenable- sur le point de savoir laquelle, des listes Loiseau, à gauche et Bardella, à droite, pointera en tête au soir du 26 Mai. En dépit des accointances anciennes de cette pauvre Nathalie avec les nauséabonds estudiantins, je ne vous cache pas qu’une victoire du second serait particulièrement appréciable, histoire de bien marquer l’existence, chez nous aussi, d’une sérieuse opposition à l’envahissement ainsi qu’à la décadence civilisationnelle. Les États Européens convaincus de l’absolue nécessité de se préserver de l’invasion sont aujourd’hui suffisamment forts et nombreux, n’en déplaise à nos très chers amis humanitaristes, pour qu’un geste fort des électeurs franchouilles viennent un peu contrebalancer les positions immigrationnistes du petit potentat élyséen et nous replace, nous aussi, du bon côté, avec les défenseurs de notre civilisation. Avec les Autrichiens, les Italiens, les membres du Groupe de Visegrad…et peut être bientôt les Espagnols, nous commencerions peut être à peser un peu au sein d’une Europe centro-molassonne dominée par les gaucho-technocrates. Alors les Espagnols…eh bien nous allons pouvoir dès ce soir, apprécier la tournure des évènements.

Rappelons d’abord que l’Espagne souffre, comme nous, d’une soi-disant « Droite » incapable de s’assumer en tant que telle et portée, en conséquence, à conduire une politique passe-partout compatible en tout point avec les dogmes bien-pensants. Ladite « Droite », s’étant pris les pieds dans une motion de censure déposée par les Socialos, elle dut, naguère, laisser à ces derniers la charge de gouverner le pays. Ce fut un tel succès qu’après huit mois de déconnage gauchiard, le sieur Sanchez, chef du Gouvernement, se trouva dans l’obligation de recourir, avec près d’un an et demi d’avance, aux élections générales. Sanchez va t-il aussi perdre son fauteuil branlant et du coup, forcément, se briser le coccyx ? La probabilité apparaît considérable dans la  mesure où, en un temps record, la Gauche Espagnole administra au pays la preuve de son impéritie nocive. Les Ibères ayant peu apprécié le flux d’envahisseurs africains, détournés de l’Italie par la politique salvinienne, qui déferle aujourd’hui sur ses plages. L’espagnol déteste les débarquements de Musulmans, souvenez vous du Cid, tiens « le flux les apporta, le reflux les remporte« ! Manque de bol, avec le beau Sanchez point de reflux! Du coup « les Maures et la mer montent jusques au port et les premiers y restent! Là c’est la poisse!
Sans compter les vieilles lunes réveillées par les acharnés de l’anti-franquisme, déterminés à expulser le Caudillo du tombeau. On peut en penser ce qu’on veut mais les souvenirs de la guerre civile persistent dans les tronches ibériques; autant les héritiers des Marxistes -dits Républicains- tiennent à foutre leur bête noire à la poubelle, autant les descendants des autres, ceux qui n’ont pas oublié les méthodes communistes et leurs effets sur les populations adverses, Catholiques notamment, apparaissent décidés à laisser Franco bien pépère dans son mausolée. Qu’on le veuille ou non, tout cela crée un climat, plutôt favorable à la résurrection d’une vraie Droite.

Et c’est bien ce qui semble se produire. Le parti Vox, la Droite Espagnole, a réussi ces derniers temps une entrée fracassante dans les parlements régionaux; il arrive maintenant au niveau national, crédité de plus de dix pour cent des suffrages. Manifestement sous évalué, le score de Vox pourrait bien en réalité dépasser les treize points, ce qui lui offrirait plus de trente sièges au Congrès et l’opportunité de peser sur la coalition gouvernementale susceptible de sortir des urnes. Sauf que l’autre Droite, la molle, devra aussi négocier avec les centristes de Ciudadanos…la démocratie, quoi! Si tous ces braves-gens ne parviennent pas à un accord, ce sera de nouveau un conglomérat de Socialo-Gauchistes qui récupèrera le manche, avec une nouvelle dégringolade à la clé. La possibilité n’est pas à écarter, si l’on considère l’intérêt de Vox, lequel prospère superbement à l’ombre de la foutaise gauchiarde… Comme quoi ce qui se passe aujourd’hui dans la Péninsule risque d’emporter de sacrées conséquences. Pour ma part je regarderai ça attentivement, c’est plus important, à mon avis, que les derniers soubresauts d’un giletjaunisme allié de la CGT et des Blackblocs.

Voilà. Vous remarquerez, je pense, mon silence relatif à la conférence de presse de notre cher Présipède. Normal, considérant n’avoir pas de temps à perdre, je n’ai même pas regardé… Il semblerait que j’aie bien fait…

Bonne semaine de premier Mai, n’oubliez pas le muguet et ne manquez pas, s’il vous plaît, de faire bien dévotement vos pâques marxistes. Cependant, ne vous donnez pas la peine de descendre dans la rue pour tout casser, on en connaît plein qui vont s’en charger, ne vous en faites pas.
Amitiés à tous.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

Pâques aux tisons

Vous la connaissez la Répupu, tout de même! Déjà ses présidents, si ça ne vous suffit pas y a plus qu’à tirer l’échelle, flûte! Vous voyez bien le bordel que c’est, ou alors on se demande ce que vous avez dans les yeux, m’enfin! Je vous disais, les présidents, en voilà un indicateur pertinent comme on dit là où ça grouille de gens hyper-compétents qui phosphorent. Rien que des clowns, les présidents, surtout depuis l’instauration du quinquennat…tiens, si ça se trouve y aurait un lien de cause à effet, non? Allez savoir… Ainsi, donc vous prenez les trois derniers et vous comprenez tout de suite qu’il y a un souci, un gros souci, même. Sarko, dit Talonnettes, je ne vous fais pas un dessin, inutile, superflu, un comique de cirque comme on n’en avait plus rencontré depuis le regretté Zavatta! Encore plus fort, Hollandouille! Le paillasse par excellence! Même pas besoin de le grimer, il vous fait marrer au naturel, un don absolu! Un bijou du niveau de Bourvil, de Fernandel ou de Paul Préboist, voyez vous? On se pisse dessus rien qu’à le regarder débouler dans notre espace vital, surtout avec un casque sur la tronche et un petit sac de croissants à la main, un vrai bonheur! Et puis, le dernier en date, Présipède, alors lui c’est autre chose, ridicule, certes, mais pas comique du tout, même pas tragique, d’ailleurs, juste imbuvable, déplacé, saugrenu! Un pur produit de notre belle démocratie, en somme, l’archétype de l’erreur de casting…l’élu de deux tiers des votants à la dernière présidentielle, tout de même… si ça ne vous donne pas une haute idée de la Répupu, alors, c’est à désespérer de l’Esprit des Lumières et de la franchouillerie éternelle. A l’image de ses Chefs d’État, la République c’est tout ce que vous voulez sauf sérieux, la pétaudière, la bouzbir, le lupanar, le souk, la foire d’empoigne, le Chabanais, le foutoir, le boxon, le pince-cul, le bastringue, le bobinard, le claque, le capharnaüm…et on lui confie les Cathédrales!

Non mais vous vous rendez compte? Conséquence fâcheuse parmi tant d’autres de la sacro-sainte Grande Révolution Française et de la loi de ces connards de Combes et Aristide Briand, l’État s’est approprié les Cathédrales, à charge pour lui d’en assumer la préservation…tu parles! Ça me rappelle l’époque où l’on me priait gentiment de prêter mes beaux jouets à une sorte de petit morpion malappris genre Benoît Brisefer, l’assurance du désastre annoncé! Et vous vous étonnez qu’elle ait fini par laisser cramer Notre Dame de Paris, la Répupu? Moi ce qui me surprend le plus c’est qu’elle ait survécu jusqu’à présent, la pauvre, neuf siècles traversés, les Sans-Culottes, les Communards, tout ça… Un vrai miracle! Il a fallu attendre le règne de Macrounette… Attention, je ne dis pas que c’est de sa faute, à ce pauvre gamin, seulement les circonstances ont fait que le malheur survienne à présent. Et ça, comme tuile on pouvait difficilement rêver pire. Parce qu’après tout, qu’elle ait pris feu, la Cathédrale de Paris, c’est un désastre irréparable, certes, mais ça devait arriver un jour ou l’autre, pour les raisons ci-dessus énoncées. En revanche, la catastrophe épouvantable, réside dans le petit Présipède soi-même! Cette espèce de freluquet mal fini s’est collé dans la tronche de prendre l’affaire en main, de s’occuper en personne du cas Notre-Dame. On ne pouvait pas imaginer pire scenario! Il veut la reconstruire « encore plus belle« , l’enfoiré, vous réalisez? Et qui plus est, « en cinq ans » l’enflure! On ne lui demande rien, à ce pignouf, il n’y comprend manifestement que dalle ce guignol, « encore plus belle » mais ça veut dire quoi ça, connard, « encore plus belle »? Et dans les plus brefs délais, siouplaît, tout juste s’il n’a pas ajouté, « faut qu’elle soit prête pour les Jeux Olympiques« , mais ça c’est la bonne espagnole, la merdeparis qui s’en est chargée, histoire d’ajouter l’obscène à l’incongru! Seule la démocratie apparaît capable de porter des andouilles de ce calibre à des postes d’un tel niveau, ce serait à se taper sur les cuisseaux si on ne naviguait pas dans le dramatique absolu! Nom de Dieu mais ces saloperies-là, trouvent le moyen de profiter de l’occase pour essayer de tirer la couverture, c’est à se les prendre et à se les mordre jusqu’au sang!
Donc, je me résume, Macrouille aux commandes de la restauration de Notre Dame de Paris. Pourquoi, on ne sait pas… parce que tel est son bon plaisir, voilà tout. Et attention, ce con, une fois qu’il a parlé, plus question de la ramener, la contradiction il ne tolère pas, Présipède, il ne viendrait à l’idée de personne, dans les hautes sphères de la Répupu, de lui expliquer qu’il se fout le doigt dans l’œil jusqu’à s’en perforer le caleçon, vous pensez, faudrait trouver un suicidaire, ça ne court pas les corridors des palais dorés de la Cinquième! Alors Notre Dame on la fera plus belle, riche idée, vivement que ça brûle un peu de partout, qu’on enjolive tout ça un bon coup! Tiens, supposez que la Pyramide de Chéops s’offre un chouette incendie…bon d’accord la probabilité reste faible, mais admettons, pas vrai? Ben, aucun problème, on en refait une autre encore plus chouette et le tour est joué! Et ça marche avec tout, vous savez. Le Colisée qui s’écroule, par exemple,  vous imaginez? Eh bien avec un bon concours d’architecte on vous en construit un vachement plus joli et tout neuf, par surcroît, aussi beau que le Stade de France, avec un peu de pot! Y a qu’à faire appel à Jean Nouvel et l’affaire est dans le sac! Si ça lui prend il vous le bricole en plastique translucide, pour obtenir un rendu encore plus contemporain! Faudrait vraiment être bouché à l’émeri, voire charcutier à Tel Aviv,  pour s’en priver!
Pour Notre Dame la cause est entendue; un concours d’architecte et cinq ans maxi, pour la faire plus sympa qu’avant, il a décidé comme ça, le merdeux élyséen. Bien sûr, au douzième siècle, ils procédaient différemment, sans concours d’architectes vedettes, ils prenaient leur temps, ces ancêtres, se foutaient pas mal de crever avant la fin, les générations d’après achèveraient le boulot, de toute façon, et Dieu ne leur en voulait pas de faire de la qualité sans garantir le délai de livraison…Du coup elle a tenu huit cent cinquante ans, la belle église! Et il a fallu va savoir quelle connerie, sous le règne de Macron Dernier (le risque d’héritier mâle apparaissant comme négligeable…et même femelle, tiens, ne lésinons pas), pour foutre tout ça en l’air. Sans oublier qu’elle tient  encore debout, la vieille bâtisse…un coup de pot, sinon on avait droit à va savoir quelle monstruosité pour remplacer. Là, ça se limitera, semble-t-il à la flèche…on  a déjà vu des images inquiétantes, une rutilante pique en aluminium doré, des pointes multiples en inox massif! Et pourquoi pas, alors, un plug anal du sculpteur Mc Carthy, ça s’est déjà fait naguère Place Vendôme, une super-idée pour rajeunir l’édifice! Avec nos petits génies de la Répupu, Macron en tête et l’autre lopette de ministre de la culture merdique, successeur miteux du flamboyant escroc Lang de pute, on peut s’attendre à tout, surtout au pire!

Les Cathédrales remontent à une époque d’immense dévotion. On avait peur de l’enfer et comme la mort arrivait très vite, il fallait dare-dare se crever la paillasse pour gagner son salut, le passeport pour le Paradis. Du coup, ces édifices fabuleux ne sont rien moins que des prières, des témoignages magnifiques de foi, un peu naïve, bien sûr, mais tellement achevés qu’on n’envisagerait même pas, en nos temps de gilets-jaunes, de consentir le centième de l’effort que les bâtisseurs médiévaux purent consacrer à la longue édification des chef d’œuvre de l’architecture catholique. Aujourd’hui on ne croit plus au Ciel, ni au Christ, ni à la Sainte Vierge; on croit à l’augmentation du SMIC, à la TVA-zéro-pour-cent comme le yaourt et à l’ISF-pour-faire-payer-les-riches, voilà tout. Dans le même temps, les Mahométans conservent une trouille bleue de l’enfer…et ils attendent l’heure de nous faire subir, à nous autres minables, le sort de Notre Dame.

On est foutu, évidemment. Même sans croire aux signes du destin, il faut bien constater le côté symbolique de l’affaire. Nous, les Occidentaux, perdons chaque jour une partie de ce qui nous rendait tellement supérieurs au reste de l’espèce humaine. Nous nous bêtifions peu à peu, nous laissons envahir par les barbares et  asphyxier par l’abrutissement technologique. Notre passé se délite, nous ne le méritons même plus, notre civilisation part en quenouille et le Pape, lui même, prêche avec une ferveur suspecte pour ceux qui accourent dans le but avoué de nous piquer la place après nous avoir fait raquer tripes et boyaux. Ce qui vient d’arriver à Notre Dame de Paris, quelle qu’en puisse être la cause, c’est plus ou moins ce qui nous pend au nez à tous. Comme disait un ancien Président de la Répupu, rarement si bien inspiré mais aujourd’hui plutôt  évasif, « notre maison brûle et nous regardons ailleurs« … »cha ché ben vrai, cha », eût ajouté fort à propos l’infiniment regrettée mère Denis.

Joyeuses Pâques tout de même, Pâques aux tisons d’une divine charpente défunte! Soyez tous bénis, urbi, orbi et partout où cela pourra vous plaire…profitons en tant qu’il en reste un peu encore!

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

 

Les dubitations de Hank Hulley

-« Hi, old frogs, toujours aussi drunkards? Incroyable, on dirait bien que ça conserve, c’est fou ça! Allez Mrs. Thérèse, remettez nous ça, c’est ma tournée, pour une fois que je me pointe par chez vous, autant que je m’immerge dans les coutumes locales, pas vrai? Okay, vous avez le climat pour vous, c’est plus sympa que le Missouri finalement, ça doit venir de là, je ne sais pas… Bon, en tout cas je m’attendais à trouver la révolution, chez vous mais non, absolutely quiet, peaceful, un vrai petit paradis! En définitive les fake news frappent de partout! Bon j’ai bien vu deux types en yellow-vests, mais assis sur une sorte de brouette surmontée d’un balai et pas agressifs pour deux cents, les mecs, ils cassaient la croute gentiment…et pas que la croûte, ils cassaient aussi la gueule à une bouteille de rouge, à l’allure où ils débitaient, les types, on imagine la puissance de travail emmagasinée et les opérations de nettoyage par le vide qui pouvaient s’ensuivre! Amazing! Well, bref ça va plutôt pas mal à ce que je constate, et chez vous, du moment qu’il y a de quoi se rincer la gargamelle (Hank fut un lecteur attentif de Rabelais, dans le temps N.D.L.R.) le reste, finalement, on n’en a pas grand chose à grattouiller! ».

Les visites de Hank Hulley constituent forcément un évènement, la rareté et le côté pittoresque de l’Amerloque, sans doute, ainsi que sa propension naturelle à se foutre de nos gueules pour tout un tas de raisons, somme toute parfaitement justifiées. Là, il nous causait « gilets-jaunes » mais comme une mise en jambe, un échauffement si vous voulez, on sent bien que le reste suivra, y a pas de raison!
Sauf que la curiosité de Jean Foupallour, déjà rendu à son cinquième Ricard, n’a pas manqué de le pousser à s’enquérir des raisons motivant la présence parmi nous du Missourien en goguette. En réponse, l’intéressé nous fait savoir qu’il se trouve invité par le congrès des grossistes en pommes de terre du Middle-West, évènement qui se déroule cette année à San Remo pour des raisons sur lesquelles l’ami Hank demeure plutôt évasif.
– » Ah, ouais, vous faites dans la patate à présent? » Interroge le brave Jeannot juste avant de lancer une attaque en règle contre le sixième petit jaune.
-« Mais pas du tout, voyons, c’est mon jeune frère Deck qui négocie dans cette sorte d’affaire. Vous savez, la pomme de terre ça paye vachement mais c’est du boulot, faut suivre les cours tout le temps, acheter, vendre, faire gaffe que ça ne germe pas inopinément, tout ça… Alors du coup, là ils décompressent un peu, les congressistes. Et moi j’ai sauté sur l’occase, il m’emmène en tant que conseiller spécial, Deck, comme ça je viens vous visiter un peu, c’est toujours un plaisir, je me marre bien quand je vous revois… »
-« Ben fallait nous l’amener, le frangin, on aurait fait sa connaissance et réciproquement, si la génétique déconne pas il doit valoir son pesant de tubercules, lui aussi! »
-« Je le lui ai bien suggéré mais, pas moyen! Vous n’imaginez pas le nombre de putes qui naviguent autour du potatoes-congress, y en a bientôt plus que de congressistes! Toutes plus chouettes les unes que les autres! Alors vous savez, ce brave Deck, ça le change de Topeka, son bled, et d’Abigail, sa bobonne, il en profite à bloc, d’autant que le financier ne le freine pas, le fucking-boy, il se les fait en or dans son bizness à la mords moi le rhizome! Si le cœur ne lâche pas il reviendra bien déstressé, le Kid des vastes plaines. »
-« Et puis, après tout, ajoute Blaise Sanzel avec son air de ne pas y toucher, on ne peut avoir simultanément Hank Hulley et Deck Hulley, il importe de choisir. Cela se conçoit d’autant mieux qu’on déduirait volontiers de vos propos un côté nettement primesautier chez votre sympathique congressiste patatoïde. Sans compter qu’après tout, quand on connaît votre Président, lequel n’aurait jamais loupé la moindre occase de tremper le biscuit, on se dit que tout le monde, aux States, n’a pas forcément la rigueur morale de feu Abraham Lincoln…encore que celui-là, si ça se trouve, il devait faire ses coups en douce, il n’y a pas pires vicelards que les barbus dépourvus de moustache, tous des pervers hypocrites, vous pouvez en croire ma vieille expérience, j’en ai connu plein de cette espèce! »

Ça l’amuse bien, Hank, la réflexion du vieux birbe. Il faut dire que lui aussi, sujet de l’Oncle Sam mais modéré dans ses adorations démocratisantes, on le sent plutôt sceptique en ce domaine, le culte d’Abraham lui fait moins d’effet que celui de feue Marilyn. En revanche certaines choses lui tiennent désormais à cœur…
-« Lincoln on s’en fout un peu, vu qu’il bouffe les pissenlits par la racine depuis cent-cinquante ans. Donald, en revanche, il est toujours là et bien là. Et j’oserais ajouter, si vous me le permettez, que je souhaite vivement sa réélection l’an prochain. Ce type a fait beaucoup pour les affaires, ce qui me semble bien et, par surcroît, m’a fait gagner pas mal de pognon, ce qui est encore mieux. Les USA ne se sont jamais aussi bien portés depuis l’époque Reagan, c’est dire!
« Et je vous ferai respectueusement observer, à vous autres Européens, les aspects parfaitement dégueulasses des campagnes menées pour avoir la peau du rouquemoute, fort bien relayées, d’ailleurs, de ce côté-ci de l’Atlantique. Vous dites, Mister Blaise, qu’il n’a jamais raté une occasion de tirer un coup…possible mais au fond qu’en savez vous? Manifestement rien, n’est-ce pas, ça vient de tous les racontars balancés par les media et orchestrés par la Gauche, les Démocrates de mes deux en tête! Vous n’imaginez tout de même pas que si ces gens-là avaient pu trouver la moindre vétille de cul ou autre à lui reprocher, à l’affreux pas beau ignoble, il serait encore-là pour leur faire la nique? Souvenez vous de Nixon, Messieurs, tout ce qu’ils ont pu trouver contre lui ils l’ont exploité à bloc pour le faire tomber. Et ça a marché! Impeachment garanti, même si, convenons-en, ce type avait fait le boulot plutôt mieux qu’un autre, à en juger par ses successeurs, genre Peanut’s- Jimmy, le marchand de cacahuètes de Plains (Georgie)…Georgia, Georgia, the whole day through, just an old sweet song… Ah, ils ne l’ont pas impeached, celui-là, vous pensez! Le roi des cons, certes, mais bien pensant, lui au moins…
« Je vous disais donc, à propos du gros Trump, à quel point il doit se révéler irréprochable dans tous les compartiments du jeu. Un saint, pratiquement! Sans quoi l’impeachment il y aurait déjà eu droit depuis belle lurette, j’en mettrais ma main à couper, et même autre chose, s’il le fallait absolument! Aucun risque! Et d’ailleurs, vous avez vu, j’espère, les conclusions du rapport Mueller, le proc. désigné pour essayer d’avoir sa peau dans l’histoire des prétendus magouillages de campagne électorale, les interférences russes, vous savez: eh bien rien à signaler, rien trouvé! Aussi clean que le petit Jésus, l’ami Donald! Vous vous rendez compte qu’ils l’ont emmerdé pendant plus de deux ans avec leurs insinuations de merde, à lui empoisonner les relations diplomatiques, à lui mettre des bâtons dans les roues dans sa discussion normale avec Vladimir Putin, tout ça à l’encontre des intérêts bien compris des États Unis! Quand je pense qu’ils voulaient nous coller Hillary (comme une baleine) à la place! On aurait fait quoi, avec Hillary (comme un bossu), je vous le demande? Une gourde de ce calibre, je vous jure, on en sortait les pieds devant, c’est moi qui vous le dis! Il avait déjà fallu se farcir le mari pendant huit ans, et celui-là, oui alors, comme baise-à-tout-va vous ne pouviez pas trouver son pareil! Mais à part ça, complètement nul, le mec, impuissant…enfin non, ce n’est pas le bon terme, n’est-ce pas…incompétent, voilà, incapable!…Mais Démocrate, qu’est-ce que vous voulez, ça sauve tout! Un peu comme chez vous, du moment qu’on accueille tous les Africains à bras ouverts, on a bonne réputation. C’est pour ça que lorsque je me balade dans vos rues j’ai l’impression de me trouver à Marrakech…en moins propre, évidemment, vu que leurs balayeurs à eux boivent du thé! Mais pas de problème, vous savez, avec votre joli petit Président, vous ne craignez rien ni personne, n’est-ce pas? C’est pas comme ces cons de Rosbifs qui, tout en sortant de l’Europe, s’apprêtent à voter pour leurs représentants au Parlement Européen! J’ai vu ça dans les journaux ce matin, j’avoue mal comprendre, quelqu’un pourrait m’expliquer? »
-« Cherchez pas, M’sieur Enculé, rétorque Foupallour, ça c’est la logique européenne, un peu comme les choux, vous savez…de Bruxelles, quoi, ça change tout! Allez, à la bonne votre, encore une que les potes à Thérésa May n’auront pas! »

Bonne semaine à tous.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

Cataclysmes et roupie de sansonnet

On rigole, on rigole, mais finalement on va tranquillement vers une de ces catastrophes dont nul aujourd’hui n’ose imaginer l’énormité. D’ailleurs personne n’en parle. Les politicards, bien sûr, leur combine consiste grosso-modo à laisser croire aux lendemains qui chantent, les media pareil, avec le souci de bien faire passer les pilules distribuées par les mystérieux zigotos qui tirent les ficelles, et du coup pas un ne moufte, dormez bonnes gens  Simone Veille, comme on disait au temps de sa splendeur controversée (après c’est devenu Sainte Simone de l’Enfant J’l’ai Plus). Aujourd’hui, en effet, tout le monde regarde au loin, jusqu’au bout de son pif, et y voit forcément des jours meilleurs, pour peu qu’on se donne un soupçon de mal, qu’on défile dans la rue en gueulant, qu’on vote judicieusement et qu’on croie dur comme fer au progrès, le sacro-saint Progrès, dont nous ignorons absolument où il nous entraîne, mais qui nous tient lieu de divinité depuis que le Bon Dieu des Catholiques git au fond de la poubelle.
Alors, vous voyez, nous partons complètement en quenouille. Tous les constituants de l’apocalypse se trouvent dores et déjà réunis en germe: le désastre financier mondial, la catastrophe migratoire et le déchaînement climatique. A côté de cette joyeuse trilogie l’expansion de l’Islam en Europe de l’Ouest apparaîtrait presque aussi dérisoire que le hard-brexit dont on nous rebat les oreilles depuis des mois, histoire de nous empêcher de regarder le reste.

Dans l’ordre financier…enfin plutôt le désordre devrais-je écrire, un de ces coups de trafalgar de derrière les fagots se met doucement en place dans une indifférence générale, laquelle masque totalement l’inquiétude grandissante de quelques observateurs lucides qui commencent à se sentir la tripe un peu agitée. On voit bien les gouvernements occidentaux, particulièrement le nôtre, bien sûr -mais à lui tout seul il ne ferait pas bien peur- surendettés à bloc et obligés de continuer la fuite en avant pour tenir à tout prix les engagements inconsidérés de l’État-providence. Il faut entretenir ceux qui ne foutent rien, c’est clair, dont essentiellement les vieux et les immigrés, deux catégories en pleine expansion et donc de plus en plus ruineuses. Bien sûr, les premiers tout le monde s’en foutrait pas mal, s’ils ne votaient aussi assidûment… ce qui implique tout de même un minimum d’attention politicarde. Quant aux seconds, ne me demandez pas pourquoi mais il semblerait qu’un désir fondamental de les attirer chez nous existe, quelque part dans le tréfonds des idées ésotériques nourries par les super-puissants occultes qui nous encultent. Il faut en conséquence cracher au bassinet, et toujours plus, comme disait jadis l’illustre François des Water-Closets (1)! Manque de bol supplémentaire, tout cela se finance plus ou moins grâce aux impôts payés par les braves manards qui bossent et qui, depuis six mois bientôt, endossent le gilet-jaune pour exiger leur part du joli gâteau illusoire. Il apparaît clairement que la France fait école dans ce domaine les mêmes causes produisant, dans des circonstances à peu près identiques, les mêmes effets.
Ainsi, donc, il faudra encore lâcher du lest puisqu’il n’est pas question d’économiser, ce qui impliquerait de taper grave sur les deux catégories coûteuses précités. Présipède a bien tenté de s’en prendre aux vieux -aux immigrés nul n’y songerait sérieusement- mais c’est en train de lui retomber sur la gueule, il l’a constaté au nombre de manifestants chenus qui défilaient le samedi tout en occupant les ronds points le reste du temps, et il s’en mordra encore plus les jolis petits doigts au soir du 25 Mai prochain. Et puisqu’on ne peut agir ni sur les recettes ni sur les dépenses, il reste quoi? Ben oui, la bonne vieille planche à billets! Qu’on l’appelle comme on veut – aujourd’hui c’est le quantitative easing– la recette fonctionne à bloc. Nos chers états surendettés jusqu’au trognon se financent en fausse monnaie et, par dessus le marché (financier), à taux quasiment nuls. L’argent ne vaut plus rien et il ne rapporte plus rien, en d’autres termes l’argent n’est plus rien! Sauf que tout, absolument tout, repose dessus, c’est à dire sur une illusion, un malentendu, un tour de passe-passe, une cavalerie pire que la charge de la brigade légère! Vous croyez que ça pourra durer encore longtemps, vous, ce numéro de prestidigitation? Moi, personnellement, n’y connaissant que pouic je n’en sais rien. Je suis seulement convaincu d’une chose: le jour où tout va s’effondrer ça nous fera un cataclysme auprès duquel le Jeudi Noir de Wall-Street et la faillite de Lehman-Brothers prendront des allures de pet de lapin nain!

Pas de quoi se taper sur les cuisses en chantant « demain sera parfait », pas vrai? Sauf que l’écroulement du système financier, somme toute, on y survivra; mal, sans doute, mais tout de même. Plaie d’argent n’est pas mortelle, nous le savons (de Marseille). Enfin en tout cas c’est ce que prétend la « Sagesse des Nations »… connaissant les Nations en question, je me demande s’il est bien raisonnable de se fier à leur sagesse, mais bon, on s’en fout ce n’est pas le problème! Le problème, en revanche, enfin le plus mahousse auquel nous allons devoir faire face, et en comparaison duquel le pré-cité ferait presque rigoler, c’est, sans conteste, l’énorme raz de marée d’immigration qui nous pend au nez. En effet, dans ce domaine où nous croyons naïvement avoir déjà touché le fond, en vérité je vous le dis, mes pauvres amis: nous n’avons encore rien vu!
Si vous voulez vous faire une idée aussi juste que possible de la capacité de prolifération dont fait preuve aujourd’hui l’espèce humaine, invasive et nocive à bloc, souvenez vous donc de la chanson que nous chantait Dutronc, dans les années soixante, oui, vous savez: « Sept-cent millions de Chinois et moi, et moi et moi… » Eh bien, malgré la politique dite « de l’enfant unique » assortie d’un contrôle des naissances féroce, en dépit de la quasi-disparition des petites filles dont les parents ne voulaient plus, en raison du poids des traditions à la con, la population chinetoque a doublé! Aujourd’hui il se verrait obligé de susurrer, le Jacquot, avec son air de ne pas y toucher « Un milliard quatre cents millions de Chinois », ce qui lui ferait quatre pieds de trop…remarquez avec ce qu’il picole, le mec, ça lui rendrait peut être service question stabilité!
Alors, figurez vous un peu l’Afrique! Pendant que les Chinois se multipliaient par deux, nos copains d’outre Méditerranée quadruplaient! Et ça s’accélère tout le temps! Parce qu’avec les Africains, pas de risque de limitation des naissances et encore moins de politique de l’enfant unique, là bas c’est open bar, ça y va tant que ça peut! Et ça peut vachement, illimité quasiment! Des tempéraments comme ça on n’en fait plus nulle part, même pas aux Indes! Du coup, forcément, avec un milliard et trois cents millions au bas mot à l’heure actuelle, on atteindra les deux milliards d’ici vingt ans, à l’aise et décontractés! Alors vous comprenez, déjà qu’ils sucent les cailloux en 2019, va y avoir de plus en plus de trop plein! Attendez vous à la submersion pour de bon. Et n’imaginez pas qu’en leur donnant des moyens financiers pour se développer vous pourriez arranger le coup, pas du tout, au contraire, ça leur servira à venir chez nous plus facilement! Un Africain avec quatre sous, ça se finance le voyage en Europe; au besoin c’est tout le village qui se cotise pour envoyer un grand garçon un peu dégourdi qui renverra l’ascenseur par virement international. En plus ils savent tout sur la vie facile en Occident, le confort, les prestations sociales et, cerise bien rouge sur le joli gâteau vachement délicieux, les femmes qui, en Europe, sont toutes rien que des putes, y a qu’à envoyer la main et le reste suit, pour ainsi dire! Partis comme nous voilà et avec les dirigeants dont nous avons eu le bon goût de nous doter, il va y a avoir du déferlement au large des côtes…vous pouvez être sûrs que le flux les apportera par millions. Ne comptez pas sur le reflux…

Sous cette vague là, il apparaît donc évident que nous autres, naturels du pays, nous retrouverons submergés à une échéance de quelques décennies. On est foutu, c’est absolument clair! Et ce d’autant plus que le climat s’apprête à booster à l’affaire par le biais d’un de ces coefficients multiplicateurs dont nous n’avons même pas idée aujourd’hui. Là aussi c’est une question de démographie. Plus il y aura d’hommes (et aussi de gonzesses, cela va de soi) plus ils consommeront d’énergie. Et comme les besoins s’accroissent au fur et à mesure des aspirations au bien-être, le phénomène s’amplifiera de lui même sans que personne, écolo ou pas, y puisse quoi que ce soit. Et pour satisfaire tout cela il n’existe pas trente-six solutions, actuellement et pour longtemps encore, ce sont les énergies fossiles qui vont s’y coller, le reste n’est que littérature! Parallèlement, tous ces braves gens qui grouillent par milliards voudront bouffer, ne comptez pas sur l’émergence d’un amour de la nature qui les conduirait à crever volontairement la faim. Il va donc falloir continuer à déforester à tout va, planter des tas de saloperies genre palmiers à huile, bref aggraver le phénomène de dérèglement climatique, lequel va s’amplifier avec la fonte des glaces et la moindre réflexion de chaleur qui en résulte. Par suite, nos régions tempérées vont peu à peu cesser de l’être, mais surtout les pays tropicaux prendront l’allure de fournaises invivables. Avec la montée des eaux, une partie des territoires encore habitables disparaîtra et les réfugiés climatiques viendront grossir le flux de leurs homologues économiques…inutile de vous dire que pour nous, ça ne va par rigoler, mais alors pas du tout!

Tout ça pour en conclure que les macronneries, les gilets jaunes et les grands débats débiles, franchement c’est juste de la roupie de sansonnet.

Amitiés consternées.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Ce cher François de Closets, Walter pour les intimes, s’est découvert, en dépit de ses 85 balais, un amour éperdu en faveur des radars routiers. Son truc c’est « sur le moment ça fait râler mais comme ça économise plein de vies c’est con de les détruire ». Sauf que le cher homme n’est pas obligé de se coltiner sa bagnole pour aller marner tous les jours en risquant la prune à chaque radar vicieux placé là où il est pour ramasser un max de fric. Au bout de la dixième lettre verte et lorsqu’on a perdu tous ses points, sans compter le montant cumulé des contredanses, on ressent une envie bien légitime d’aller bousiller du radar, n’en déplaise à Walter Closets.