Cette fois-ci, cela se passe à Rambouillet. Et pourquoi pas Rambouillet, je vous le demande? A l’évidence le pays est vérolé de partout, vous pouvez, pour peu que vous ayez l’allure d’un Kouffar, c’est à dire d’un infidèle, si vous voyez ce que je veux dire, vous faire zigouiller n’importe où sur l’ensemble du territoire métropolitain. Aujourd’hui, circuler dans nos rues s’apparente à la progression en pleine jungle primaire, vous risquez à tout moment de rencontrer un machin féroce prompt à vous sauter à la gorge sans vous laisser la moindre chance d’en réchapper. Je n’en disconviens pas, pour peu que vous portiez l’uniforme la probabilité devient alors énorme…peu importe la livrée, du moment qu’elle peut vous assimiler à un stipendiaire de la Répupu, elle vous transforme illico en cible; seuls peut être y échappent les éboueurs, vu qu’il apparaît souvent difficile de les prendre pour des descendants de Gaulois. Cela dit, même vêtu en civil, évitez surtout d’aller prier dans les églises, ça c’est hyper-dangereux et le sera de plus en plus. Qu’il s’agisse des exemples bien connus de Saint Étienne du Rouvray et de Nice, ou bien de ce qui arrive quotidiennement aux pauvres vieilles inconscientes, se morflant des crachats voire des jets de cailloux -bien heureuses s’il ne s’agit pas encore de cocktails molotov, mais ça viendra- en guise de pénitence au sortir du confessionnal.
Donc, pour en revenir à Rambouillet, il ne s’agit en somme que d’une histoire tout à fait banale, on se demande bien pourquoi en faire un foin pareil! Jamel Gorchene, un Tunisien arrivé frauduleusement en France et régularisé par la suite, comme tout clandestin qui se respecte, exerçait la noble profession de chauffeur-livreur, métier en pleine expansion, surtout depuis le confinement et les opportunités qu’il offre d’arrondir les fins de mois en faisant un peu de livraison de drogue. D’une pierre deux coups, en quelque sorte, ou, plus exactement comme disent les Ritals « un viaggio, due servizi » (1), vous livrez pour UPS et, par la même occase, un peu aussi pour Mohamed le droguiste de votre cité. Il semblerait donc, peut être à cause des fréquentations liées à ce type de procédure, que notre chauffeur-livreur Rambolitain se serait radicalisé -comme on dit- au cours de ces derniers mois. Toujours est-il que ce charmant jeune homme -au demeurant bien sous tout rapport si l’on en croit les voisins interviewés comme il se doit par BFM-TV-a estimé judicieux, Vendredi passé, de se précipiter sur une malheureuse fliquette qui ne faisait de mal à personne, non armée, juste chargée de l’accueil au commissariat de la ville, et de l’égorger dans le plus pur style aït el kébir tout en gueulant la célèbre formule passeport pour le Paradis d’Allah et ses soixante-douze petits culs, je veux dire Allahou Akbar!
Dieu merci (pas Allah, pour le coup) les collègues de la pauvre femme offrirent à l’ami Jamel un aller simple pour les félicités en question, par l’intermédiaire d’une volée de bastos tirées quasiment à bout portant -ce qui se révèle toujours préférable vu l’imprécision légendaire des armes de service-. Bref, une sinistre ordure de moins, certes, et encore heureux que l’idée d’embastiller les poulets tueurs d’assassins issus de l’immigration (et parfois y suent des pieds, aussi, comme disait San Antonio) soit un peu passée de mode. Rappelons qu’il y a deux-trois ans tout au plus, ces braves agents eussent bénéficié d’une commission d’enquête bœufs-carottes, susceptible de les envoyer directement devant un juge, ce dernier étant tout à fait capable de les foutre en examen pour meurtre aggravé. On note tout de même, semble-t-il, de minuscules améliorations comme ça, qui nous laissent penser que d’ici un petit siècle nous pourrions sans doute envisager de coller les malfaiteurs en prison…mais d’ici-là, ne nous faisons pas d’illusion, ce sont les peines prévues par la Charia qui s’appliqueront dans notre belle Répupu devenue Islamique. Il reste que les enfants de la victime se retrouvent désormais privés de leur mère, c’est Allah et son Prophète qui doivent être contents!
Et bien sûr, tout le monde condamne avec la plus grande fermeté, le geste barbare. Cachsex proclame que c’est la Répupu qui a morflé grave, Présipède rend visite à la famille, et le procureur spécialisé enquête mordicus sur le point de savoir s’il s’agit vraiment d’un attentat terroriste (eh oui, des fois qu’on aurait affaire à une querelle de voisinage, ça soulagerait vous savez). Tout va donc pour le mieux, nous attendons juste de savoir les horaires de la marche blanche et du lâcher de ballons…avant de passer à autre chose.
Oui mais voilà, passer à autre chose on voudrait bien, on a le covid, Thomas Pesquet, Robinette Biden tout ça, pour les media c’est pain béni, certes, sauf qu’en même temps ça pète à Trappes, à Vaulx en Velin, à Bourgoin-Jallieu, à Toulouse, à Muret, à Lille, à Roubaix, à Tourcoing et même à Aubenas! Vous vous rendez compte, Aubenas, en Ardèche, ben oui, là aussi, c’est ça le vrai visage de l’invasion! Le Ramadan c’est tous les soirs fête, avec feux d’artifices tirés dans la gueule des policiers et jets de toute sorte de projectiles sur les pompiers venus éteindre les incendies volontaires. Comme dit l’ineffable Valérie Pécresse: il est difficile de ne pas voir que l’immigration pourrait, au moins en partie, être la cause de ces désordres. En effet, elle a raison Mémère, ça devient difficile!
Et même Le Figaro, dont la prudente bien-pensance constitue l’un des piliers les mieux enracinés dans le parisianisme bourgeois, commence à s’y mettre. On y lisait hier le compte rendu d’une audience consacrée à deux « jeunes » chopés en flagrant délit de feu d’artifice orienté et de cocktails molotov à la santé des flics. Il s’agissait de Moussa et de Samir, un renvoi de bas de page précisant « les prénoms ont été changés« … Ah bon. mais c’est nouveau ça, avant quand on rebaptisait (façon de parler) ce genre de zigoto on leur collait des prénoms de chez nous, où bien, à l’extrême rigueur et pour faire plus vrai, des petites choses comme Dylan, Bryan ou Derek. Mais pas Moussa et Samir, m’enfin, ça pue l’amalgame à plein nez, pas vrai? Pourtant nos amis du Figaro, désormais, y vont carrément, je dois vous l’avouer c’est presque pire, ça veut dire qu’on s’y est tellement habitués qu’on ne cherche même plus à planquer la merde au chat… Cela dit, les deux compères, majeurs de fraîche date puisque nés en 2002, sans doute conçus dans l’euphorie des attentats du 11 Septembre 2001 (ils s’appelleraient chacun Oussama, cela ne surprendrait personne), s’étaient fait coxer en pleine action violente, à casser allègrement du poulet et du pompelard. A l’évidence deux racailles de la plus belle eau! Ils n’en furent pas moins relâchés aussi sec, sous un contrôle judiciaire dont on se demande bien comment il pourrait réellement s’appliquer, avec renvoi au mois de Juin prochain. On les jugera peut-être, en effet, s’ils viennent et si leurs avocats ne trouvent pas une astuce pour l’éviter…mais de là à penser qu’ils pourraient le cas échéant être condamnés…oui, peut être à des travaux d’intérêt général, qui sait, l’occasion d’une belle partie de rigolade en perspective…
Je ne sais pas vous, mais moi, en tout cas, je commence à douter sérieusement qu’on puisse se sortir d’une embrouille de ce calibre. Nous en sommes encore à envisager de confier le gouvernement du pays à des enfoirés qui, depuis quarante ans, ont accompagné cette œuvre sinistre de démolition. Depuis Giscard jusqu’à Macron en passant par Mitterrand, Chirac, Sarko et Hollandouille, ils nous ont tous, sans exception, enfoncés dans le trou qui s’apprête à nous ensevelir vivants. Les seuls qui n’aient jamais trempé dans la combine restent les affidés de la Marine, voilà le choix où nous en sommes réduits et qui nous sera une fois encore subtilisé, car les électeurs franchouilles n’auront jamais le courage de s’y résoudre majoritairement. Alors il faut faire quoi? Peut être attendre, après tout, le retour de Charlemagne, celui que les Andorrans vénèrent encore dans leur hymne national, après treize siècles, pour les avoir débarrassés des Arabes…En revanche, on risque d’attendre longtemps, il ne nous reviendra pas de si tôt le vieux barbu florissant, et, dans l’intervalle, bonjour les dégâts comme on disait jadis. Préparons nous à vivre dans un autre pays, qu’on parte ou qu’on reste ce sera le cas de toute façon!
Sur ces joyeuses considérations, passez une bonne semaine et réjouissez vous, le printemps arrive et nous pourrons, prochainement peut être, consommer en terrasse…en attendant le re-confinement suivant.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
(1) Littéralement: « un voyage, deux services »