Giono

La semaine prochaine Giono déboule à l’affiche du MUCEM, musée national de Marseille, parallélépipède noir, laid et prétentieux posé sur un coin du Vieux Port, fief de bobos-gauchos nourris à la mamelle d’un Ministère de la Culture pétri de bien-pensance et apôtre du politiquement correct artistique! Cette pustule financée avec notre pognon de contribuables dépourvus de voix au chapitre républicouille… sauf pour voter, bien sûr… toutefois, vous l’aurez sans doute remarqué, on ne demande jamais à l’électeur son avis sur ce genre de sujet. Il a d’autres chats à fouetter, l’électeur! Et puis, la culture, forcément, c’est l’Education Nationale qui s’est chargée de la lui inculquer, j’aime autant vous laisser évaluer le résultat… Du coup, ils magouillent à leur idée, les cultureux officiels, ils se font plaisir! Un vrai paradis pour masturbés de la pensée conforme. Sans compter qu’en plus, ils se reproduisent, enfin je veux dire qu’ils se cooptent, se choisissent, excluent tout ce qui serait susceptible de penser de travers, restent bien pépères entre gens de bonne compagnie! Et comme ça dure, peu ou prou, depuis l’illustre et flamboyant Jack Lang, vous voyez d’ici la pépinière de champions! Donc, cette bande de joyeux camarades budgétivores nous tient lieu de maître es-bon goût artistique. Cela donne notamment les expositions d’insanités obscènes à Versailles et de plug anal géant Place Vendôme, sans parler du théâtre scatophile comme on peut l’adorer en Avignon, par exemple, où si l’on fait partie des privilégiés du premier rang, on peut à l’occasion morfler une giclée d’excréments en pleine poire. Bon, je ne vous la fais pas plus longue, sachez seulement que le Ministère de la Culture, généralement tenu par un homosexuel -c’est un peu la règle, vous savez- ça fait plein de trucs bizarroïdes qui mériteraient sans doute qu’on s’en occupe un peu plus. Si vous connaissez des Gilets-Jaunes, vous pouvez toujours leur conseiller de s’y intéresser, juste pour rigoler un coup, bien sûr, sans intention méchante… Il me revient par ailleurs à l’esprit qu’au temps de Malraux nous avions un Ministère des Affaires Culturelles, c’est très différent, croyez-moi…la distance qui sépare le grand homme des peigne-cul-turels d’aujourd’hui!

Pour en revenir, au MUCEM l’ordre du jour c’est Giono. Qu’est-ce qu’ils peuvent y comprendre, tous ces petits cons prétentiards, à Giono? Mince alors, ce n’est pas leur pointure, ça! Je crains le pire, d’autant que « l’exposition explore la symbolique cachée au plus profond de l’œuvre…à travers quatre installations d’art contemporain, créées spécialement… » Ho putain! Je ne sais pas si vous vous rendez bien compte mais là, sans déconner, on va carrément au désastre! Des « installations d’art contemporain » et pour « explorer la symbolique etc... ». On cracherait sur sa tombe à Giono, je crois qu’on lui ferait moins de mal! Je boirai le calice jusqu’à la lie, j’irai voir, nom de dieu! Les « installations » en question, ça doit forcément dépasser le dégueulasse pour atteindre à l’atrocité, au bas mot! On peut toujours faire rimer Giono avec Bobo, cependant quand la rime n’est pas riche le poème ne vaut guère plus que de la merde, je vous raconterai peut être…peut être pas, inutile, au fond, je vous épargnerai cette purge, j’en ai déjà assez parlé!

En revanche, puisque nous y sommes, Giono je vous en dis deux mots, c’est le moins que je puisse faire. Moi, je l’ai découvert en 62, quand sortit son film Crésus, le seul qu’il ait intégralement et personnellement réalisé. J’en suis resté comme deux ronds de flan, dites donc, totalement sous le charme et depuis je n’en ai rien oublié, même sans le revoir jamais. Vous me direz, à cette époque quand on avait Fernandel en vedette on faisait nécessairement un carton, je pense que ce fut le cas, mais l’œuvre sort tellement de l’ordinaire qu’on n’a pas forcément bien compris. Crésus, contrairement aux apparences, c’est un film noir, la noirceur de l’âme humaine, le fond mauvais des hommes, tout cela traité comme une fable d’une irrésistible drôlerie, mais sarcastique, sardonique, sinistre autant que désopilante. Une pépite, je vous le recommande, ça vaut bien plus que tout ce que je pourrais vous en raconter…sauf que je ne l’ai trouvé, sur You Tube, qu’en italien sous-titré en Anglais, vous vous rendez compte! Il faudra sans doute lancer une recherche approfondie…
Giono, voyez vous, on ne le connaît pas, on n’en parle pas, on le regarde un peu comme l’écrivain provençal de service, dans l’ombre d’un Pagnol grandiose et éclatant, c’est une injustice criante! Ce type fait partie des très grands de la littérature française, un des quatre ou cinq auteurs majeurs du siècle passé, seulement il a fauté…
En gros, pour ne pas trop vous bassiner, Giono a subi la guerre de 14/18, toute la guerre, d’un bout à l’autre, et dans les tranchées, carrément, le pire, il l’a raconté dans Le grand troupeau.  Il y parle aussi de ce qui se passait à la campagne, sans les hommes dont on apprenait, de temps à autre, la mort au Champ d’Honneur, au champ d’horreur! Par on ne sait trop quel miracle, il s’en est sorti sans blessure, « juste un peu gazé » mais pas de quoi y laisser complètement les soufflets. Donc sans blessure mais pas indemne, loin s’en faut, parce qu’on ne passe pas quatre années d’horreur absolue sans en être traumatisé à vie, c’était son cas, sans aucun doute.
A la sortie, on le retrouve pacifiste, ça se comprend aisément. On va même l’apercevoir  débarquer un temps chez les communistes; toutefois, ayant rapidement flairé le piège à cons,  il se retirera très vite dans sa maison de Manosque pour se consacrer à l’écriture, le seul vrai plaisir quand on en possède la passion et le génie. Sauf qu’il se faisait une idée très claire de la valeur relative des choses, ce brave homme, dans ses bouquins il mettait en avant la Terre Nourricière, la supériorité de la civilisation paysanne, l’enracinement, toutes choses qui aujourd’hui le colleraient d’autorité dans la catégorie détestable des nauséabonds! Et figurez vous qu’à la libération ils le lui ont fait payer, les vainqueurs de la vingt-cinquième heure. Au trou, ils l’ont collé, comme un criminel, comme tous les malheureux qui ont dû subir les foudres de l’épuration! On ne l’a pas fusillé comme Brasillach, Giono, il est passé moins près du peloton que Céline, certes, mais on l’a humilié, mortifié, embastillé… Vous pensez, entre ses écrits du genre Refus d’obéissance et ses déclarations comme « je préfère être un Allemand vivant qu’un Français mort » ils n’allaient pas le louper, ses anciens camarades éphémères. Sans compter qu’à cette époque affreuse, les héros de la Résistance d’après la bagarre avaient instauré le Comité National des Écrivains pour désigner ceux qui avaient le droit d’écrire et les autres, les puants! Notre homme se trouva opportunément dans la seconde catégorie, à l’instar des Montherlant, Guitry, Marcel Aymé, entre autres prétendus sales collabos, il s’est payé une belle traversée du désert pendant laquelle la plupart des copains d’avant l’ont lâché.

Voilà pourquoi, après tout, même si les petits mignons du MUCEM n’ont aucune chance de jamais rien comprendre à Jean Giono, je les remercie sincèrement de l’avoir ressorti du tiroir poussiéreux où il croupissait. Un peu de lumière lui fera du bien. En toute modestie j’ai plaisir à y participer dans la minuscule mesure de mes moyens, il est des nôtres!

Amitiés à tous.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

Que ferions nous sans eux…

– » Faut pas oublier, tout de même, que voilà deux-trois semaines, grand max, ils étaient tous à gueuler comme quoi la sécheresse, tout ça, les nappes frénétiques qui se vidaient, les bestiaux qui manquaient grave de foin, enfin la cata, quoi, pas la fin du monde mais tout près; de quoi chialer à verse histoire d’humecter un peu la nature, pas qu’elle se dessèche à bloc. Horreur, trouille et panique au programme des réjouissances, le supplice de la soif! Ben justement, tiens, tu nous en remets une, Thérèse, histoire de se reconstituer la nappe souterraine avant qu’on se transforme le gosier en vallée de la mort! »
Il a raison, Jean Foupallour, dans sa bonhommie naïve à tendance poétique, la pluie, on l’attend comme le messie (mais non, pas Messi le footballeur de mes choses, enfin!) et puis quand enfin elle arrive, au bout de deux ou trois jours on se prend doucement à regretter l’été sec et brûlant si propice à l’ingestion délicieuse du pastis salvateur, ce breuvage tant associé au tintement frais des glaçons, sur fond de grattouillage cigaléen.
Derrière Napoléon la survenue un peu brutale de l’Automne presque un mois après l’équinoxe, corrode un tantinet le moral des vieux pochetrons accoudés à l’antique zinc « usé, lustré, splendide« , comme disait ce vieux cochon de Totor en évoquant son banc d’école. Il avait bien raison, le barbu lubrique, les sièges d’écoliers ont cela de commun avec les comptoirs de bistrot, qu’à force d’y frotter qui sa culotte, qui ses manches, ils acquièrent, au fil du temps, une brillance patinée du plus heureux effet. C’est pour cette raison, peut être, qu’on qualifie de « lustre » une période de cinq années! Le rade se lustre au fur et à mesure que passent les lustres, voilà pourquoi celui de Thérèse présente ce fabuleux poli-brillant! Son bistrot, je le fréquente depuis dix lustres bien tassés et il était déjà là, tout pareil, depuis probablement autant! La force des survivants provient de leur lustre passé qu’ils communiquèrent, sans le faire exprès, aux choses auxquelles ils se frottèrent tout au long de leur existence. Les choses, hein, je dis bien, parce que les gens ce serait plutôt le contraire, vous avez beau vous y frotter tant que vous voulez, pour le lustre vous pouvez vous brosser jusqu’à plus soif, ça ternit à vue d’œil!

Dehors, donc, il pleut comme vache qui pisse, le ciel qui présente une grosse fuite, on dirait, et le Bon Dieu qui nous viderait ses seaux sur la gueule pour évacuer, si vous voyez. Donc, ici bas on compense comme on peut. Maurice, sempiternellement à la bière, pose un instant son demi-pression et chope le crachoir au vol.
-« Moi, les Octobres pluvieux, j’en ai connu plein, et des plus vieux, pardi, sans déconner! Y a pas à tortiller, c’est la poisse, vous avez la mer qui se refroidit moins vite que l’air, vous comprenez, alors ça produit de l’évaporation et ça nous retombe sur la gueule en trombes! En revanche, l’avantage ça devient le gros temps, la haute houle qui se forme bien comme il faut et la navigation qui prend une tournure plus délicate. Dès que le vent forcit, surtout l’Est, la sagesse exige de rester à terre. Ça vaut pour les pêcheurs, bien sûr, mais pas seulement, les candidats à l’invasion aussi, ils ont intérêt à la mettre en veilleuse parce que les pneumatiques, à partir de force six on peut les considérer comme perdus avant même l’arrivée des Humanitaires; peut être que les passeurs pourront en envoyer quelques uns, histoire de tenter le coup et de faire vibrer la corde sensible à l’issue du naufrage mais bon, faut pas en abuser de la combine, sans quoi la pratique aura vite fait de se défiler. Finalement, vous savez, le passage de crou…je veux dire de migrants, c’est comme tous les commerces, faut respecter le client, le mettre au premier rang des préoccupations, et dans le cas qui nous occupe, donc, éviter de le noyer, ces choses-là se savent très rapidement et vous avez tôt fait de paumer votre réputation! Cela dit, ne nous berçons pas d’illusion, il en faudra plus qu’une météo merdeuse pour nous éviter la déferlante! Ils sont déjà là tellement nombreux qu’on n’a plus notre chance, les calamités font toujours boule de neige, enfin de neige un peu crade en l’occurrence… Bon, bref, on y aura droit de toute façon, les choses, peu à peu, se mettent en place pour nous organiser la submersion définitive, nous le savon de marseille… Non, je veux dire, nous le savons de Gaudin, le Maire de Marseille!
« Oui, il vocifère, le vieux bougre (1), comme quoi le Gouvernement se prépare à désigner  le port illustre de la Cité Phocéenne en vue de l’accueil des migrants trans-Méditerranée. Le mois dernier ça s’est décidé à Malte, en douce évidemment, on va leur envoyer des bateaux style Open Arms, aux descendants des César, Panisse et autres Marius! Les bars à chicha ont déjà largement remplacé celui de La Marine – à ne pas confondre avec la fille aînée de Jean-Marie, quoique-… Mais aujourd’hui, la volonté de Macrounette et de ses sbires, semble concentrer le tir sur la Ville de la Bonne Mère! Elle doit s’arracher les cheveux, la pauvre Madonne! Déjà qu’ils leur ont collé un centre d’accueil pour Islamistes retour du Djihad, les potes à Présipède, maintenant ils leur débarquent carrément les cargaisons de Muz à deux pas de La Joliette! Alors, forcément Gaudin rouspète, même qu’il regretterait, dit-on du côté de La Canebière, d’avoir si gentiment servi la soupe à notre adorable Chef de l’État; ce n’est pas tellement contre l’arrivée des « réfugiés » qu’il peste, le brave Jean-Claude, c’est surtout parce qu’avec des mesures de ce calibre le Rassemblement National pourrait bien rafler la Mairie, l’an prochain. Des Africains mahométans, il y en a déjà sept-cent-mille à Marseille, alors, un peu plus un peu moins, pas vrai… Mais les nauséabonds du Front, ça non, alors! Faut à tout prix éviter le danger, bordel, vous vous rendez compte, si jamais ils s’emparaient du big fromage! »

-« Mais, nom d’une pipe, j’espère bien, s’étouffe alors Jean Trentasseur en déglutissant de travers sa gorgée de Mac Ron, un facho comme cet infâme Ravier, Maire de Marseille! Rendez vous compte, enfin! La honte absolue face au monde entier consterné! Vous pouvez me raconter ce que vous voudrez, mes pauvres amis, pour moi Marseille ça reste le symbole de l’intégration réussie, du vivre-ensemble dans la tolérance et la concorde, bref l’image de la France de demain, diverse et apaisée. Alors, surtout, qu’on n’aille pas nous détruire ce fleuron éclatant du métissage. Pourvu que les tenants de la haine, de la stigmatisation et de l’amalgame, butent, comme à l’habitude, sur notre belle démocratie, accueillante, laïque et républicaine! »

-« Amen! Lance Grauburle rigolard, vous, Maître fait il à l’intention du précédent orateur, on peut dire que vous avez de la suite dans les idées, y a pas de bon dieu! Depuis le temps que ça sent la fiente à plein nez, vous continuez à renifler comme s’il s’agissait des parfums subtils de l’Arabie heureuse…l’Arabie, je ne dis pas, mais heureuse pas encore, faudra avant qu’ils nous éliminent complètement, ces braves gens!
« Remarquez, à la manière dont ils s’y prennent, je sens que ça vient. Y a qu’à regarder les histoires de voile, là, qui reviennent sur le tapis depuis l’incident fameux du Conseil Général de Bourgogne. Tout le monde le sait qu’il s’agit d’un coup monté, tout le monde sauf vous et vos potes de la Gauche caviar macronnisée! On l’a bien vu que la petite maman voilée c’est une proche des Frères Musulmans, mais personne ne le dit, vous pensez, faut pas appeler à la haine raciale du foulard noir, c’est pas permis ça, verboten! Seulement, je vais vous dire, moi, les amis, on nous prend pour des buses avec ces âneries de voile! Ils sont tous là à gueuler comme des cochons qu’on égorge « Laïcité, laïcité » mais pendant ce temps-là, au nom de leur merderie de laïcité républicouille, on continue de raquer des allocations familiales! Je m’en fous, moi, de leur voile à la con, c’est pas le voile qui me gêne, c’est ce qui se trouve dessous! Rappelez-vous, Boumediene en soixante-quatorze, c’est pas d’hier, ce mec avait proclamé gourbi et zobi (2) qu’ils gagneraient contre nous grâce au ventre de leurs femmes! Vous vous en souvenez de ça, tout de même? Eh ben il avait raison, Houari, il voyait juste, lui! Et nous, en guise de réponse, un an après on décrétait le « regroupement familial »! Si c’est pas du sui-génocide programmé, ça, faut reconnaître, ça y ressemble beaucoup, bordel de dieu,! Un demi siècle après il suffit de regarder tout autour de nous pour voir qu’on a déjà perdu, forcément, c’est mathématique! Eh bien nous, pauvres cons de tordus aveugles, on continue à disserter sur le voile, c’est y pas beau ça?
 » Et d’ailleurs, de toute façon, l’islam, le voile, les mosquées, le djihad et les djihadistes, les « radicalisés », les « quartchiers défavorisés », les Imams de banlieue, les boucheries halal, les directrices d’école agressées par les parents d’élèves, les internes des hôpitaux dézingués pour avoir touché une fatma, les conducteurs de bus qui ne veulent pas s’asseoir sur le siège chauffé par leur collègue femme, j’en passe tout plein sans quoi on se retrouverait complètement bourrés avant d’avoir fini la liste! En un mot comme en cent, dans ce pays on ne parle quasiment plus que de ça. Le « débat public », comme il dise, c’est que du jus de musulman, pratiquement à cent pour cent! Qu’est-ce qu’on se raconterait s’ils n’étaient pas là, dites donc? Qu’est-ce qu’on ferait sans eux… »

A la semaine prochaine, mes amis… si Dieu le veut, bien sûr, va falloir compter une fois de plus sur Son Infinie Misericorde.
Salam aleïkoum.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Au sens premier du terme, je vous laisse le soin de chercher.
(2) Version actualisée de Urbi et Orbi.

Faux Dupont, vrai bordel républicain!

Ah la tuile, dites donc! Ce n’était pas Dupont de Ligonnès! Mais tant pis, vous savez, ça nous fait quand même les choux gras des chaînes de désinformation continue! Vendredi soir, grande merveille, on l’a retrouvé, le Dupont, vivant et en pleine santé, et vas-y que je t’en tartine des kilomètres, avec tous les experts à la con, tous les témoignages de merde, tous les retours en arrière sur l’histoire du monstre de Nantes, avec détails bien croustillants sur les cadavres retrouvés planqués sous la terrasse, tout ça quoi, un vrai pain béni… Pour tout vous dire, il voyageait sous une fausse identité, l’enflure, avec un passeport falsifié, parfaitement, un « faux grossier » qu’ils ont dit, les grands sachants, pour causer comme maintenant! Et puis, Samedi matin voilà-t-y pas le doute qui commence à s’installer…en début de journée c’était bien lui mais changé, on a du mal à le retapisser, on dirait qu’il a pris un gros paquet d’années sur les endosses! Pour corser un peu, figurez vous qu’il n’a plus du tout la même tronche, plus du tout! A tel point que les mecs qui s’y connaissent vachement en chirurgie esthétique font de chouettes exposés sur les véritables miracles que nos bistouris modernes se révèlent capables de réaliser! Bref, on explique tout bien comme il faut…sauf que plus le temps passe, plus on sent nos médiatiques se demander, anxieux, si c’est du lard ou du cochon …
Enfin, vers les midi il faut bien se rendre à l’évidence, comme les poulagas franchouilles, eux, se sont rendus en Écosse aux fins d’identifier le soi-disant fugitif. Et patatras, voilà que tout s’écroule! Ho flûte, ben c’était pas lui, dites donc, juste un pauvre couillon de retraité des Yvelines qui se rendait en villégiature à Glasgow! Mais vous n’imaginez tout de même pas qu’ils auraient écrasé le coup avec leur mouchoir par dessus, les journalopes de la TV, oh que non point, au contraire! Et là c’est reparti pour tout un tsunami d’explications alambiquées comme quoi, avec les techniques d’aujourd’hui plus rien ne saurait échapper aux enquêteurs. L’ADN ne ment pas, lui, contrairement à nos informateurs chéris, et puis aussi la reconnaissance faciale, grâce à l’intelligence artificielle, celle qui servira de prothèse, bientôt, à l’ensemble des crétins qui forment l’essentiel de nos populations. Contrairement aux empreintes digitales, technique grossière autant qu’obsolète, ça prend une chiée de points sur la trombine d’un clampin et ça les compare à sa photo, vous vous rendez compte? Infaillible!
Vous me direz, dans le cas du présumé parricide nantais, vu qu’il se coltine treize ans de moins  tout en mesurant vingt centimètres de plus que le septuagénaire arrêté à Glasgow, on pouvait difficilement croire, tout de même, à un exploit chirurgical à ce point époustouflant; d’autant que le vieux birbe ressemble autant à Dupont que votre belle-mère à un cheval de course, et peut être même encore moins! Bien entendu, nul ne parle plus du fameux passeport falsifié, jeté sans commentaire dans la poubelle des inventions journalistiques, à côté du couteau en céramique du camarade Harpon et autres gadgets bricolés ad usum stulti telespectatori (1).  Sans compter qu’au surplus, les voisins de l’infortuné vieillard Yvelinien protestent unanimement de son existence absolue en tant que lui même, sans probabilité aucune qu’il puisse être quelqu’un d’autre, fût-ce le monstre de Loire Atlantique! On ne compte même plus les braves bougres qui attestent le connaître depuis les culottes courtes, avoir assisté aux mariages et enterrements d’un nombre incalculables de parents et alliés du faux Dupont, et taper avec ce dernier, qui les boules en été, qui le carton au Café du Commerce en hiver.  Plus de place pour la moindre ambiguïté, cela va de soi! En somme une grosse pantalonnade qui n’eût toutefois revêtu aucune importance et serait passée inaperçue, n’était l’effroyable empressement des media à sauter sur toute occasion de nous gaver avec  n’importe quoi, sans prudence, sans modération et, en un mot, sans le moindre scrupule. Pourvu que ça fasse le buzz, et ce jusqu’à l’indigestion, voire l’occlusion intestinale!
A l’heure où j’écris ces lignes, ils en sont encore à gloser sur les causes d’une pareille foutraquitude policière, la fiabilité douteuse des empreintes digitales, l’incompétence présumée des flics écossais dont l’ébriété quasi-permanente est suggérée en filigranes dans le gloubiboulga de la logorrhée médiatique. Et encore des experts comme s’il en pleuvait, à croire qu’on arrive dans ce pays à dégotter des spécialistes hyper-compétents, capables de traiter au débotté d’à peu près tous les sujets. Une fois retirés les lieux communs, les âneries, les contre-vérités et les approximations fuligineuses, il ne reste plus grand chose à se coller sous la dent…mais on s’en fout, on a meublé à bloc et, compte tenu de l’attrait, certes un peu morbide mais tout à fait extra-ordinaire quand même, exercé par Xavier le Massacreur sur les foules sentimentales, on aura comptabilisé un putain d’audimat que je ne vous dis que ça! On entend d’ici dégringoler le jackpot dans les escarcelles télévisuelles! Alors, dans le fond, du moment que ça fait plaisir au bon peuple, ça ou autre chose, pas vrai, tout ce qui rentre fait ventre, comme disait Mémé. Il faut des pisse-vinaigres comme votre serviteur pour rouspéter comme quoi on nous prend pour des jambonneaux incapables de démêler le vrai du bidonné… à juste titre d’ailleurs, alors pourquoi s’en plaindre?

Oui, pourquoi? En réalité, tout ce bordel de sous-préfecture, ce souk el arab, ce caravansérail de pacotille, fait partie d’un vaste ensemble, un peu incohérent mais bien solide quand même, que l’on désigne sous le nom sacré (sacré nom!) de démocratie. Le gros connard de base, qualifié « citoyen » par notre droit hérité des révolutionnaires de quatre vingt neuf, disons plutôt de quatre vingt treize -nombre manifestement maudit à plus d’un titre- est censé détenir la puissance souveraine, laquelle il délègue, dans nos régimes, à des représentants élus de temps à autres par ses soins. Le zigoto en question, non seulement il apparaît, neuf fois sur dix, comme un parfait abruti, mais encore, si par impossible il tentait de s’informer des évènements susceptibles d’influer sur la chose publique, il se trouverait à la merci des BFM TV et autres media trafiqués qui lui colleraient dans la tronche du n’importe quoi bien emballé dans un somptueux papier d’argent. Il n’a aucune chance, le citoyen-électeur, de sortir un jour de son caca: imbécillisé par l’Éducation Nationale, trompé par les politicards de toute obédience et désinformé par la presse, qu’elle soit écrite, parlée, télévisée ou internetisée, il demeurera un pauvre niais jusqu’au cercueil! Entre-tant, il aura « fait son devoir » en se rendant aux urnes à cinquante reprises au moins…je ne vous raconte pas les dégâts, vous n’avez qu’à regarder alentour pour les constater.

Désormais avance l’après midi de ce Dimanche de mi-Octobre. On ne parle déjà presque plus du quiproquo écossais, la vie médiatique est ainsi faite qu’un clou chasse l’autre avec une célérité relativiste, comme dirait le père Einstein. On a vidé le cas Dupont de Ligonnès, dont la carcasse doit, selon toute probabilité, finir de se déliter dans quelque coin obscur et reculé; il faut maintenant trouver autre chose.
Ils ont trouvé! Bon, c’est moins sexy, plus ordinaire, plus clivant aussi, mais pour finir la journée ça fera la rue-michel: l’affaire du Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté! Oh, rien qui arrive à la cheville de l’embrouille précitée, mais tout de même, de quoi faire pérorer quelque peu sur les plateaux. En résumé, une délégation de petites mamans des écoles de la Répupu accompagnant leurs moutards dans le grand hémicycle du Conseil susvisé. Parmi les intéressées, une « dame », comme ils disent, portant un chouette voile islamique. A ce spectacle, le sang du Président du Groupe Rassemblement National ne fait qu’un tour, il enjoint illico à la personne en cause de retirer son voile, lequel n’a rien à foutre, selon lui, dans une enceinte laïque autant que républicaine. Aussitôt, dans le public, on s’emploie à pincer copieusement les fesses des bambins afin d’obtenir un concert de pleurs et de cris du plus heureux effet. Et voilà le sale facho mis en accusation publique, cloué au pilori médiatique et lâché, même, par ses potes du R.N. bien décidés à ne pas se laisser re-diaboliser, fût-ce pour soutenir un copain en difficulté. On ne touche pas au voile islamique, qu’on se le dise, surtout si ça vient des Nauséabonds et que ça fait pleurer les petits nenfants. Voilà! Je suis bien d’accord avec vous, tout cela ne présente d’autre intérêt que de démontrer, une nouvelle fois, à quel point nous vivons dans un pays de déments suicidaires livrés à la merci de folliculaires inféodés à la bien-pensance, de politicards dépourvus des testicules qui leur permettraient de faire correctement leur boulot, et d’un système mortifère qui les conduits tout doucement à la Charia…
Qu’est-ce qu’on lui reproche, déjà, à Dupont de Ligonnès? Ah oui, d’avoir zigouillé tous les siens…en même temps c’est un peu ce qu’elle est en train de nous faire, la Répupu, non?

Bon courage à tous pour la suite!

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) « A l’usage du con de téléspectateur » (Sénèque le Cynique)

Harponnage

Mais, bien sûr, le criminel c’est Zemmour, ce pelé ce galeux d’où vient tout le mal! Hé oui, vous comprenez, cela n’est plus possible, comment pourrait-on admettre que ce sinistre individu continue d’ouvrir sa sale gueule pour proférer ses abominations nauséabondes, oui, comment? Mais vous vous rendez compte de ce qu’il a sorti, là, comme ça, froidement, comme si de rien n’était, à la tribune de la Convention de la Droite, la semaine passée? « La double peine » il a dit, parfaitement! Un truc de ouf! Un blasphème contre la France terre d’asile (de fous), la négation absolue des Valeurs de la Répupu, l’extinction des Lumières, l’insulte au Progrès Maçonnique voire Macronnique, la pire abjection depuis les H.L.P.S.D.N.H. (1)! La « double peine« , vous réalisez, un peu, l’épouvante? Il a osé, l’ordure, proférer à la tribune, en citant Drieu La Rochelle, merde, je vous assure, rien ne l’arrête cet immonde salaud, « tous nos problèmes, aggravés par l’immigration, sont aggravés par l’Islam« , voilà ce qu’il entend par « double peine » cet espèce de sale j… oh, putain, non, attendez, sale quoi…oui facho, voilà! Et encore le mot est faible, c’est le Duce et le Führer réincarnés dans un même petit corps souffreteux surmonté d’une gueule de rat enrhumé! Mort à l’affreux ! En pareil cas, on peut y aller, tout est bon, l’attaque sur le physique, sur la calvitie, sur la scoliose, sur la religion…ah, non, ça non, on peut pas… l’exception qui confirme la règle! L’immigration et l’Islam, double peine! Faut-il avoir l’esprit complètement dérangé, tordu, belzébuthique, nazi, pour imaginer pareille absurdité et en faire profiter la terre entière! L’immigration et l’Islam, enfin, tout ce qui nous enrichit, nous rend meilleurs, nous conduit vers l’éclatant progrès de la France diversifiée! Double peine! Faut que ça s’arrête quand même! On n’en est même plus au scandale, là, on touche à l’indicible…brrrrr c’est l’ombre noire d’Auschwitz qui s’étend sur la peste brune.
Et bien entendu, le déchaînement de toutes les forces du Bien, du Progrès, de la Pensée Conforme, s’accompagne de l’anathème médiatique, en attendant les sanctions judiciaires qui ne manqueront pas de tomber plus tard, aussi sûrement que la poire blette oubliée sur son poirier natal. RTL et le Figaro s’empressent de proscrire l’infect sur ordre des comités de rédaction, LCI, coupable d’avoir diffusé l’infâme discours, se voit menacé des foudres du CSA et présente de plates excuses, c’était « inapproprié« ! Sous la plume d’un certain Noiriel, penseur hyper-convenable, Le Monde, toujours à la pointe du combat pour la liberté conditionnelle d’expression bien-pensante, évoque Goebbels, Édouard Drumont et dégaine carrément l’accusation suprême: « délinquance de la pensée« … Eh oui, nous y voilà, la pensée coupable au sens pénal du terme, à quand les camps de redressement par le travail, le goulag à la franchouille? Cela ne saurait tarder au train où vont les choses, un vrai TGV! Alors qui va avoir l’inconscience de laisser  Zemmour poursuivre son discours abject, au moins pendant qu’il se trouve encore en liberté? Bolloré peut être? On prétend, en ville, qu’il trimballerait une grosse paire de testicules, ce brave Vincent, mais pour ce qui est de signer le contrat de Zemmour à C News il paraîtrait qu’il se tâte…il possèderait donc le matos pour en avoir plein les mains…attendons la suite…

Cependant, manque de pot, alors que l’exécution capitale de Zemmour semblait se présenter sous les meilleurs auspices, voilà que nous déboule dessus tout à trac l’affaire de la Préfecture de Police! Le sieur Mickaël Harpon, musulman converti depuis onze ans et activiste islamiste patenté, n’en exerçait pas moins la noble fonction d’agent administratif au Service Maintenance Informatique de la Direction du Renseignement, avec, pour enjoliver le tout, une habilitation « secret-défense ». C’était bien sûr un très bon élément puisque Antillais d’origine; on lui connaissait bien une petite affaire de violences conjugales en 2009 -mais n’oublions pas les préceptes du Coran « si ta femme te désobéit frappe-là… »- et puis aussi, un minuscule blâme administratif en 2012, rien de spécial, quoi, un garçon tout à fait digne d’occuper le poste hyper-sensible que la Répupu lui avait confié et, naturellement, de conserver son habilitation « secret-défense », cela va de soi. Bon, d’accord, d’aucuns l’entendirent en 2015 manifester son approbation du massacre de Charlie Hebdo, mais s’agissant de propos à caractère privé il eût été injuste d’en tirer quelque conséquence, faut pas déconner! Vous voyez, un mec bien, quoi, sous tout rapport, y compris de police.
Et donc, ce sympathique fonctionnaire au dessus de tout soupçon, arrive tranquillement Jeudi dernier, comme chaque matin, en la prestigieuse maison dirigée d’une main de fer un peu rouillé par l’ineffable Préfet Lallement, celui qui fut nommé en Mars dernier pour faire rendre gorge aux Gilets-Jaunes. La matinée de ce brave Mickaël, se passe normalement, au rythme de travail habituel dans le Service. Il échange, pendant le boulot, une petite cinquantaine de SMS, essentiellement avec sa tendre épouse (l’histoire ne dit pas s’il s’agit de la même qu’il bastonnait naguère). Il lui prescrit, notamment, à la brave dame de « suivre notre Bien Aimé Prophète Muhammad et de méditer le Coran, Allahou Akbar! ». Après quoi, sur les choses de midi et quelques, il s’en va tranquillement au bazar du coin afin d’y acquérir deux couteaux, dont un à huitres (ben oui, les huitres, du moment que c’est ouvert par un musulman, c’est hallal). Bien entendu, contrairement aux âneries qu’on nous a serinées deux jours durant sur les media de mes deux, il ne s’emmerde pas la vie ni le porte monnaie à choisir du couteau en céramique, inutile, on ne va tout de même pas le contrôler à l’entrée de la Maison Poulaga, on le connaît Harpon! Ainsi armé d’un couteau de cuisine en excellent acier, doté d’une lame de vingt centimètres (pas l’ouvre huitres, attention, l’autre), notre Harpon se mit tout de suite à l’ouvrage, afin de harponner le plus grand nombre possible de mécréants, Allahou Akbar encore un coup! En sept minutes montre en main il en a égorgé cinq, dites donc, d’infidèles, quatre se trouvent déjà en enfer et la dernière fait tout son possible, en dépit d’interventions médicales soutenues, pour s’éviter le voyage sans retour. A cause d’un jeune flic stagiaire plutôt rapide sur la détente, l’épopée harponienne cessa ensuite. Flingué proprement et envoyé illico dans le Paradis d’Allah pour toucher ses soixante et onze vierges règlementaires, il aura eu son apothéose de martyr, Mickaël… Quant au stagiaire, longuement entendu par l’IGPN,  il a été laissé en liberté, en attendant la suite. Voilà donc, selon les propres indications du Procureur anti-terrorisme, la petite histoire vraie du carnage de la Préfecture de Police.

Cette affaire fait tout de même un peu désordre, on ne peut pas dire le contraire. Le Procureur, en son exposé médiatisé, n’a pas eu besoin d’en rajouter, les faits apparaissent suffisamment éloquents pour foutre la trouille à tout citoyen normalement constitué. N’en déplaise à MM. Philippe, dit Barbapoux et Castapiane, son rigolo de l’Intérieur, il n’a peut être pas tout à fait tort, Eric Zemmour, quand on voit jusqu’où ils peuvent aller, les djihadistes franchouilles, on a de quoi s’inquiéter un petit peu tout de même, non? Je ne serais pas tellement surpris que nous trouvions parmi nous une sorte de cinquième colonne assurant, entre autres, le noyautage du cœur de notre chouette État de Droit, comme ils disent. La manière dont ces fidèles d’Allah s’insinuent discrètement au plus profond des services censés garantir  la sécurité du pays en dit long sur les risques insensés que nous font courir ceux-là mêmes qui se drapent dans leur « principe de précaution » à la con. Alors, je veux bien que la population du pays compte environ cinq millions de Musulmans, chiffre stable depuis dix ans en dépit de l’arrivée chaque année d’au moins deux-cents mille petits nouveaux et des naissances fort nombreuses dont notre démographie s’enorgueillit -à juste titre, cela va de soi-. Voilà justement une décennie, comme le temps passe, j’avais déjà pondu un  petit machin  à ce sujet, on pouvait déjà constater la gravité du désastre. Nos gouvernants de tout poil  n’en ont pas moins continué de plus belles à charger la barque… Eh oui, tout ça c’est incontestablement la faute à Zemmour, ce pelé, ce galeux… celui qui doit crever la gueule ouverte!
On va quand même le citer un petit peu, l’ignoble, histoire de voir si, par hasard, il n’y aurait pas un infime soupçon de vrai, sait-on jamais, dans son discours de la semaine passée…attention, hein, ne vous méprenez pas, juste pour voir, comme ça quoi, sans arrière pensée aucune…

Alors voilà: « Les jeunes Français vont ils accepter de vivre en minorité sur la terre de leurs ancêtres? Si oui, ils méritent leur colonisation, sinon ils devront se battre pour leur libération. » Oui, hein? je suis bien d’accord, ça pue vachement le nauséabond, ça, une véritable infection! Sans compter qu’à la fin, en évoquant la manière vaselinesque dont les braves politicards que nous avons élus depuis plus de quarante ans nous ont gentiment décapsulé les arrières sur le sujet de l’invasion,  Zemmour s’est permis de citer Bernanos! Jugez plutôt: « L’optimisme est la fausse espérance des lâches et des imbéciles, la vraie espérance est le désespoir surmonté. » Ce n’est pas dans le Coran mais ça fait réfléchir tout de même, ne trouvez vous pas?

Allez, bon courage à tous, en attendant le prochain harponnage.
Amitiés.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

 

(1) Les Heures Les Plus Sombres de Notre Histoire. Il s’agit bien sûr des années 40 à 44,…provisoirement, je le crains, car du sombre qui se profile à l’horizon j’en vois un sacré paquet!