En attendant Charlemagne

Cette fois-ci, cela se passe à Rambouillet. Et pourquoi pas Rambouillet, je vous le demande? A l’évidence le pays est vérolé de partout, vous pouvez, pour peu que vous ayez l’allure d’un Kouffar, c’est à dire d’un infidèle, si vous voyez ce que je veux dire, vous faire zigouiller n’importe où sur l’ensemble du territoire métropolitain. Aujourd’hui, circuler dans nos rues s’apparente à la progression en pleine jungle primaire, vous risquez à tout moment de rencontrer un machin féroce prompt à vous sauter à la gorge sans vous laisser la moindre chance d’en réchapper. Je n’en disconviens pas, pour peu que vous portiez l’uniforme la probabilité devient alors énorme…peu importe la livrée, du moment qu’elle peut vous assimiler à un stipendiaire de la Répupu, elle vous transforme illico en cible; seuls peut être y échappent les éboueurs, vu qu’il apparaît souvent difficile de les prendre pour des descendants de Gaulois. Cela dit, même vêtu en civil, évitez surtout d’aller prier dans les églises, ça c’est hyper-dangereux et le sera de plus en plus. Qu’il s’agisse des exemples bien connus de Saint Étienne du Rouvray et de Nice, ou bien de ce qui arrive quotidiennement aux pauvres vieilles inconscientes, se morflant des crachats voire des jets de cailloux -bien heureuses s’il ne s’agit pas encore de cocktails molotov, mais ça viendra- en guise de pénitence au sortir du confessionnal.
Donc, pour en revenir à Rambouillet, il ne s’agit en somme que d’une histoire tout à fait banale, on se demande bien pourquoi en faire un foin pareil! Jamel Gorchene, un Tunisien arrivé frauduleusement en France et régularisé par la suite, comme tout clandestin qui se respecte, exerçait la noble profession de chauffeur-livreur, métier en pleine expansion, surtout depuis le confinement et les opportunités qu’il offre d’arrondir les fins de mois en faisant un peu de livraison de drogue. D’une pierre deux coups, en quelque sorte, ou, plus exactement comme disent les Ritals « un viaggio, due servizi » (1), vous livrez pour UPS et, par la même occase, un peu aussi pour Mohamed le droguiste de votre cité. Il semblerait donc, peut être à cause des fréquentations liées à ce type de procédure, que notre chauffeur-livreur Rambolitain se serait radicalisé -comme on dit- au cours de ces derniers mois. Toujours est-il que ce charmant jeune homme -au demeurant bien sous tout rapport si l’on en croit les voisins interviewés comme il se doit par BFM-TV-a estimé judicieux, Vendredi passé, de se précipiter sur une malheureuse fliquette qui ne faisait de mal à personne, non armée, juste chargée de l’accueil au commissariat de la ville, et de l’égorger dans le plus pur style aït el kébir tout en gueulant la célèbre formule passeport pour le Paradis d’Allah et ses soixante-douze petits culs, je veux dire Allahou Akbar!
Dieu merci (pas Allah, pour le coup) les collègues de la pauvre femme offrirent à l’ami Jamel un aller simple pour les félicités en question, par l’intermédiaire d’une volée de bastos tirées quasiment à bout portant -ce qui se révèle toujours préférable vu l’imprécision légendaire des armes de service-. Bref, une sinistre ordure de moins, certes, et encore heureux que l’idée d’embastiller les poulets tueurs d’assassins issus de l’immigration (et parfois y suent des pieds, aussi, comme disait San Antonio) soit un peu passée de mode. Rappelons qu’il y a deux-trois ans tout au plus, ces braves agents eussent bénéficié d’une commission d’enquête bœufs-carottes, susceptible de les envoyer directement devant un juge, ce dernier étant tout à fait capable de les foutre en examen pour meurtre aggravé. On note tout de même, semble-t-il, de minuscules améliorations comme ça, qui nous laissent penser que d’ici un petit siècle nous pourrions sans doute envisager de coller les malfaiteurs en prison…mais d’ici-là, ne nous faisons pas d’illusion, ce sont les peines prévues par la Charia qui s’appliqueront dans notre belle Répupu devenue Islamique. Il reste que les enfants de la victime se retrouvent désormais privés de leur mère, c’est Allah et son Prophète qui doivent être contents!
Et bien sûr, tout le monde condamne avec la plus grande fermeté, le geste barbare. Cachsex proclame que c’est la Répupu qui a morflé grave, Présipède rend visite à la famille, et le procureur spécialisé enquête mordicus sur le point de savoir s’il s’agit vraiment d’un attentat terroriste (eh oui, des fois qu’on aurait affaire à une querelle de voisinage, ça soulagerait vous savez). Tout va donc pour le mieux, nous attendons juste de savoir les horaires de la marche blanche et du lâcher de ballons…avant de passer à autre chose.
Oui mais voilà, passer à autre chose on voudrait bien, on a le covid, Thomas Pesquet, Robinette Biden tout ça, pour les media c’est pain béni, certes, sauf qu’en même temps ça pète à Trappes, à Vaulx en Velin, à Bourgoin-Jallieu, à Toulouse, à Muret, à Lille, à Roubaix, à Tourcoing et même à Aubenas! Vous vous rendez compte, Aubenas, en Ardèche, ben oui, là aussi, c’est ça le vrai visage de l’invasion! Le Ramadan c’est tous les soirs fête, avec feux d’artifices tirés dans la gueule des policiers et jets de toute sorte de projectiles sur les pompiers venus éteindre les incendies volontaires. Comme dit l’ineffable Valérie Pécresse: il est difficile de ne pas voir que l’immigration pourrait, au moins en partie, être la cause de ces désordres. En effet, elle a raison Mémère, ça devient difficile!
Et même Le Figaro, dont la prudente bien-pensance constitue l’un des piliers les mieux enracinés dans le parisianisme bourgeois, commence à s’y mettre. On y lisait hier le compte rendu d’une audience consacrée à deux « jeunes » chopés en flagrant délit de feu d’artifice orienté et de cocktails molotov à la santé des flics. Il s’agissait de Moussa et de Samir, un renvoi de bas de page précisant « les prénoms ont été changés« … Ah bon. mais c’est nouveau ça, avant quand on rebaptisait (façon de parler) ce genre de zigoto on leur collait des prénoms de chez nous, où bien, à l’extrême rigueur et pour faire plus vrai, des petites choses comme Dylan, Bryan ou Derek. Mais pas Moussa et Samir, m’enfin, ça pue l’amalgame à plein nez, pas vrai? Pourtant nos amis du Figaro, désormais, y vont carrément, je dois vous l’avouer c’est presque pire, ça veut dire qu’on s’y est tellement habitués qu’on ne cherche même plus à planquer la merde au chat… Cela dit, les deux compères, majeurs de fraîche date puisque nés en 2002, sans doute conçus dans l’euphorie des attentats du 11 Septembre 2001 (ils s’appelleraient chacun Oussama, cela ne surprendrait personne), s’étaient fait coxer en pleine action violente, à casser allègrement du poulet et du pompelard. A l’évidence deux racailles de la plus belle eau! Ils n’en furent pas moins relâchés aussi sec, sous un contrôle judiciaire dont on se demande bien comment il pourrait réellement s’appliquer, avec renvoi au mois de Juin prochain. On les jugera peut-être, en effet, s’ils viennent et si leurs avocats ne trouvent pas une astuce pour l’éviter…mais de là à penser qu’ils pourraient le cas échéant être condamnés…oui, peut être à des travaux d’intérêt général, qui sait, l’occasion d’une belle partie de rigolade en perspective…

Je ne sais pas vous, mais moi, en tout cas, je commence à douter sérieusement qu’on puisse se sortir d’une embrouille de ce calibre. Nous en sommes encore à envisager de confier le gouvernement du pays à des enfoirés qui, depuis quarante ans, ont accompagné cette œuvre sinistre de démolition. Depuis Giscard jusqu’à Macron en passant par Mitterrand, Chirac, Sarko et Hollandouille, ils nous ont tous, sans exception, enfoncés dans le trou qui s’apprête à nous ensevelir vivants. Les seuls qui n’aient jamais trempé dans la combine restent les affidés de la Marine, voilà le choix où nous en sommes réduits et qui nous sera une fois encore subtilisé, car les électeurs franchouilles n’auront jamais le courage de s’y résoudre majoritairement. Alors il faut faire quoi? Peut être attendre, après tout, le retour de Charlemagne, celui que les Andorrans vénèrent encore dans leur hymne national, après treize siècles, pour les avoir débarrassés des Arabes…En revanche, on risque d’attendre longtemps, il ne nous reviendra pas de si tôt le vieux barbu florissant, et, dans l’intervalle, bonjour les dégâts comme on disait jadis. Préparons nous à vivre dans un autre pays, qu’on parte ou qu’on reste ce sera le cas de toute façon!

Sur ces joyeuses considérations, passez une bonne semaine et réjouissez vous, le printemps arrive et nous pourrons, prochainement peut être, consommer en terrasse…en attendant le re-confinement suivant.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Littéralement: « un voyage, deux services »

Un sacré ramdam!

On ne plaisante pas avec le ramadan. Moi, je dois vous l’avouer, quand j’étais petit j’ignorais totalement de quoi il pouvait s’agir, je connaissais, bien sûr, l’expression « faire du ramdam » mais n’en tirais aucune conclusion sérieuse sur le sujet en question. Sachant qu’il s’agissait de tapage je ne cherchais pas à en savoir plus, sans quoi j’aurais appris bien avant l’invasion de notre pays, le sens étymologique du terme. Et c’est bien du ramadan qu’il s’agit, le ramdam désignant, depuis la colonisation tant honnie des pays du Maghreb, le chambard qui accompagne après le coucher du soleil les libations joyeuses de nos amis les musulmans. Ce sont des choses que l’on apprend par la suite, n’est-ce pas, et surtout, hélas, lorsque l’expérience vient nourrir d’une réalité vécue et bien concrète, l’appréhension du phénomène. Ayant la chance, encore aujourd’hui, d’habiter un lieu préservé des influences ultramarines, je dors paisiblement la nuit, et même pendant le neuvième mois du calendrier hégirien. Tout le monde ne peut pas en dire autant parce que si vous avez le malheur de vivre dans un quartier islamisé, même partiellement, vous avez de plein droit votre dose bien tassée de tapage nocturne, avec obligation de supporter en fermant votre gueule, pour éviter les accusations inévitables de racisme, sans préjudice des représailles dont il pourrait grave vous cuire, le cas échéant. En cas de ramdam sous vos fenêtres, donc, évitez à tout prix de vous lever pour aller vociférer en chemise de nuit contre les braves-gens qui vous privent du sommeil du juste, sachez qu’ils ont raison puisqu’ils appliquent les préceptes dictés par Dieu à Mahomet, et qu’on ne rigole surtout pas avec ça. Forts de leur bon droit-coranique vos voisins se trouveraient alors fondés à monter vous faire la peau, voire plus si affinités, et vous auriez alors bonne mine pour peu qu’un juge d’instruction un tant soit peu rigoureux vous foute en examen sur votre lit d’hôpital pour incitation à la haine raciale. Vous croyez que j’exagère? Malheureusement non, enfin pas trop, je me contente de dérouler le raisonnement jusqu’à sa conclusion logique.
Suivez moi bien, vous allez voir. Déjà, le premier jour du mois sacré, nous apprenions la mise en accusation de l’eau d’Évian. Ces salopards de marchands de flotte ont eu le culot, un jour pareil, de balancer tout azimut des messages publicitaires invitant la population à boire au moins un litre d’eau par jour! Vous vous rendez compte?… Comment ça « non »? M’enfin, tout de même, vous savez bien qu’il est hors de question de boire ni manger quoi que ce soit entre le lever et le coucher du soleil, vous blaguez ou quoi? Comment ça, vous vous en foutez? Ah oui, d’accord, vous êtes de confession catholique! Et c’est tout ce que vous trouvez comme excuse! Eh bien figurez vous qu’en fait d’excuse ça constituerait plutôt une circonstance aggravante! Catholique! C’est quoi encore cette connerie, vous devriez avoir honte! Estimez vous heureux que je ne vous dénonce pas, tiens! Catholique, a t-on idée! Apprenez donc un peu à respecter vos concitoyens, fussent-ils pas très catholiques, sans quoi vous allez à de grosses emmerdes, c’est moi qui vous le dis! En tout cas, ils se sont excusés, Evian, Allah est Grand, tout rentre dans l’ordre mais on a eu chaud, vous savez, sauf que malgré tout on évitera de boire avant la nuit, histoire d’éviter toute provocation. Donc vous voyez bien jusqu’où tout cela peut aller, n’est-ce pas, inutile de vous faire un dessin, j’espère, et encore heureux qu’on ait interdit la publicité sur le pinard, sans quoi on allait directement à l’affrontement armé, un peu comme à Epinay ces derniers temps.
Parce que depuis deux ou trois nuits, à Epinay ça barde, l’avantage du Ramadan c’est qu’à partir du moment où le soleil s’est couché on peut casser du flic tout à loisir. Vous me direz, Ramadan ou pas c’est pareil, les jolies émeutes se passent toujours entre 22 heures et 3 ou 4 heures du matin et ce pour différentes raisons, la première étant que les « jeunes » vivent plutôt la nuit, c’est plus en rapport avec leurs habitudes, le désœuvrement s’accompagnant souvent de grasses matinées très prolongées. En outre, on remarquera que l’utilisation de mortiers de feu d’artifice pour mettre sur la gueule aux keufs encerclés, produit des effets infiniment plus télégéniques; ce genre d’escarmouche en plein jour manquerait à l’évidence de pittoresque autant que d’éclat. Et puis, dans tous les cas, il apparaît beaucoup plus avantageux, dans l’ordre tactique, de tendre les embuscades en nocturne, cela désoriente pas mal le poulet et encore plus le pompier, ce dernier cédant parfois à la panique ce qui peut se révéler infiniment plus drôle pour les jeunes agresseurs. Une centaine de sauvages hurlants surgissant tout à coup de l’obscurité pour donner l’assaut ça produit toujours son petit effet, forcément. Ainsi, voyez vous, si ces charmants bambins font un peu de ramdam, le ramadan n’y est pas pour grand chose… encore heureux sans quoi ils manqueraient d’amusement, les pauvres gamins, pendant onze mois sur douze, à Dieu ne plaise, Allahou Akbar!

Oui, Allahou Akbar comme disait Kobili Traoré en balançant la pauvre vieille Sarah Halimi par sa fenêtre. En somme c’est un peu ce qu’on appelle en droit pénal une excuse absolutoire. Je sais bien que l’argumentation qui a présidé, de la part des très hauts magistrats cassationnaires, à l’absolution de cet épouvantable assassin était un peu différente mais je vous fous mon billet que si le type -hypothèse d’école évidemment- se fût écrié « vive Jésus » ou même « montjoye Saint Denis » en défenestrant la malheureuse, le verdict eût été différent. Parce que voyez-vous, invoquer Allah, pour nos excellents juges, c’est se placer illico dans le camp des victimes, des parias de la société blanche, colonialiste, raciste et suprémaciste. Dès lors on n’a plus le même regard, la même sévérité, on s’adoucit, on comprend, on excuse, on absout, je dirais presque amen si ce n’était pas parfaitement déplacé en compagnie de « au nom du Peuple Français » dont le caractère éminemment laïc ne supporte aucun joug religieux, excepté bien sûr les petits accommodements avec l’Islam. Donc cette saloperie d’ordure de Traoré, patronyme prédestiné s’il en est, s’est vu définitivement blanchi…oups pardon, pas fait exprès, je ne le ferai plus, je voulais dire lavé de toute accusation, car au moment de son acte le fauve se trouvait en proie à une bouffée délirante liée à l’absorption de stupéfiants. C’est y pas stupéfiant ça, en effet? Voilà un salopard qui s’est camé à bloc pour s’en aller faire la peau à une infortunée vieillarde, n’est-ce pas, eh bien il a eu raison, il a fort bien fait! Pas responsable, voilà, circulez y a rien à voir. On va le laisser encore un peu à l’asile, comme on disait dans le temps, et puis on le remettra gentiment en liberté. Allah est Grand, ne croyez-vous pas? Il récompense ses serviteurs zélés, notre Justice de la Répupu aussi! Sachez donc, braves-gens, qu’avant de commettre un crime il est fortement conseillé de vous envoyer une bonne dose de came, selon les principes jadis en vigueur chez les Hashashînes, ceux d’où vient le terme « assassin », qui se donnaient du cœur à grandes lampées de haschisch avant d’aller zigouiller le pauvre monde. Ce faisant vous ne serez pas condamné, quelle que puisse être la gravité du forfait … Oui, bon, enfin, si par malchance vous vous appelez Christophe Saintecroix ou quelque chose comme ça, ne vous y risquez pas trop tout de même, je ne vous garantis pas le résultat.

Il est certain en revanche que l’excuse musulabsolutoire dont je vous parlais plus haut marche à tous les coups. Nous venons à nouveau d’en observer l’éclatante démonstration à l’occasion du verdict en appel du procès des incendiaires de flics de Viry-Châtillon (voir Un Pegida à la française?). Seize assaillants identifiés, cinq condamnations de cinq à seize ans de taule et huit acquittements! Pas de problème, tout ce petit monde sera dehors illico ou sous peu et pourra enseigner dans les quartchiers la meilleure façon de foutre le feu aux bagnoles de police avec leur contenu. Pour couronner le tout, mais au point où nous en sommes plus rien ne saurait surprendre, le verdict a provoqué un sacré ramdam dans la cour d’assises, bagarre générale au prononcé, du jamais vu! Ils se sont tous mis allégrement sur la gueule, ces charmants chances-pour-la-france, ça cognait de partout, entre eux, sur les gardes, sur les jurés! Il a fallu évacuer fissa les magistrats, des fois qu’eux aussi se morfleraient quelques gnons sous le mortier! Enfin bref le bordel arabe, comme on disait dans le temps…mais je ne devrais pas user de pareille terminologie, je vais finir moi aussi par m’y retrouver, devant les juges, et je me brosserai évidemment d’excuse absolutoire, y a pas de raison! Zigouiller du Juif, cramer du poulet, tout ça, c’est réservé à une élite prophétisée, mais surtout n’en faites pas état, ça pourrait vous coûter très cher… Un peu comme les amendes pour non-respect du couvre-feu, vous savez, certaines notes préfectorales exigent de la tolérance (sic) vis à vis des populations musulmanes par temps de ramadan… faut comprendre, le soleil se couche bien après 19 heures et la première prière du matin à la mosquée c’est 5 heures pétantes, on ne va tout de même pas les verbaliser dans ces conditions, nos fidèles de l’Islam, ce serait leur faire offense. Donc, amis de la maison poulaga allez-y mollo sur le carnet à souches, avant de verbaliser un contrevenant assurez-vous d’abord qu’il n’émarge pas chez Mahomet, ce n’est certes pas très laïc mais c’est beaucoup moins dangereux car ces derniers seraient sûrement capables de vous planter un sacré ramdam, si vous voyez ce que je veux dire!

Bonne semaine, les amis, et à Dimanche prochain si Dieu en est d’accord.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

Le Prince qu’on sort

Ce pauvre Tapie, tout de même, quand on y pense un peu, pas vrai? Molesté chez lui, en pleine nuit, par des cambrioleurs du genre très méchant, lesquels en plus s’en sont pris à sa femme, traînée par les cheveux dans toute la maison, à grands coups de tatanes un peu partout pour lui faire cracher la cachette du coffre! Alors qu’il n’en ont même pas, de coffre, enfin c’est ce qu’ils disent les deux vioques, et en plus cela ne nous regarde pas, ce sont leurs oignons. Là où ça commence à devenir instructif c’est lorsqu’il a raconté l’histoire, le Nanard-Yop-la-Boum, l’équipe des malfaiteurs se trouvait, selon ses dires, constituée de trois messieurs noirs et d’un gentleman de type maghrébin. Nanar vous le connaissez, pas vrai, ce genre de personnes ce serait plutôt sa tasse de thé, voire son godet de pinard (ce que, toutefois, la religion des intéressés proscrit absolument). Du coup entre deux beignes dans sa pauvre gueule ravagée par la maladie et pendant que son épouse préférée s’en morflait plein les côtes, les miches, voire même certains endroits encore plus sensibles, il a tenté de les amadouer, le pauvre malheureux, « je leur ai dit que j’avais toujours été de leur côté« …ce à quoi il lui fut sobrement répondu « va te faire enc…« , le geste n’étant toutefois pas -dieu merci- joint à la parole. Même à l’époque où il faisait du vélo ce type n’avait jamais connu pareille vicissitude!
Et c’est bien vrai qu’il s’est toujours posé en défenseur acharné de l’immigration et des immigrés, le Nanar, toute sa vie, à l’époque de sa flamboyante munificence, en tout cas, il lutta avec l’acharnement des convaincus (mais ils auront leur revanche) contre les amalgames, les discriminations, les préjugés racistes, de même que pour le vivre-ensemble, le touche-pas-à-mon-pote, les chances-pour la France et tous les ustensiles liturgiques du culte de la dhimmitude immigrationniste. Alors, je ne dis pas que c’est bien fait pour sa gueule, à cet ex-étoile du grand guignol médiatico-politique, mais je ne vous cache pas qu’il figure au tout premier rang de ces grands thuriféraires de l’invasion dont l’action constante et la parole obstinée contribuèrent si bien à faire de notre pays l’infâme déversoir qu’il est devenu aujourd’hui. Sans Nanar et ses pareils, les buses de tout plumage qui nous ont obligés par leur pression constante et irréfragable, à nous laisser envahir sans même nous demander notre avis, il est tout à fait probable que, le bon sens prenant un jour ou l’autre le dessus, l’horreur eût pu être évitée. Tous ces gens-là, les Gauches et leurs auxiliaires républicouilles de ventre-mou, ont favorisé ce qui ressemblera bientôt à un génocide. Le nôtre! Nous en paierons tous le prix exorbitant, force est de constater que le sieur Tapie et sa malheureuse conjointe ont commencé, pour ce qui les concerne, à régler l’addition…étant précisé que bien des anonymes crachent depuis longtemps au bassinet, et la plupart ayant hélas pris beaucoup plus cher encore et sans avoir, eux, rien demandé. Je fais donc partie de ses sales fachos imbéciles vilipendés par le fils de Nanar – au demeurant un minus habens notoire- pour avoir dit que lorsqu’on mollarde en l’air on ne doit pas s’étonner de s’en reprendre ensuite plein la tronche. Pourtant je persiste et je signe, l’abruti d’ekstraimdrouate a toujours de la suite dans les idées, c’est bien connu.

Il n’a d’ailleurs qu’à se baisser un peu pour ramasser, l’abruti précité. Il nous en tombe de tous côté, des vertes dans le style de celle qui veut empêcher les gamins de nourrir les rêves que ce vieux réac de Saint Ex. connut avant eux, des pas mures comme les histoires de vaccin si propices à la contrepèterie (1) faute de rassurer le bon populo, et aussi des blagues à la turque, l’équivalent en matière d’humour des toilettes éponymes en matière féc…oui enfin bon, vous avez compris.
Et justement, comme grosse blagouille ottomane, le camarade Erdogan, (Récep-Tayip pour les intimes) vient de nous en servir une à se pisser dessous de saine et franche rigolade. Figurez vous la visite à Ankara, au palais impérial du zigoto en question, des sommités de l’Union Européenne, je veux dire Mme. Ursule Von der Leyen présidente de la Commission de Bruxelles (une fois) accompagnée de M. Charles Michel (une fois également, car c’est du belge) président lui aussi, mais du Conseil Européen. Alors me direz-vous, la grosse Commission, le Conseil, tout ça, finalement c’est un peu le même cierge qui coule (2), personne ne saurait distinguer, d’autant que leurs couillonnades communautaires on s’en secoue le rossignol comme dans une pissotière d’Istamboul! Eh bien non, tout faux, que nenni, absolument pas, en cherchant bien on trouve des différences, je vous le prouve illico, sur le champs et c’est le Grand-Turc précité qui nous en apporte une démonstration aussi éclatante que désopilante à s’en faire péter la sous-ventrière.
Or donc la scène se passe dans le grand-salon du susdit palais. Ce sacré farceur d’Erdogan, flanqué de mémère Ursule et de Charlot Michel, désigne deux fauteuil, fait signe à son invité masculin de poser son gros cul sur l’un et s’assoit sur l’autre… Et la dame Von der chose qui se retrouve debout, comme une gourde, vachement embarrassée. A ce stade on croit qu’il va forcément se passer quelque chose…mais pas le moins du monde, vous avez Charles le chauve qui regarde ailleurs en se disant « alleï, alleï, je ne sais pas me lever pour lui refiler la place, une fois donc, ça est un cas diplomatique, une fois… » Erdogan qui commence à dégoiser des trucs dans le micro judicieusement installé entre les deux sièges…et la Présidente Ursule, complètement déconcertée qui, voyant que personne n’en a rien à branler de sa gueule, finit par se rabattre sur le canapé à regarder les deux goujats deviser tranquillement sans plus la calculer, comme on dit puis.
Je dois vous l’avouer humblement, un numéro de ce calibre je ne l’avais encore jamais, vu; je n’imaginais même pas que ce fût possible! Fabuleux, prodigieux et sensationnel! Je sais bien que les mœurs évoluent, que les principes de galanterie inculqués jadis par ma mère bien-aimée s’en sont allés depuis longtemps en quenouille et que l’Islam triomphant nous en apprend des tonnes sur l’art des relations entre les mecs et les pisseuses, mais tout de même, là, reconnaissons qu’il fait très fort le Turc! C’est qu’il s’agit d’une telle énormité dans l’ordre diplomatique que nos deux potentats européens au petit pied auraient évidemment dû faire quelque chose, il leur crache à la gueule, là, Erdogan, carrément! Hors de question de laisser passer un affront pareil… Eh non! C’est là que ça devient à la fois super-rigolo et hautement catastrophique: aucun des deux n’a bougé, le Président du Conseil Européen s’écrase comme une grosse bouse devant le Calife et la Présidente de la Commission Européenne laisse pisser le karayaka (l’équivalent du mérinos, mais turc)! Moi, bien sûr la scène m’a fait marrer pire qu’un sketch des très regrettés Pierre Dac et Francis Blanche, c’est d’un drôle achevé, tout à fait extraordinaire mais simultanément ça fait peur, quand même! Vis à vis de ce pignouf islamiste nous sommes devenus de véritables paillassons! Ne nous étonnons pas qu’on le laisse construire chez nous de grandioses mosquées et de chouettes écoles coraniques: c’est lui qui tient le manche, ne cherchez pas les raisons, c’est juste, entre autres fantaisies charmantes, qu’il menace de nous balancer du jour au lendemain les trois ou quatre millions de « réfugiés » gardés en réserve aux portes de l’Europe… Merkel préfère qu’on ridiculise sa copine Ursule, d’ailleurs elle s’en fout bien pas mal du moment qu’elle finit son mandat tranquillement, la grosse! Quant à Charlot Michel, ce serait bien qu’il envisage sérieusement de se procurer une bonne paire de testicules, ça pourrait lui servir, tout de même, dans son métier de président.

Un qui n’en manquait pas, de roubignoles c’est, si j’en crois la rumeur, le défunt Duc d’Édimbourg. Voilà un garçon qui a connu la belle vie, vous savez, sans compter que ça a duré longtemps, cette affaire, cent ans dont les trois quarts comme époux de la Reine…comme dans La Belle Hélène vous savez:  » Je suis l’époux de la Reine, poux de la Reine, poux de la Reine… » vu qu’il parlait un français impeccable, feu le Prince Philip, il a dû se la déguster à maintes reprises, celle-là, et sur la musique d’Offenbach, ce qui, somme toute, est assez royal. Cela dit moi je l’appréciais, celui-là, allez savoir pourquoi, il m’était sympathique, sans doute parce que c’était un bon vivant qui n’est jamais passé à côté d’une occase de se faire plaisir, j’aime bien. Il empruntait parfois le Britannia, le yacht de la Souveraine, et à bord il faisait exactement ce qu’il voulait, il invitait qui lui chantait, n’est-ce pas, surtout des super-canons car en tant qu’officier de la Royal Navy, il tirait admirablement, il a même été décoré pour ça pendant la guerre…oui, enfin…
Et puis, je ne vous cache pas que je le connaissais depuis ma plus tendre enfance, ce mec. On le voyait souvent à la une des journaux et je me souviens très bien que mon père l’appelait le Prince Consort, parce que c’était en effet son titre officiel. Sauf que moi, à l’époque je comprenais le prince qu’on sort que voulez-vous, ça me parlait mieux… cependant je me demandais tout de même les raisons de ces sorties, peut être ne le sortait-on que par beau temps…allez savoir… Quoi qu’il en soit, on le sortira une dernière fois samedi prochain et puis terminé, ainsi s’en va la vie, paix à son âme.

Amitiés à tous et à la semaine prochaine si tout va bien.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Une petite pour la route: on pourra utiliser les vaccins, pour les mâles âgés?

(2) Selon San Antonio par Bérurier interposé : « faut pas confondre chaude-pisse et première communion, c’est pas le même cierge qui coule« .

Moi? Français…c’est la honte!

Ce n’est pas un intellectuel, Jean Foupallour, c’est même précisément tout le contraire; mais il faut toutefois lui reconnaître au moins une qualité, celle de maîtriser le contrepet bien plus sûrement que le pas-contre (oui je sais mais on fait ce qu’on peut). Et aujourd’hui, comme suite au discours de Macron il nous a sorti comme ça, ex-abrupto, faisant mine de s’adresser à ce brave Grauburle: « tu peux te passer de vaccin dans les régions où tu es! » Ce dernier lui rétorquant un truc dans le genre « mais non, pas du tout, regarde la carte, on est en rouge… » enfin, bref, complètement à côté de la plaque, forcément. Bon, moi je le connais, Jeannot, pratiquement comme si je l’avais fait (d’ailleurs il y a de ça, faut reconnaître) et j’ai illico flairé la coupure: une phrase un peu saugrenue avec vaccin dedans et proférée par un Foupallour déjà à moitié pété de rire, vous cherchez le « g » à intervertir avec le « cc » et vous y êtes aussi facilement que si vous eussiez pris un taxi. Faut juste connaître, quoi, et puis vous savez ce genre d’amusement, mieux vaut ne pas en abuser, c’est drôle cinq minutes, après ça gonfle. Vous en avez de très sympathiques, certes, comme « le boutre du roi remontait le confluent de la Garonne » ou bien encore « la jeune fille revenait de la ferme, pleine d’espoir, jusqu’à Pont du Jura« , mais outre le fait que ça tourne toujours plus ou moins autour des même thèmes, on s’en fatigue vite parce que vous avez des maniaques du genre de l’olibrius en cause qui vous en sortent des tellement compliquées que, faute de vous triturer les méninges à les résoudre, vous préférez encore passer pour un con. D’ailleurs, passer pour un con aux yeux de Foupallour cela constituerait plutôt la marque d’un bel esprit.
Et là, nous voilà encore une fois dans le garage de Marcel, vautrés sur les banquettes préalablement démontées de la 4L, en train d’assécher consciencieusement un bouteille de Ricard, celle d’un litre, bien sûr, on n’est pas des sauvages! C’est Pâques, comprenez-vous? On ne peut tout de même pas escamoter la chose, enfin je veux dire la résurrection de Notre Seigneur, ça s’arrose ces trucs-là, sans compter que nous autres Chrétiens sommes bien les seuls à posséder un phénomène pareil. Vous vous rendez compte, tout de même? Le Fils de Dieu, conçu par l’opération du Saint-Esprit, c’est déjà raide, enfin façon de parler bien sûr, mais que le Mec en question se fasse supplicier à mort par des salauds de Romains soucieux de passer la pommade à une bande de Juifs radicalisés, et tout ça pour nous racheter le péché-originel de Grand-Mère Eve, rien qu’à ce stade c’est plutôt balèze, le moins qu’on puisse dire. Mais que trois jours après l’enterrement Il se barre sans tambour ni trompettes, ressuscité comme pas un, (c’est bien la cas de le dire), ça personne avant Lui n’y avait jamais pensé et l’affaire reste à ce jour unique en son genre! Donc si cette sorte d’exploit fabuleux ne vaut pas un bon kilo de pastis à quatre mains, c’est à désespérer de la religion!
Cela dit, c’est vrai tout de même, avec une pointure du calibre de Jésus comme porte drapeau, l’Église tint le haut du pavé pendant une chiée de siècles. Forte d’un avantage compétitif de ce niveau, jamais elle n’aurait dû se laisser tirer la bourre par des minables même pas foutus de ressusciter les macchabées! Alors évidemment, aujourd’hui c’est devenu difficile à exploiter la résurrection, l’immaculée conception, la divinité humanisée par un Esprit, certes Saint mais légèrement coquin sur les bords, tous ces truc biscornus apparaissent un peu hardos à gober, j’en conviens. Cependant, si vous allez chercher la concurrence vous ne trouverez pas grand chose de plus crédible. Dieu qui dicte un manuel d’instructions à un gardien de chèvres analphabète, vous trouvez que ça tient la route, vous? Sans parler du contenu dudit bouquin, il en réserve quand même des gratinées, vous savez! Prenons un seul exemple, celui des damnés qui crament en enfer pour l’éternité: comme le dernier des abrutis se doute bien de l’impossibilité matérielle du système, la réponse existe, elle est prévue! En substance le malheureux dont la peau se trouve complètement brûlée a le droit de passer au magasin pour s’en faire attribuer une neuve…oui, de peau, vous avez capté le truc, et comme ça le brave damné repart pour les souffrances atroces jusqu’à la prochaine fois où il devra aller se changer…et ainsi de suite jusqu’au bout de l’éternité…vous comprenez, alors, pourquoi les Muz s’oublient dans le sarouel rien qu’à l’idée de morfler la condamnation en question, c’est autre chose que Guantanamo, croyez-moi!
Cela dit, le type qui est capable d’avaler pareille calembredaine, on ne voit pas très bien pourquoi il mettrait en doute la résurrection de la chair, où la virginité de Marie, dans l’ordre du farfelu on navigue un peu du pareil au même. Sauf que la fable chrétienne apparaît nettement plus sympa me semble-t-il, donc plus vendable, non? Vous ne croyez pas? En somme, si vous y regardez d’un peu près, ce qui a foiré, avec l’Église, c’est le marketing, voilà où le bat blesse! Ils ont déconné, à Rome, en négligeant la force de vente, quand on voit la gueule de nos curés d’aujourd’hui on le pressent déjà mais quand on les écoute, alors on comprend tout, pas la peine de chercher plus loin, avec des commerciaux de ce calibre, les parts de marché on peut leur dire adieu!
C’est bien, en tout cas, l’avis du vieux Maurice. Lui, faut savoir, quand il remplace son éternel demi-pression par quelque autre boisson un tant soit peu alcoolisée (vous ne voudriez tout de même pas qu’il picolât au Coca-Cola, le vieux birbe!) ça le rend encore plus amèrement critique qu’à l’habitude. Ce matin, comme sujet, il traitait la bénédiction urbi et orbi du camarade Bergoglio, le François 1er du pauvre.
« Qu’est-ce qu’on en a a foutre, hein, des bénédictions papales? Ça se comprenait au temps de Jean-Paul II, là oui, il y avait matière, on pouvait suivre, valider à l’aise, vu qu’il ne disait presque jamais de conneries, le Polak. Même avec le Chleu, là, celui qu’ils ont viré à paquet comme un tas de merde, enfin vous voyez, quoi…ah oui, Ratzinger, voilà, ex-Benoît XVI, oui enfin, même lui il ne déconnait pas trop, un peu intello, je ne dis pas, mais sérieux comme un pape. Alors que l’actuel, bordel de dieu, c’est à vous dégoûter du catholicisme! A croire qu’il roule pour la concurrence, on se demande! Son truc c’est et ça restera jusqu’au bout les « migrants »! Y en a que pour les envahisseurs, avec lui! Cherchez pas, il veut rayer l’Europe de la carte du monde civilisé, c’est ça l’objectif de Papa Francesco, l’enfoiré! Dieu merci personne ne l’écoute, sans quoi on n’aurait plus qu’à tirer l’échelle. Remarquez, il n’est pas tout seul à chercher la mort de nous autres, les Juges de la République franchouille de mes deux, même combat! Vous avez vu le coup de Cédric Hérrou? Non Jeannot, pas Hérrou-Bignolles -décidément les parents éthyliques ça aide pas dans la vie- je parle sérieusement! Hérrou, le passeur de clandestins, celui qui allait les chercher en Italie pour les ramener chez nous, pépère et décontracté! Eh bien nos braves juges ont dit un truc du genre, okay il a enfreint la loi, le Cédric, mais vu que ça partait d’une bonne intention, dans le but d’aider son prochain -pour causer comme Bergoglio- eh ben il a raison, on le relaxe avec les excuses pour le dérangement! Vous avez compris le coup? Ça signifie, y a aucun doute, que la loi on s’assoit dessus du moment qu’on aide les envahisseurs à nous finir le grand remplacement, c’est ça le message des juges! Ne vous foutez pas le doigt dans l’œil, ces salopards-là ont juré notre disparition…et la leur en même temps! Des juges qui défèquent sur la loi, moi je vous le dis, c’est très mauvais signe, comme dirait l’autre, on est foutu, on ne pourra jamais s’en sortir, impossible! »
Et là, évidemment, intervint la nécessité de se refiler dans le corgnolon, le quart de verre de Ricard qui commençait à se transformer en flotte par l’intermédiaire de glaçons victimes de l’effet de serre. D’où l’intervention opportuniste d’un Marcel Grauburle qui rongeait son frein depuis un bon quart d’heure.
« T’as raison, Maurice, foutu on l’est vraiment! Pour vous en dire une bien bonne, l’autre jour je causais avec le petit-fils de la concierge, un gentil gamin, vous savez, dix-huit ans et déjà en première année de fac, sérieux et tout, il me racontait une chose à vous mettre les roubignolles en hélice, z’allez voir! Donc, le bambin faisait allusion à des discussions avec ses potes, en l’occurrence le sujet c’était la nationalité. Chacun déclarait la sienne, vous voyez, une conversation entre jeunes, normal. L’un était algérien, l’autre marocain, le troisième portugais, un autre roumain…enfin bon, vous mordez le topo. Sauf qu’arrivé à son tour le rejeton de la pipelette il a bien fallu qu’il l’avoue… Moi? Français…c’est la honte! Et tout ça, bien entendu, raconté avec un accent beur à couper au couteau… Aucun doute possible, on est mal, comme ils disent chez Lidl … »
Rien à ajouter, vous ne croyez pas?

Joyeuse fin de Pâques… enfin si vous vous en sentez la capacité, et amitiés à tous.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN