De grands démocrates!

Ça va tout de suite mieux dès qu’il fait beau et chaud. Derrière Napoléon notamment. D’abord on commence à y voir débarquer Marlène et Pompy (1), cette dernière ayant conservé intacte son habitude de se percher sur un haut tabouret dévoilant ainsi, par l’entremise d’une jupette de quinze centimètres depuis l’ourlet jusqu’à la ceinture, une paire de cuisses d’anthologie…et offrant à la faveur de fréquents décroisements, une vue en contre-plongée sur ce mini string transparent qui constitue l’élément le plus abouti d’une garde-robe artistement choisie. Marlène, la femme du peintre, celle qui temporibus illis m’avait fait pipi dessus (2), ne manque pas non plus d’attraits, en dépit d’un âge plus avancé, elle montre à peine sa culotte, respectant de la sorte les limites d’une bienséance, certes surannée mais encore de bon aloi au sein du troquet de la brave Thérèse.
Tout ça pour vous dire que ce jour d’hui, à l’heure du Berger, comme on disait dans des temps très anciens… Oui, je fais une parenthèse de vieux car dans les années cinquante -époque bénie où l’on pouvait tout dire sans s’attirer l’opprobre bien-pensante- fleurissaient les pub les plus odieuses (je me marre). Par exemple le très illustre Y a bon Banania; sans oublier le délicieux bébé blanc, blond et rose, qui demande à son petit copain noir un peu renfrogné pourquoi sa maman ne le lave pas avec le savon Fairy -un must- ou bien encore le routier qui déclare en montant dans son gros camion: » Je ne prends jamais la route sans avoir dégusté un bon Ricard« ! J’en passe des palanquées, naturellement, pour en venir au Berger en question, un concurrent du célèbre pastaga  précité. La réclame, comme on disait alors, passait à la fois par un superbe pichet jaune génialement designé -comme on ne disait pas car on parlait encore français- et surtout par ce slogan fabuleux « Midi, sept heures: l’heure du Berger! » Les radios « périphériques » nous le balançaient à tire-larigot et les braves ouvriers savaient ce qui leur restait à faire en quittant le boulot… C’était le bon temps, je vous assure! Je n’ai pas réussi à dénicher l’auteur de ce chouette détournement… un poème de Verlaine, vous pensez « La lune est rouge au brumeux horizon… » une merveille, un joyau qui finit en pub pour un petit-jaune! Le marketing, alors, avait de la tenue, des lettres et pas de complexes! Le paradis, vous dis-je…

Mais revenons à nos Bergers, je veux dire à nos moutons…enfin à nos occupations de fin de matinée dominicalo-estivale. Vu la conjoncture -et vu, aussi, l’entrecuisse de la Pompy- le bistrot fait salle comble. Foin des gestes barrière et autres distances de sécurité, ça grouille carrément! Vous pensez, un jour d’élection! Enfin bon, n’exagérons tout de même pas la portée de l’évènement, les braves-gens sortent pour la plupart des urnes mais pas tous, loin de là, vu l’engouement assez relatif suscité par un second tour joué d’avance qui nous ramènerait un maire bien réchauffé sinon recuit. D’ailleurs les conversations portent sur des sujets hétéroclites incluant assez peu le scrutin municipal. En d’autres termes, tout le monde s’en fout… Sauf, soyons justes, Maître Jean Trentasseur dont la présence, peu remarquée mais bien réelle, en dernière position de la liste écolo-pastèque -ben oui, ici pas de liste présipédique, le maire LR sortant fait risette à Jupiter – le conduit à suivre de près les opérations électorales. Même avec un petit score de premier tour on peut toujours espérer un miracle…faut être un peu con mais c’est justement le cas…
Quant à Jean Foupallour, l’œil rivé sur la babasse de notre petite copine et, conséquemment, la bave aux commissures, il n’en trouve pas moins le moyen, avec le secours de l’ami Ricard, de vitupérer les électeurs, insuffisamment attachés pour son goût à préférer le Front National (oui, lui le changement de dénomination il n’en a rien à secouer, Le Front c’est le Front!). Son obsession, au Jeannot, ça reste l’absence de testicules des partis respectables, lacune qui les conduit à enfoncer le pays dans une mélasse métissée, invasive, nocive, toxique et mortifère. Alors il ne voit pas, cet infâme nauséabond, ce qui peut conduire l’électeur moyen à se suicider à coups de bulletins de vote… C’est un point de vue, certes non respectable, mais qui pourrait tout de même se défendre si la liberté d’expression avait cours au sein de notre aimable Répupu… en l’occurrence mieux vaut éviter… seule l’intimité de l’isoloir permet encore -mais pour combien de temps?- de faire du mauvais esprit sans avoir l’air d’un salfacho-raciste. Jean Foupallour, malgré un demi siècle de déceptions électorales poursuit inlassablement sa quête éperdue de justice pour les victimes de la colonisation à rebours. Optimiste invétéré il ne désespère pas. En attendant, il tient le choc grâce à une dose quotidienne d’alcool à détromper un éléphant d’Afrique et se satisfait de petites joies, telles qu’en ce moment précis la contemplation un peu mélancolique du minou de la délicieuse salope.

Pour Marcel Grauburle, en revanche, la vie, qui a repris son cours normal, et le doux été revenu, suffisent à son bonheur. Passé à l’isoloir dès l’ouverture, histoire de se donner une bonne raison d’échapper aux griffes de Germaine, il trimballe à l’heure présente une de ces mufflées mémorables dont il ne nous donna d’exemples que dans les occasions les plus exceptionnelles, comme par exemple notre virée à l’Hippodrome pour rencontrer son pote Dédé, le jockey déchu (3). Ayant chopé le crachoir, à la faveur d’un ange qui passait, il ne le lâche plus!
-« Vous comprenez, fait il en tendant vers l’assistance un doigt tremblotant aussi bien que vindicatif, il nous prennent pour des buses! On voit bien, là, quand c’est qu’on interroge la Procureuse Poulette, à la télé…Comment-ça, c’est pas Poulette qu’à s’appelle? Houlette… d’accord, si tu veux, et puis on s’en fout, c’est pas la question, éructe-t-il en abattant son gros poing velu sur le zinc…sauf qu’il loupe le bord du comptoir et, entraîné par l’élan et la gravitation universelle, choit du tabouret qu’il occupait à côté de Pompy embarquant celle-ci dans une chute du plus heureux effet, l’intéressée se retrouvant avec sa micro-jupe en guise de masque anti-covid et les nichons en liberté surveillée par tous les vieux vicelards de l’assistance, y compris naturellement votre serviteur. La petite ne s’est pas abimée le moins du monde, le père Grauburle lui ayant servi d’amortisseur -c’est bien le moins- quant à ce dernier il s’en sort avec mal partout mais, selon toute vraisemblance, rien de cassé car la cuite assouplit les muscles et lubrifie les articulations, c’est bien connu. Sauf que, bien sonné tout de même, il ferme sa gueule, ce dont profite le vieux Maurice afin de surenchérir fort opportunément.

-« Bon, moi je ne vous cache pas qu’elle m’a fait plaisir, la Procureur Roupette, là, ou enfin…Lopette, c’est ça? Houlette, okay, bordel de dieu, on ne sait pas, des fois y a des noms, on n’arrive pas à se les intégrer dans la pensarde! Toujours est il qu’elle m’a vachement plu, en expliquant comme-ça, tout naturellement, comment les camarades Socialos fonctionnent quand un opposant politique leur pose des problèmes. Ce corniaud  de Fillon se trouvait en train de gagner la présidentielle? Ben tiens, on va te lui coller au derche un bon juge du Mur des cons , ça va lui apprendre un peu la démocratie à cette saloperie de droitiste! Et voilà! La justice n’avait jamais fonctionné aussi vite et le candidat élu par la Primaire Républicouille passait illico du statut de quasi-président à celui de futur repris de justice même pas sûr du tout d’obtenir le sursis. Idem  pour l’histoire des fadettes, nous fait-il en attaquant de front son énième demi, vous savez, l’affaire Sarkozy  alias Paul Bismuth, les écoutes illégales sur les bords et le pouvoir socialo qui en fait ses choux gras…un peu comme au bon vieux temps de Mitterrand, vous vous souvenez?  – a ce moment Pompy fait non, de la tête (et simultanément de la chatte)…forcément, sous Tonton elle tétait! Je veux dire le sein de sa moman, tout de même, qu’allez vous imaginer!- Mitterrand, enfin! Quand il écoutait tout le monde, Jean-Edern Hallier, le tordu mal voyant qui faisait du vélo…oui bon…même Carole Bouquet il espionnait le vieux salingue! Une tradition chez ces gens-là, des guette-au-trou de la politique, des sans-couilles-sans-honneur-sans scrupules… Comment vous dites Maître? Ah oui, oh bien sûr: et surtout de grands démocrates, voilà qui saute aux yeux comme un pied au cul: de grands démocrates!

Bon, alors évidemment, après un constat de ce calibre, il ne nous restait plus qu’à retourner cuver en attendant les monceaux de conneries qui se débiteront ce soir, ainsi qu’il sied à toute fin de journée électorale.

Conservez vous bien tous et n’oubliez pas les gestes barrière…ni, non plus feu Alain Barrière, le pauvre bougre…si ça se trouve il n’aurait même pas eu besoin de masque, lui…
Amitiés prophylactiques!

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Voir Derrière Napoléon, respectivement Chapitre II et Chapitre V

(2) Ibidem mais juste chapitre II

(3) Re-ibidem et ce coup-ci chapitre IX

Ce n’est plus vraiment chez nous…

Voilà, c’est l’été, la fête de la musique et la fête des pères en même temps, sauf que cette année on les fera modestes, les festivités, pour cause de coronavirus qui rode encore. Vous comprenez, la teuf de la zik on ne peut pas la supprimer tout à fait, c’est un marqueur de gauche, voyez vous, signé Jack Lang (de pute), associé au solstice d’été, la lumière qui remplace l’ombre comme il avait dit en 81 ce cher Jack de mes deux. Alors, il est vrai que 2020 et son covid nécessitent des restrictions. Surtout les concerts de rue, vous savez, ces petites fiestas offrant aux racailles de tout poil une occase en or de foutre le bordel en pleine harmonie avec les autorités constituées de la Répupu… Vous me direz, ça c’est tous les jours et je vous répondrais oui, certes, mais pas en pleine harmonie, elle désapprouve la Répupu, en temps ordinaire. Elle laisse pisser la pauvre, que voudriez vous qu’elle fît, mais elle condamne avec force! Alors que là, sur le coup de la teuf en question -je veux dire celle de la zic, pas les papas, tout est permis ou presque; les keufs n’ont pas intérêt à faire cesser le tapage nocturne, pour peu qu’un jeune corniaud se foute à la baille pour leur échapper, les revoilà cloués au pilori médiatico-gauchiard. Souvenez vous, l’an dernier à pareille époque…c’est si loin! Le jeune Steve, bourré comme un cochon -paix à son âme-  au lieu de s’enfuir coté rue il partait côté Loire et franchissait allègrement le bord du quai surplombant celle-ci de vingt mètres! Vu qu’il ne savait même pas nager, on l’a retrouvé plus d’un mois après, le pauvre gamin, dans un bras mort vingt bornes en aval… Encore une fois la Maison Poulaga s’est vue accusée d’avoir tenté de rétablir l’ordre. C’est mal ça, de la part des Forcedelordres! On pourrait croire…mais non! On veut bien l’ordre mais en aucun cas la force, qu’ils se démerdent avec ça, les poulets! Vous savez, depuis l’histoire de Malik Oussékine on ne leur passe plus rien à ces derniers, c’est même à se demander comment ils arrivent encore à se faire encrister pour avoir fait leur boulot… moi, à leur place, je laisserais faseyer les voiles… Comment dites vous? Ah oui, c’est bien ce qu’ils font tout le temps! A l’exception de quelques rares moments d’égarement, vous avez tout à fait raison. Encore convient-il de préciser qu’il était blanc, Steve, portugais d’origine mais blanc tout de même, la gravité en prend un coup, forcément, et la médiatisation aussi. Adama Traoré ça fait quatre ans qu’il défraie la chronique (Y a bon Traoré!), pour sa part, Steve Maia Caniço, le malheureux noyé, au bout d’un an tout le monde ou presque s’en fout! Il faut dire aussi que ce n’était pas un gangster, Steve, juste un fanatique de l’effroyable charivari techno assorti de bière forte…et même pas un tout petit peu basané, que dalle, une vraie endive! Aucune chance de bien figurer au box office de la bavure flicarde, ainsi va la vie, vous avez ceux qui sont bien nés…et les autres! Même au Pays des Droidlom…surtout dirais-je.
D’ailleurs, pas plus tard qu’hier après-midi les badauds de la Concorde auront pu voir débouler la manif de la Ligue de Défense Noire Africaine (LDNA) dites-donc, voilà autre chose! N’oublions jamais que ces organisations à la mords-moi le boubou bénéficient de subventions, afin qu’ils puissent confortablement venir nous chier dans les bottes. C’est d’ailleurs comme cela que peu à peu nous nous vîmes envahis et condamnés à la lente agonie des peuples décadents hors d’état de se défendre. La méthode apparaît imparable qui conduit tous les gaucho-politicards assoiffés de suffrages à financer les associations d’immigrés en échange de quelques voix issues de l’invasion.
C’est ainsi, notamment, qu’agit notre vieil ami Rebsamen, le maire de Dijon, l’ex-ministre de Culbuto, le socialo de choc, le vétéran de la Ligue Communiste Révolutionnaire avec son pote Pierre Joxe! Alors, ce grand Français, ce patriote de haut-vol, ce héros de la gauchiarderie flamboyante, patron incontesté de sa bonne ville bourguignonne depuis près de vingt ans, conduit depuis toujours une politique de clientélisme dans les territoires perdus de la Répupu. Les quartchiers sans-cible en périphérie de la capitale moutardière sont ainsi arrosés à bloc par la finance du contribuable local et aussi national, surtout à la faveur des passages de socialos à la tête de l’Etat…mais pas seulement. En supplément de programme on leur fout une paix royale, auxdits  quartchiers, ce qui les rend totalement inféodés à la double mafia des stupéfiants et du salafisme. Le résultat on le voit très clairement aujourd’hui, l’intrusion de nouveaux venus au beau milieu de territoires réputés « arabes » est fort désagréablement perçue par les islamo-droguistes d’origine maghrébine. Donc on dézingue un ou deux intrus, histoire de leur donner l’idée d’aller voir ailleurs si on s’y trouve. Sauf qu’en l’occurrence ils ont affaire à forte partie, nos amis Beurs, les indésirables en question, allez savoir pourquoi d’ailleurs, se trouvent être des Tchétchènes. Et là, on pénètre en terrain miné! Qu’est-ce qu’ils viennent foutre dans les Cités Arabes, ces espèces de russes mal russifiés? D’accord, question religion ça passe, le mahométan de Tchétchénie n’a pas grand chose à voir avec celui qui vient d’outre-méditerranée, toutefois, au moins ne s’agit-il pas de kouffar, manquerait plus que ça! Donc, on n’a pas le droit de les tuer, d’accord, mais ce n’est pas une raison pour se laisser concurrencer à domicile! La terre appartient au premier occupant, pas vrai? C’est même dans La Fontaine! J’admets bien volontiers que ce dernier soit tout à fait étranger à l’infâme vermine qui fait l’objet de mon propos, cependant les grands principes demeurent, et ça marche aussi très bien, voyons donc un peu…

« Allah hospitalier que vois-je ici paraître?
Dit le Rebeuh voyant sa cité occupée,
O là, la bande de Tchétchènes,
Retournez vers la Mer Caspienne
Et cessez sur le champ de nous casser les pieds! »

Les mêmes choses, dites en termes moins choisis, bien sûr, ne produisirent absolument pas l’effet escompté. Il s’ensuivit un conflit d’une violence inconnue en ces lieux depuis Charles le Téméraire. Encore que le Tchétchène, quand il vient en France pour profiter un tant soit peu de la connerie des naturels du pays, ne saurait oublier de glisser sa kalachnikov dans la valise. Face à l’arsenal constitué dans les banlieues depuis au moins quatre décennies, les petits nouveaux font donc le poids…on voit mal comment nos CRS, en dépit de leur violence proverbiale, pourraient s’immiscer dans pareil affrontement sans y laisser des plumes, voire la totalité du plumage et même le reste du volatile. Cela dit, comme il faut bien choisir et que les Tchétchènes disposent rarement du droit de vote, contrairement aux Musulmans de chez nous, la Police Républicouille fit alliance avec ces derniers pour tomber sur le râble de l’adversaire, lequel apparaissait forcément dans son tort puisqu’il refusait de s’incliner devant les Beurs, contrairement à une règle bien établie et scrupuleusement respectée en France continentale (1). L’affaire prit ainsi une tournure compliquée quand arriva sur le champ de bataille l’imam tchétchène Mohamed E., venu spécialement de Dole -dans le Jura comme nul ne l’ignore- pour rencontrer l’imam tunisien Mohamed A. responsable régional des musulmans maghrébins de Bourgogne. Ces excellents religieux bien de chez nous venaient de se téléphoner pour rétablir la Paix d’Allah entre leurs communautés respectives autant que respectables. Le Jurassien rappliquait en conséquence pour sceller l’accord et apaiser ses ouailles caucasiennes. Manque de pot, dès que l’intéressé eût mis pied à terre, nos amis flics s’empressèrent de le coller au trou en même temps que les braves gens venus l’accueillir…ben dame, pour une fois qu’ils tombaient sur des Tchétchènes d’accord pour se laisser arrêter sans résistance!
Ce sur quoi les Tchétchène décidèrent de manifester aujourd’hui même, à Strasbourg, pour protester contre le discrédit jeté sur leur communauté et le sort inique (tant qu’il peut) réservé à leur dignitaire séculier. Manque de pot le droit de défiler leur fut refusé pour cause de Covid 19, sachant que le mouvement regrouperait un bon millier de personnes…Que voulez vous, les Tchétchènes, même muz, ça reste des blancs; caucasiens en plus, vous vous rendez compte!

Alors, me direz vous à propos de tous ces gens-là, mais qu’est-ce qu’ils foutent chez nous, bordel? Eh oui, ce n’est pas d’aujourd’hui qu’on se pose la question. Je crois quand même posséder un commencement d’élément de réponse: en réalité, il ne faut pas s’y tromper, la raison de tout ce patacaisse bordélique c’est tout bêtement que chez nous…ben ce n’est plus chez nous…enfin plus vraiment. Et dans pas bien longtemps ce sera carrément chez eux!
Merci MM. Rebsamen et consorts…

Profitez en bien encore un peu, ça ne durera pas! A Dimanche prochain tout de même…si tout va bien…
Salut à tous.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Oui, parce qu’en Corse les choses apparaissent quelque peu différentes.

 

 

Un soupçon de racisme

Noire de monde, la Place de la Répupu hier après-midi! Quinze à vingt-mille jeunes-gens réunis autour du joli camion super-chouette de Mme. Assa Traoré, la sœur du martyre, vous savez, Adama, la victime expiatoire du racisme policier. Hier, la belle place avec sa grande statue de Marianne sur laquelle s’agglutinaient des grappes de gens de couleur, on aurait pu la rebaptiser Place Adama Traoré…d’ailleurs rien ne dit qu’on n’y arrive pas tôt ou tard; elle a du plomb dans l’aile, la République Franchouille, on la sent de plus en plus glisser en dérapage incontrôlé vers une situation de bordel généralisé. Plus rien ne résiste désormais à l’impuissante débilité d’un pouvoir incapable d’assurer ne fût-ce que l’application de ses propres décrets. Une grosse manif contre le racisme et les « violences policières » en plein état d’urgence sanitaire! Les rassemblements de plus de dix personnes faisaient, avant que le Conseil d’État ne décide le contraire, l’objet d’une interdiction! Toutefois les rassemblements de vingt-mille on les a tolérés, car il s’agissait de défendre les Valeurs sacrées de la diversité triomphante … merveilleuses, les Valeurs! On y a vu des pancartes « mort au blancs », entendu des slogans « mort aux Juifs » un peu noyés, certes, parmi les « mort aux flics »…mais bon, les pauvres noirs ont bien le droit de haïr leurs bourreaux, pas vrai… Et puis, force reste à la loi, vu qu’une poignées d’Indentitaires « venus perturber la manif » (Le Figaro dixit) au moyen d’une ignoble banderole prônant la « justice pour les victimes du racisme anti-blancs » se sont vu fissa coursés et embastillés par des forces de l’ordre, elles-mêmes présumées racistes…anti-blancs, sans doute… Mais non voyons!  le racisme anti -blanc c’est une invention pourrie d’ekstraimdrouate, nul n’est censé l’ignorer, un peu comme la loi…
Quant au Préfet Lallement, le petit farfadet à l’énorme casquette, il a fait ce qu’il a pu, voyez vous, en veillant bien à ne pas se faire piéger comme le dernier coup, lorsqu’il tançait l’automobiliste candidat-recalé à l’exode coronaviral. Il a confiné la manif des « Black lives matter » sur la place, en bloquant les issues de sorte que nos aimables émeutiers (ah? Vous croyez? Manifestants c’est mieux? Bon, ben si vous voulez, alors.) donc nos manifestants pour le droit des Blacks à nous cracher à la gueule et plus si affinités (plaît-il? Ça ne le fait pas non plus? Bon, décidément…) donc nos braves manifestants contre le racisme anti-nègres (ah, oui, pardon ça m’a échappé) le racisme des sales blancs et singulièrement des sales flics, ça va comme ça, zut, tout de même! Bon, ok, je poursuis… de sorte que les manifestants ne puissent quitter la Répupu que par une seule issue, bien encadrée par la flicaille. Bien sûr, pas question d’interpeller les organisateurs du bigntz, les occupants du superbe car susvisé, lesquels, équipés d’une sono à faire écrouler les murailles, haranguaient la racaille bigarrée et grouillante du parterre, les incitant à désobéir à l’autorité légitime et, par surcroît, républicaine. Hors de question de toucher un seul cheveu de la flamboyante Assa, laquelle pourtant arbore une tignasse à faire blanchir de jalousie Sibête N’Diaye! Non, vous comprenez, l’appel à la désobéissance et l’organisation de rassemblements interdits, tout cela ne saurait tenir la comparaison face au meurtre raciste de George Floyd et, depuis ce matin, de  Rayshard Brooks (1), dont on pourrait se demander, sans  l’opportune exhumation de l’affaire Traoré, ce qu’ils viennent foutre dans cette galère.  Y a bon Traoré! (désolé, je me répète mais je l’aime bien, celle-là). Feu Adama, tout le monde le sait, fut victime de sa seule insuffisance cardiaque assortie d’une volonté de fuir à toutes jambes les représentants de l’Ordre Républicain…et pour cause…  Mais il faut considérer que la Bien-Pensance a pour les Traoré les yeux de Chimène, que France-Info , pièce essentielle de notre Service Public d’endoctrinement audiovisuel,  prodiguait dès Vendredi de judicieux conseils pour participer à la manif illégale sans risquer de choper le Covid, et aussi, last but not least, que le sieur Castapiane, notre excellent Ministre de l’Intérieur, promettait en début de semaine de régler leur compte aux flics, et ce dès le moindre soupçon de racisme. Cela fait beaucoup, pour un petit préfet de police dont la mission, bien plus que de maintenir l’ordre tant bien que mal, consiste avant tout à servir la soupe à Élysée et à ses satellites. Il ne restait donc comme choix à ce pauvre Lallement que de contenir la manif sans effleurer si peu que ce soit le plus insignifiant des manifestants, fût il blanc de peau. Dieu merci, les salauds d’identitaires opportunément débarqués au milieu de la mascarade lui offrirent l’occasion de cravater une douzaine de salfachos sous les vivats d’une négritude qui n’en espérait pas tant.

Alors, bien sûr, taxés de racisme par tout ce qui pense convenablement dans ce curieux pays et menacés de sanction par leur propre Ministre Castapiane, les fonctionnaires de police la trouvent un peu saumâtre. Faut les comprendre, aussi, les Roycos, ils connaissent bien les réalités, eux, ils se les coltinent tous les jours! En conséquence on voit mal comment ils pourraient aimer leurs tortionnaires du quotidien, Mohamed, Mamadou et consorts…oui, vous savez, les victimes de l’acharnement policier. Le rigolo de la Place Beauveau, réputé pour son cerveau assez peu performant, parla, comme à son habitude, avant de réaliser la portée désastreuse des conneries proférées. Il eut beau rétropédaler, comme disent les gens qui ne font pas de vélo, le mal était fait et la volaille tout entière montait sur ses ergots! La suspicion de racisme ne passe pas dans les commissariats! D’ailleurs ils ne sont pas racistes, les keufs, sauf peut être les descendants d’immigrés et encore… Sans compter que ces derniers, à titre de supplément gratuit, se voient accusés de traitrise par les supporters de la famille Traoré! Traitres à leur race… oui d’accord, le mot est rayé du vocabulaire bien-pensant, mais en l’espèce il ne s’agit nullement de racisme, juste de la conséquence, fâcheuse bien sûr, du comportement haineux des poulagas à l’égard de la Très-Sainte-Diversité.
Quoi qu’il en soit, on n’en finit plus de voir des flics balancer à terre leurs menottes pour marquer leur dégout face à la stupidité ambiante, largement soutenue par les media, et au comportement dhimmi de l’ineffable Castapiane. Du coup, ils en appellent au Président de la Répupu… les pauvres, ils vont être servis! Et dès ce soir, je vous en fiche mon billet!

Oui, parce que selon toute probabilité, nous assisterons sur le coup de vingt heures, à un exercice dont notre cher Présipède possède désormais la maîtrise la plus achevée: le baratin creux sur fond de décisions à la con relatives au coronavirus. Comme toujours, on sait plus ou moins à l’avance ce qu’il va nous sortir…plus ou moins car le petit futé a souvent dans son sac un tour de cochon dont il s’était gardé de parler aux folliculaires, la surprise du chef, en somme!
On sait dores et déjà de source sûre qu’il n’évoquera pas la nouvelle mission refilée par son petit pote Ferrand à son autre petit pote Griveaux. Nous sommes dans l’utilisation rationnelle des compétences puisqu’il s’agit de conduire une réflexion relative à  la Base Industrielle et Technologique, en abrégé la B.I.T. ! Du sur-mesure, quoi. Sauf qu’après réflexion, pour éviter les malveillances sarcastiques, les gros malins de l’Assemblée ont estimé judicieux de rebaptiser la chose Base Industrielle et Stratégique…ça ne veut pas dire pareil mais on s’en fout, c’est juste imaginé pour mettre un peu de beurre dans les épinards de l’ex-futur maire de Paris. Qu’il puisse au moins payer quelqu’une pour s’occuper de son cas (comme on disait au temps du vieux Brantôme)…
Il ne dira sans doute rien non plus de la nouvelle mode, celle qui consiste à déboulonner les statues nauséabondes des esclavagistes négriers ou prétendus tels. Pourtant il devrait s’en méfier, le petit coquin, la combine couvre un large spectre! Ça va de Christophe Colomb à Winston Churchill, en passant par Colbert, ce qui ne gênera pas trop la Répupu, Voltaire, c’est tout de même Les Lumières qui morflent, Jules Ferry, en plein dans la cible et jusqu’au Général de Gaulle, cré vain dieu, là on nous titille les points sensibles! Il évitera donc de traiter le sujet, ce qui pourrait, on ne sait jamais, envenimer ses rapports avec la toute puissante famille Traoré… Tout cela est si grotesque qu’on se croirait presque revenu au temps de Léonarda! Le Président qui se laisse enfumer par une petite pétroleuse sans rien dans la tronche…mieux vaut pour lui qu’il évite le sujet, Présipède, faudrait surtout pas qu’on aille lui dégotter un soupçon de racisme, à lui aussi!

Allez, écoutez le bien religieusement, il va nous déconfiner à bloc, le petit Macrouille!
On se reverra Dimanche prochain… si tout va bien. Bonne semaine à tous!

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Le malfaiteur abattu par les flics d’Atlanta alors qu’il s’enfuyait, non sans leur avoir piqué un taser. N’oubliez pas ce nom, vu qu’il s’agit d’un afro-amerloque on n’a pas fini d’en entendre parler.

Robinette for president!

Le jeune garçon vaquait, tranquille et paisible, à son occupation du moment, laquelle consistait à voler un joli scooter quasiment neuf.  Et voilà-t-y pas qu’une ordure de flic, tout à coup, lui déboule sur le râble à la sauvage et lui colle un gros pain dans la gueule! Résultat un œil au beurre noir! Non mais vous vous rendez compte! Où ça va, ça, flûte!  En voilà assez des brutalités policières, faut que ça cesse, m’enfin, on ne reconnaît plus notre France comme dit ce cher Méluche, le pourfendeur des injustices de toute nature…excepté celles qui touchent les braves-gens (n’ont qu’à se démerder, ceux-là!) Parce que tout de même, à bien y regarder, après une espèce de parenthèse enchantée au cours de laquelle le coronavirus tenait seul la vedette, le pays revient dare-dare à ses vieilles lunes foireuses. Il a suffi d’une histoire de noir amerloque proprement zigouillé par un policier -blanc et mal intentionné- pour faire ressurgir chez nous le machin qui pouvait, avec un peu d’imagination malveillante, ressembler vaguement à l’affaire en question et donc permettre aux gauchiards de se remettre à flot sur leur activité favorite, la manif destructrice de biens publics et plus si affinités! Voilà donc exhumée fort à propos la vieille histoire d’ Adama Traoré. Y a bon Traoré! Tous les ingrédients y figurent! Un gentil malfaiteur d’origine malienne né chez nous comme ses dix-sept frères et sœurs, une Chance Pour la France, pur produit des Allocations Familiales, venu nous offrir toute la richesse de sa culture diversifiée, toute sa générosité désintéressée de « jeune » au grand cœur, hélas un peu fragile. Mort au cours d’une arrestation mouvementée, ce cher Adama -Allah ait son âme- sert désormais de prétexte à la branche hexagonale de Black Lives Matter, black lives m’atterrent!
Et les voilà donc tous repartis de plus belles, tous ces gauchiards de mes deux, tous ces enfoirés, trotskos, antifas, anars, racialistes, gauchemmerdeurs de tout poil juste bons à foutre le bordel et fouler au pied les chouettes mesures anti-covid si bien édictées par nos gouvernants en marche pour désinfecter le déconfinement. Exploitant admirablement la naïveté niaise de pauvres couillons convaincus que dans le monde entier les méchants policiers brutalisent et massacrent les pauv’ noirs malheureux et opprimés, les manifs, réglées comme des montre suisses, se diffusent de Minneapolis à Washington, de Paris à Londres et de Berlin à Sidney, répandant à la fois la connerie et le coronavirus partout alentour.

Le problème c’est que ce genre de plaisanterie, on sait quand ça commence mais pas quand ça finit. L’affaire George Floyd démarre d’une arrestation brutale dans la ville, au demeurant tout ce qu’il y a de plus démocrate et peu portée à la mansuétude vis à vis de l’actuel président des States, de Minneapolis. Un poulet municipal répondant au patronyme évocateur de Chauvin -un descendant de franchouilles!- qui asphyxie délibérément le Floyd précité en lui chevauchant la gargamelle pendant huit interminables minutes. Un meurtre caractérisé comme en atteste une vidéo sans ambiguïté montrant l’agonie du pauvre type comme si on y était. Bien sûr nous ignorons les évènements qui ont précédé l’arrestation, mais on en voit et on en entend assez pour s’éviter la peine de chercher des excuses au précité Chauvin. Jusque-là rien de particulier à ajouter, l’affaire apparaît limpide.
Cela dit, l’évènement n’a pas tardé à servir de soutien aux propagandistes anti-Trump, c’est à dire la quasi-totalité des media de la planète. Au bout de deux ou trois jours, la combine fonctionnait si bien qu’on imputait déjà au gros Donald, lequel n’en pouvait mais, la responsabilité pleine et entière du drame.
A tel point que l’affaire surgit, dès Mardi matin, alors que nous étions tous réunis DERRIERE NAPOLEON afin de célébrer comme il convenait, la réouverture enfin acquise du bistrot de Thérèse. Grauburle en personne prit le premier la parole en ces termes: -« Putain, les amis, vous avez vu Trump? Il massacre les négros maintenant! Le mec il a étranglé à mort un type qui se baladait tranquillement dans la rue, dites donc! »
Provoquant ainsi la réaction d’un Foupallour, remonté au pastaga et, semble-t-il, mieux informé…encore que…
-« Tu déconnes, Marcel, tu te fous le doigt dans l’œil jusqu’au fond du calbute ! En réalité Trump il a donné l’ordre aux flics de zigouiller tout les blacks, c’est pour ça qu’il a claqué, le zigue en question. Mais il ne l’a pas buté lui même, qu’est-ce tu crois, pauv’ cloche, les présidents ça ne tue jamais en direct, juste ça donne des directives, comme on dit… ensuite, les autres, les sous-fifres, ils exécutent! C’est pas pour rien, d’ailleurs, qu’on appelle la chose « exécution », ça veut dire un assassinat fait sur ordre des grands chefs, voilà la vérité! »
Alors, malgré l’ébriété montante des différents participants, il fallut tout de même rétablir les faits dans leur réalité, pour ce que l’on pouvait en connaître, bien sûr. Mais cela vous donne une idée, cependant, de la tournure vicelarde d’une campagne de désinformation directement destinée à ressouder les rangs démocrates autour le la falote personnalité du challenger Biden, adversaire désigné du gros Donald à la présidentielle de Novembre prochain. En hommage au black trucidé il met le genou à terre, Joe Biden, geste que le Président en titre n’ose pas tenter car il ne serait pas certain de parvenir à se relever sans le secours d’un palan voire d’un treuil. A soixante quatorze ans, quand on accuse plus de cent-dix kilos, mieux vaut éviter les prises de risques! Déjà qu’il se balade sans masque, le rouquemoute! Alors que le candidat démocrate, lui, malgré les quatre années de plus qu’il trimballe, apparaît svelte et élancé comme un jouvenceau d’à peine soixante balais! La génuflexion ça ne lui fait pas peur au camarade Joseph-Robinette…Ben oui, c’est son blaze à Biden, Robinette, ça vous la coupe… enfin façon de parler… mais je vous jure que c’est vrai, d’ailleurs j’ai découvert ça sur Wikipedia, alors, hein? Même si de l’autre côté de l’Atlantique, Robinette comme prénom ça devrait moins tirer à conséquences que par chez nous, on comprend quand même que le type se fasse appeler Joe, c’est plus sobre et moins connoté…pourtant si par malheur il était élu, il faudrait qu’il y passe, au moins à la faveur de sa prestation de serment. C’est bien comme ça que le monde entier apprit un jour qu’Obama se prénommait Barak-Hussein, c’est moins catholique que Robinette mais ça fait aussi son petit effet! Alors, compte tenu, entre autres, du boulet George Floyd, accroché à sa cheville, le père Donald pourrait bien se ramasser une gamelle retentissante en Novembre. Par conséquent, la probabilité que Robinette rie (1) le dernier pourrait fort bien se concrétiser. J’en connais qui rigoleront moins, genre Hank Hulley, mais si l’obèse de White House continue à se coltiner une réputation d’assassin de descendants d’esclaves, je le sens mal barré pour la suite des évènements. A part quelques millions d’abrutis à stetson , d’affidés du Ku-Klux-Klan et de marchands de charbon, les Amerloques voteront Robinette, c’est forcé…surtout les plombiers, cela va de soi.

En toute hypothèse, pour les politicards qui ont eu à se dépatouiller de la crise du virus chinetoque l’avenir apparaît nuancé. Vous avez ceux qui s’en sortent avec les honneurs, genre Angela et son voisin d’Autriche, gens couverts de louanges vu qu’ils avaient les moyens de s’en sortir et qu’ils s’en sont servis; et puis les autres, style Présipède porteur d’un bilan désastreux découlant d’une accumulation de conneries sans équivalent, et aussi, justement, le gros Donald qui ne pouvait pas faire grand chose, le virus relevant de la responsabilité des pouvoirs locaux, mais à qui on a pris soin de faire porter le chapeau. Pareil pour Bolsonaro, le tueur en série du Brésil, qui se voit imputer tous les macchabées du pays juste parce qu’il s’est déclaré contre le confinement.
En raison de l’imminence du scrutin c’est bel et bien le Président des États-Unis qui craint le plus. Pas tellement à cause des morts du covid, moins encore en raison de l’affaire Floyd qui dans cinq mois sera aux oubliettes. Son problème, à Trump, consistera à faire en sorte que ses électeurs lui pardonnent la crise économique issue du coronavirus… et aussi qu’un max d’Amerloques évitent de voter Joe Biden, ce qui, au fond, pourrait peut être réussir vu sa tronche de pet…
Certes, me direz vous, mais après tout on s’en secoue bien la robinette! Ce n’est pas faux non plus, ça…
Écoutons donc plutôt les propos lénifiants du Professeur Défraîchi, chef du Comité Scientifique de Macrouille: « Laissez les vivre » a t-il dit à notre propos, le savant, rompant ainsi avec trois mois de la confinomanie la plus intransigeante! Alors, n’est-ce pas, si c’est Défraîchi qui le dit…

Vivons, donc! Et, partant de ce principe, je vous souhaite à tous une semaine idyllique, amusez vous à bloc…si vous pouvez..

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Fallait bien la placer, que voulez vous!