Sus aux Curés!

Dans un français approximatif sublimé par un accent beur à découper à la tronçonneuse, il nous a expliqué, Alain… oui, enfin, cherchons pas… toute sa surprise à propos du massacre au hachoir de boucher perpétré ce vendredi par le jeune Pakistanais dont l’éducation lui fut naguère confiée par l’Aide Sociale à l’Enfance. A vrai dire il ne l’avait pas beaucoup éduqué, le susnommé Alain, car le moutard en question vivait tranquillement sa vie sans trop se laisser envahir par l’intervention parasite d’un mandataire de l’Administration franchouille. Il l’avait suffisamment connu, cependant, pour nous le décrire comme un gentil gamin, certes un peu introverti, mais tout à fait sans histoire et incapable de mal agir. Bon, on observera au passage la manière surprenante dont les éducateurs éduquent, étant précisé, d’ailleurs, que les gens n’ont jamais été aussi mal éduqués que depuis qu’il existe des éducateurs et, aussi, que l’Instruction Publique s’est muée en Éducation Nationale. Toujours est il que le jouvenceau en cause -appelons le Auguste, si vous le voulez bien, ça ira plus vite et nous serons ainsi dans le bon ton-donnait forcément tous les signes de la placidité la plus inoffensive, tout juste s’il ne montrait pas quelque gratitude à l’égard de ce pays d’accueil où l’on entre comme dans un chiotte d’autoroute. Bon, faut pas déconner, mais tout de même, un bon garçon, Auguste, à l’évidence une Chance Pour la France, c’est en tout cas ce qu’il promettait, Alain dixit. Car il s’intégrait déjà, n’est-ce pas, un boulot de peintre en bâtiment l’attendait de pied ferme, voyez vous, vraiment un brave gars, propre sur lui et tout, y a pas. Après, bien sûr, on peut aussi s’interroger sur l’âge véritable de l’enfant en question, vu qu’on lui donnerait facilement trente ans bien sonnés, à ce brave Auguste! L’Administration elle-même, c’est vous dire, saisie d’un soupçon de doute à cet égard, s’en était inquiétée devant un de ces innombrables juges chargés d’un tas de choses dépourvues de tout rapport avec leur mission régalienne; celui-là refusa catégoriquement de faire examiner Auguste, au motif qu’il importait de lui laisser toutes ses chances de s’insérer harmonieusement dans la société. Encore une belle réussite à verser à l’actif de la Justice de la République, elle n’en rate pas une! Pareil lorsqu’en Juin dernier, notre jeune ami s’est fait gauler dans Paris en possession d’un tournevis, ce qui lui valut un rappel à la loi bien senti…alors, me direz vous, un tournevis ça n’a rien de répréhensible. D’accord mais bon, quand l’outil mesure vingt centimètres et qu’il présente une pointe bien affutée à la meuleuse… En tout cas, l’aventure aura permis à ce cher Auguste de constater qu’on ne risque rien à se promener avec ce genre d’ustensile. Alors pourquoi pas un hachoir de boucher, pas vrai?
Et comme, par dessus le marché, il est con comme une valise pakistanaise, Auguste, il s’en est allé Vendredi dernier Rue Nicolas Appert zigouiller les blasphémateurs de Charlie-Hebdo, lesquels, toutefois, ont foutu leur camp en d’autres lieus depuis bientôt cinq ans.
Et tape, et tape, et tape avec ton hachoir,
Et tape, et tape, tu dormiras mieux ce soir
!
Comme le chantait si délicieusement le regretté Luis Mariano à propos des Lavandières du Portugal… Ah, bon, c’était un battoir et non pas un hachoir? Oui, sans doute, pour faire la lessive c’est mieux approprié, j’en conviens…cela dit je m’en fous, faudra le prendre comme ça, c’est moi qui décide, vain dieu! Et ce n’est pas cette vieille pédale de feu Luis qui pourra me faire changer d’avis, paix à son âme.
Et donc ce couillon d’Auguste, incapable de soupçonner le changement d’adresse du torchon satirique et convaincu, par conséquent, d’avoir affaire aux ordures qui insultent le Prophète, s’en prit à deux infortunés salariés de la société Premières Lignes, laquelle fait de la production télé, avec la dame Elise Lucet comme porte-flingue. Et tape, et tape…bref, en l’espace de quelques secondes, Auguste transforma en chair à saucisse ces deux employés qui se contentaient de cloper sur le trottoir. Après quoi notre charcuteur prit le métro direction Bastille où les poulets purent le coxer sans difficulté aucune. Car il demeure serein, l’ex-faux mineur, un bon rappel à la loi et ça repart, pas vrai? Il fait confiance à la Justice de son pays… même si ce n’est pas encore tout à fait son pays ça le devient, vu la foule sans nombre des Musulmans qui inondent ici les portiques et le reste. Sans compter qu’après tout, même à supposer que des juges le collent au trou au mépris de ses états de service en tant que Défenseur de la Foi, en taule il se trouvera comme un coq en pâte, choyé à bloc par ses petits camarades, ceux qui font la loi dans les geôles de la Répupu. Par dessus le marché le temps travaille pour lui, non seulement il pourra se constituer un chouette réseau, l’ami Auguste, mais encore cela augmentera mécaniquement sa durée de séjour en France ce qui le rendra encore moins expulsable, si tant est que le risque de reconduite à la frontière existât vraiment chez nous pour un bon musulman comme ce garçon.

Bien évidemment, l’aventure sanguinolente de notre héros du jour soulève un certain nombre de questions, au premier rang desquelles figure la désinvolture un peu criminelle sur les bords, de nos Pouvoirs Publics. Ces derniers autorisent allégrement l’accueil de myriades d’individus potentiellement dangereux, sous des prétextes divers qui relèvent tous de la bisounourserie la plus humanitaristement naïve. C’est bien sympa de se gargariser des droidlom et autres jolies idées issues des Lumières. Toutefois ce n’est pas Rousseau qui se fait hachoirdiser en pleine rue pendant qu’il grille innocemment une cousue, comme on disait avant l’arrivée de l’envahisseur. Il ne risque rien, Rousseau, et il n’a jamais rien risqué, d’ailleurs, ce sale con. En revanche, nous oui! Avec l’armée de sympathiques assassins pour la gloire d’Allah qu’on constitue sur notre sol depuis des décennies, l’avenir est assuré! Nous, pour ce qu’il en reste, d’avenir, ça ira toujours, mais nos fils, nos filles et leurs descendants auront, hélas, à déguster la compagnie délétère desdits nouveaux arrivants. Vous allez observer que je me répète, je n’en disconviens pas, c’est le propre de ceux qui ont atteint un certain âge…
Cela dit, pour ce qui concerne singulièrement Auguste, en voilà encore un qui, s’il était resté en dehors de nos frontières, aurait évité à deux pauvres fumeurs des ennuis en comparaison desquels les méfaits du tabac semblent roupie de sansonnet. C’est d’ailleurs vrai d’une partie des très nombreux auteurs d’attentats allahou-akbar, les non bénéficiaires du droit du sol. Quant aux autres, ceux qui naquirent en France par la grâce du regroupement familial et des allocations éponymes, nous pouvons considérer comme co-auteurs de leurs actes criminels tous les aimables corniauds qui ont œuvré à des titres divers pour nous offrir en victimes expiatoires à la fureur vengeresse du Très Miséricordieux.
Et, parmi tous ces misérables crétins, il nous faut bien compter nos amis de Charlie-Hebdo. Alors ceux-là tiennent le pompon! A ma connaissance, en effet, ces hurluberlus participent de cette mouvance gauchiarde qui a toujours encouragé l’invasion. Pas question chez ces abrutis d’émettre la moindre réserve sur le laxisme migratoire, bien au contraire, y a bon les immigrés, les vrais veux-je dire, les Mahométans quoi! La France colonialiste qui a une dette imprescriptible envers ces malheureux, tout ça, le dogme à la con des libertaires de la Gauche la plus hermétique, celle dont procède Charlie. Et donc, laissez venir à moi les petits musulmans…oui, sauf qu’ensuite ces aliénés du dessin dégueulasse ne trouvent rien de mieux que de se payer méchamment la gueule de leurs petits protégés dans ce qu’ils ont de plus sacré: l’Islam! Vous faites entrer le tigre dans le salon et, histoire de rigoler, vous lui passez la flamme du briquet sous les roustons! Après vous vous étonnez de la réaction du fauve! Et pour bien montrer que même pas peur, les survivants, bien planqués désormais dans un bunker tenu secret, récidivent paisiblement. Le rôle du tigre fut donc cette fois tenu par ce cher Auguste mais ça ne s’arrêtera pas là, la bête apprécie peu les brûlures, surtout aux endroits le plus stratégiques.
Il s’agit donc, selon ces connards de Charlie et tous les enfoirés qui les soutiennent, de défendre bec et ongles la liberté d’expression et, singulièrement, la liberté de blasphémer! Moi je veux bien, mais alors qu’on se contente de conchier les Catholiques, ceux-là tendront toujours la joue gauche. En revanche, les Muz on les a fait entrer chez nous, ils y sont et on les dorlote amoureusement de toutes les manières possibles, alors allons donc jusqu’au bout du raisonnement: ou bien on continue à les dorloter et on laisse en paix leur Prophète, ou bien on commence à s’en occuper vraiment et on les fout dehors à la première incartade. Il n’y a pas de moyen terme, vous savez, au point où nous en sommes rendus, c’est la soumission ou l’expulsion des dangereux… Bon ben je crois que le choix coule de source, pas vrai? Allez Charlie, oublie le Prophète, courage, sus aux Curés!

Passez donc une bonne semaine et faites bien attention où vous mettez les pieds.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

…Les souvenirs et les regrets aussi…

Une qui s’en fout complètement c’est Thérèse! Elle ouvre à sept heures du matin et tire le rideau à vingt heures, du coup les mesures anti-covid du Préfet ne lui sifflent même pas aux oreilles, le vent du boulet c’est pour les copains, ceux qui carburaient après minuit et jusqu’à l’aube, les lieux de perdition, en somme, rien à voir avec DERRIERE NAPOLEON établissement de parfaite tenue, accueillant les ivrognes diurnes, exclusivement. Juste qu’elle porte un masque, Thérèse, aujourd’hui ça n’a plus d’importance vu la gueule qu’elle affiche. En revanche, au début de nos relations, voilà plus de cinquante ans tout de même (1), c’eût été dommage, les clients auraient perdu une partie non négligeable du spectacle, étant précisé toutefois que le reste de sa personne eût suffi à maintenir bien haut le niveau d’attractivité du troquet. Comme quoi, le temps, contrairement à ce que pouvait raconter Voltaire (2), nous la joue bien plus massacreur que consolateur. Il détruit la beauté, transforme Vénus en fée Carabosse et les fringants jeunes-gens que nous fûmes en gérontes sexy comme des balayettes à chiottes. Juste une parenthèse, en 1969, figurez vous, nous connûmes une pandémie qualifiée « Grippe de Hong-Kong », un peu du même genre que notre actuel virus chinetoque comme quoi, soit dit en passant, ce genre de calamité provient toujours des bouffeurs de pangolins et de chauves-souris, un peu comme le vivre-ensemble franchit la méditerranée pour nous combler de ses bienfaits, si vous voyez ce que je veux dire. L’Asie le Coronavirus, l’Afrique le Coranovirus… l’Occident joue le rôle du réceptacle, le monde d’aujourd’hui est ainsi fait, dans tous les cas il faudra masquer nos gonzesses, voilà notre destin!
Mais revenons à nos moutons de l’année érotique, comme le chantait si justement Jane Birkin…oui, enfin, ce n’est pas tellement qu’elle chantait juste, confondons pas, j’entends par là (même si par là je n’entends pas grand chose, comme le remarquait si judicieusement Pierre Dac (3) alias le sar Rahbindranat Duval) mettre en évidence la justesse de ses propos susurrés en musique… comme année érotique on n’a jamais fait mieux que 69, mais les quelques unes qui suivirent n’étaient quand même pas mal non plus. Sauf, ainsi que je vous le rappelais -puisque le lecteur de céans trimballe la plupart du temps un joli paquet de décennies -, que cette année-là nous fumes frappés d’une vacherie de virus, lequel zigouilla tout de même trente et un mille pauvres bougres sur le territoire national. Tout à fait comparable au covid, la grippette en question, hôpitaux engorgés, malades entassés dans les couloirs, macchabées balancés au petit bonheur la chance dans des morgues plus ou moins improvisées, bref mime chose-pareil comme disait Mohamed, à l’époque. Sauf qu’à l’époque, justement, tout le monde s’en foutait éperdument, l’idée même de se confiner comme des pestiférés, ou de porter un masque comme des houris, ne serait venue à personne; loin de là, on en faisait des blagues, un peu du même type que celles sur les Biafrais, pour ceux qui en gardent le souvenir…genre « Quel est le sport favori des Biafrais? » Réponse « la course de côtes« ! Ou bien encore « Comment les Biafrais font-ils l’amour? Réponse « côte à côte! » En d’autres termes, la tragédie frappant une ethnie africaine -oui, parfaitement, des noirs qui crevaient littéralement de faim- nous faisait rigoler comme des baleines! Black lives… on s’en tamponnait le coquillard! Eh bien la grippe de Hong-Kong aussi, du moment qu’on pouvait y trouver matière à plaisanterie douteuse, tout le monde s’en gaussait sans arrière pensée. Et si Grand Papa ou Tonton Félix venaient à y laisser les quilles, eh bien c’était dans l’ordre naturel des choses, ils avaient fait leur temps, rien de plus! Mais pour tout vous dire, ce qui semble proprement incroyable, vu d’aujourd’hui, c’est que l’affaire ne passionnait personne, elle passait quasiment inaperçue! Que voulez vous, sans BFM TV et consorts, sans Présipède et ses sbires, mais avec des dirigeants politiques qui en avaient vu d’autres, incapables de vous raconter des âneries du style nous sommes en guerre; tu parles! la guerre c’était à peine vingt-cinq ans avant: entre ceux qui l’avaient faite et ceux qui l’avaient subie, il ne leur serait pas venu un instant à l’idée de faire l’amalgame -comme on dit puis- avec un gros rhume, vînt-il d’Extrême Orient!

En réalité, on le voit bien, les choses ont tellement évolué au cours du dernier demi-siècle que nous avons carrément changé de monde. De l’ancien-temps (comme disait mon paternel, mais à propos d’une période s’étendant facilement de l’Antiquité à l’avant-guerre de Quatorze) il ne nous reste plus que la dictature intellectuelle de la Gauche. Sauf qu’il ne s’agit plus du tout de la même Gauche, celle des années soixante et soixante-dix s’est dissoute dans la chute de l’URSS. Les hurluberlus tels que Sartre nous la joueraient bien différemment aujourd’hui, l’auteur biscornu de l’Être et le Néant se trouverait bien obligé de remplacer l’enfer c’est les autres par l’enfer c’est les blancs, ou quelque chose du même genre. La Gauche a bien cessé d’être prolétarienne, on le constate avec les pauvres Gilets-Jaunes, orphelins de père et de mère, abandonnés de tous, discrédités par les black-blocs, les racailles des quartchiers et leurs alliés bobos…Pour les Petits-Blancs c’est fini, la cause est entendue, ou plus précisément elle ne l’est plus, entendue! Rien à foutre de ces abrutis qui fument des clopes et roulent au diesel comme disait l’ineffable Griveaux  avant que de tomber les armes à la main! En témoigne le déchaînement de haine à l’encontre de ceux qui, catalogués Populistes, prennent encore fait et cause pour les pauvres européens d’origine. Au premier rang de ceux-là, Donald Trump, la bête noire des anti-blancs! Le Président des States fait l’objet, depuis son élection, d’une concentration sans précédent de médisances, diffamations, dénigrements, calomnies, déblatérations, clabaudages, tympanisations et autres critiques acerbes en forme de foutage de gueule! S’ils avaient pu lui monter un piège à la Watergate, ou bien lui trouver des histoires scabreuses à la Weinstein, voilà bien longtemps que le gros rouquemoute croupirait dans les poubelles de la politicaillerie amerloque… Manque de pot, le type manque singulièrement de vraies casseroles, sans compter qu’il est malin et organisé comme pas un. Du coup, à part le faire passer auprès des crédules pour un imbécile dangereux, les petits camarades de la Gauche Universelle s’y sont cassé les dents. Reste à savoir si quatre années de jeu de massacre méthodique autant qu’ininterrompu porteront leurs fruits en Novembre prochain… Personne n’en sait rien mais contrairement à la coterie internationale trumpophobe, j’en connais un qui y croit mordicus, Hank Hulley pour ne pas le nommer. Pour lui l’affaire serait dans le sac: avec cette pauvre Robinette en guise d’adversaire et toutes ces histoires de blacks insurgés autant que vindicatifs, la majorité silencieuse s’en ira aux urnes comme un seul homme afin de reconduire dans la fonction suprême (de canard, n’oublions pas qu’il s’agit de Donald) le seul rempart contre la dégringolade mortifère et diversifiée. Je le lui souhaite, à mon vieux pote, mais j’avoue rester tout de même sceptique, contrairement à Mme. Nancy Pelosi, la présidente démocrate des députés U.S. qui, elle, est une fausse sceptique! A preuve, elle s’est fait gauler à ne pas porter le masque au mépris des règles les plus élémentaires de l’anti-covidisme…elle ne croit même pas au coronavirus! Alors…

Et nous autres, dans tout ça, on devient quoi? Ben peu de chose, vous savez, on fait la guerre aux Turcs tout en combattant le virus, deux fronts, dites-donc, gonflé notre petit Présipède! Et puis il va bientôt lui falloir en aborder un troisième, de front, avec la campagne présidentielle qui s’annonce pour démarrer tôt! Fort de la nouvelle réputation d’homme de droite qu’il se forge, avec le soutien appuyé des media, d’Estrosi et consorts, il va s’en aller au combat la fleur au fusil, sans grande inquiétude. Les gens qui vont lui tailler quelques croupières, genre Xavier Bertrand ou la vieille Méluche, ne parviendront jamais à le virer du piédestal, et son alliée objective, la Marine, lui offrira un second tour dépourvu de danger. A vaincre sans péril on triomphe sans gloire, me direz vous, certes, vous répondrais-je, sauf que la gloire on s’en torche, si vous me passez l’expression, nous ne sommes plus au temps de Corneille, voyez vous? Même pas au temps de Pompidou, c’est dire…

Bonne fin de Dimanche à tous et bonne semaine d’Automne, nous y voici déjà… »les feuilles mortes se ramassent à la pelle…les souvenirs et les regrets aussi… »

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1)Voir Derrière Napoléon chapitre premier.

(2) « A celui qui console« …il parlait du temps qui passe. Il avait pourtant soixante balais, quand il écrivait cela… j’ai souvent du mal à le comprendre, ce mec!

(3) Un sketch d’anthologie, Pierre Dac et Francis Blanche déchaînés, en pleine possession de leurs moyens, quelque chose que nous ne verrons plus jamais, maintenant que nous avons des « humoristes »…cherchez sur votre moteur de recherche favori, le Sar Rahbindranat Duval, je le conseille autant à ceux qui connaissent qu’à ceux qui pourront le découvrir, ça aussi c’est le vieux temps, les souvenirs et les regrets!

Fesse-bouc et le Brigadier

Le taulier d’ici, M. Zuckerberg, me demande trois-cents Euros pour remettre mon blog dans son état natif, lorsqu’il marchait au poil, sans chausse-trappe, ni piège à cons, ni formules ésotériques par lesquelles on y voit aussi clair que dans le derrière de Mme. Taubira. Que voulez-vous, on n’échappe pas à son ancestrale culture et pour ce M. Montagne de Sucre (Dollarsberg eût sans doute été mieux adapté), il n’y a pas de petit profit. Qu’il aille donc se faire foutre, je me contenterai de ce qu’il me fournit gratuitement: un repoussoir à écriveurs! Je ne vais tout de même pas lui filer mon pognon à cet espèce de taré milliardairissime! Bref, foin de Zuckerberg et de ses manœuvres tordues, je poursuis vaillamment en espérant parvenir à m’adapter, tout en parant les mauvais coups, style « supprimer le bloc? »…si vous faites OK, comme un con, vous effacez tout ce que vous avez laborieusement gratté…sans espoir de retour.

En attendant, nous pouvons toujours discuter le bout de gras sur les petites nouvelles du front, je veux parler de la guerre picrocholine contre le virus chinetoque. C’est pain bénit, si vous regardez bien, cette affaire de pandémie, ça sert à tout: le bon populo se voit menacé des pires avanies en cas de non respect des gestes-barrière, du port obligatoire du masque, toutes choses qui mobilisent bien les cervelles et empêchent le vulgaire de faire du mauvais esprit. Vous avez bien quelques Gilets-Jaunes impénitents qui s’obstinent à défiler mais mollement, on sent que le cœur, n’y est pas , la flamme vacille, le feu sacré de la contestation un peu couillonne s’étiole et les Black-Blocs se font rares, la chose ayant perdu de son attrait. En même temps ça fait toujours plaisir, dans une conjoncture tourdefrancienne assez morose, de voir des Français en jaune… Oui, bon, le maillot c’est tout de même autre chose mais, dans ce pays il faudra désormais se contenter du gilet. La portion congrue c’est un peu notre quotidien!
Cela dit, nous avons tout de même des sujets de satisfaction. Cachsex est négatif au coronavirus. Il l’est d’ailleurs à peu près en tout domaine, négatif, au titre de la valeur ajoutée, veux-je dire. L’archétype du fonctionnaire, ce mec, comment voulez vous qu’il comprenne si peu que ce soit, l’espèce de gloubiboulga dans lequel nous voilà plongés. Il n’y comprend rien, le bougre, remarquez il n’est pas le seul, sauf que lui, il nous présente le plan de redressement à cent milliards… Il n’en est évidemment pas le concepteur, bien sûr, ces choses-là se concoctent chez les petits jeunes de Bercy à grosses tronches, mais peu importe, le plan c’est lui et le redressement…ben ça c’est autre chose. Tout ce qu’on peut dire, à l’heure où je vous parle, c’est qu’un jour ou l’autre il faudra bien payer la note. Comme tout le reste, l’invasion, le déconnage démocratique, l’écolo-couillonnisme, l’administration pléthorique et embolisée, la stupidité bien-pensante, les « valeurs de la Répupu »… La fuite en avant, en somme, ça finit toujours mal, les plaisanteries les plus courtes sont les moins longues (1) pas vrai? Et là, nous approchons le demi-siècle, ça commence à compter!

Reste à savoir de quelle manière nous pourrions nous tirer du pétrin.
A mon humble avis, il est déjà trop tard, le mal est fait, les chancres qui nous bouffent de l’intérieur apparaissent inexpugnables. Ainsi, imaginez une seconde que, par un sursaut de rébellion démocratique, une majorité d’électeurs courroucés envoient la dame Le Pen à l’Élysée en 2022, hypothèse d’école, certes, mais payons nous ce luxe. Eh bien je vous garantis le bordel absolu dans les délais les plus brefs! Toute l’Administration sans exception s’emploiera à lui savonner la planche et les media ne manqueront pas d’assurer l’accompagnement, comme on dit en musique. Même la flicaille faudra pas compter dessus, les petits flics se trouveront bien obligés d’obéir aux gros, que ça leur plaise ou non. Quant à l’armée, on voit mal comment elle prendrait la responsabilité de transformer la Répupu en dictature militaire, surtout pour des gens qui n’ont plus grand chose à voir avec elle, les temps ayant bien changé… Il ne lui resterait plus qu’à s’appuyer sur l’Europe, à la pauvre femme, toute honte bue, parce qu’il y a un peu de tout, là dedans, et en plus l’Europe c’est démocratique et légitimiste, contrairement à la France, laquelle accepte le verdict des urnes seulement lorsqu’il profite à la Gauche ou a ses supplétifs de la Droite Républicaine. C’est pourquoi, avec l’épouvantable bouzbir qui règnerait dans le pays, la malheureuse n’aurait d’autre choix que de plier l’échine en attendant l’énorme tuile qui ne manquerait pas de lui choir sur la gueule un jour ou l’autre. Si je vous dis tout ça, ce n’est certes pas pour essayer de vous influencer en quoi que ce soit, c’est juste pour dire la vérité…invérifiable d’ailleurs, la politique-fiction présente cet avantage que ce qu’on prédit n’arrive jamais, par définition! Que cela, toutefois, n’empêche personne de voter comme il l’entend: si certains des moutons de Panurge avaient fait la mauvaise tête, peut être eussent ils évité la chute du troupeau…oui d’accord, là je déconne!
Cela dit, nous allons continuer de plus belles sur le même chemin semé de zobes et pines (2) qui nous conduira immanquablement à l’ordre retrouvé, celui de la Charia… Oui, je sais bien, je me répète, et pourtant je ne vois pas d’autre issue, il faudra juste un peu de temps, Allah en dispose à revendre, mais je vous rassure, dans l’intervalle nous souffrirons de plus en plus, y a pas de raison!
Et simultanément, vous avez Sarkozy, l’antépénultième clown de la Répupu, qui cherche par tout moyen à ramener l’attention sur lui. Ce coup-là c’était chez Bartès, la petite coquine de « Quotidien », l’émission qui étrille la Droite. Il a sorti comme ça, Nicolas, un truc dans le genre on n’a plus le droit de dire nègre et si ça continue, même singe on ne pourra plus risquer… il s’attendait sans doute à déclencher un patacaisse de l’autre monde, avec toute la Bien-Pensance à ses trousses, taïaut-taïaut, à l’hallali, sus à la bête immonde, enfin vous voyez le genre. Ben non, macache-bono, que dalle, à peine deux ou trois réactions indignées juste pour marquer le coup. En d’autres termes, le bide! C’est vous dire à quel point ils s’en foutent, presque tous, à l’exception de quelques vieux birbes qui y croient encore, qui achètent ses bouquins, les nostalgiques de l’UMP, vous voyez? Dans le marigot politique, à part Ciotti, dont les qualités de loser font florès depuis lurette, personne n’imagine plus sérieusement un éventuel retour de Sarko, c’est plié! Surtout pas les plus charognards des Ripoublicons, genre Estrosi, Muselier et sans doute quelques autres, tous ceux qui prêchent ouvertement pour la paroisse de Présipède! Belle équipe, tout de même! Quand on pense aux candidats potentiels à la grosse veste électorale, genre François Babouin ou Pruneau Retaillé, pauvres ballots, c’est à se pisser dessous, je vous assure. Voilà bien des spécialistes du ratage de coche, désormais c’est foutu pour eux, comme ça l’est aussi pour cette espèce de Gauche à la con qui cherche à se reconstituer à partir des débris du Parti Socialiste, des sinoques Méluchiens et des écolo-siphonnés. Quoi qu’on puisse imaginer, en 2022 cela se jouera entre le petit Présipède et la Marine, on voit mal qui pourrait sérieusement venir troubler le jeu de trompe couillon…le rôle du couillon étant évidemment tenu par le corps électoral. C’est chouette la démocratie!
Après, on peut toujours espérer un miracle…il en fait Allah, des miracles?

Bonne semaine à tous et que Mark Zuckerberg vous ait en sa Sainte Garde.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Comme dit Marcel Grauburle (sans faire exprès…)

(2) Le dialogue du Brigadier dans la version que je connais, un petit morceau d’humour troupier comme on n’en fera plus jamais (peut-être est-ce préférable):

-Bites donc Brigadier, vous êtes bien vaginal ce matin! Où couillez vous si pédérastamment et en testiculant de la sorte avec votre appareil pornographique?

Je pars en sperme, par petites étapettes; je compte aller visiter les foutrifications et les putes de chaumont, en passant par ce petit chemin bordé de zobes et pines d’où l’on jouit d’un point de vulve particulièrement clitoresque. Et comme c’est jour d’érections, je sauterai dans le dernier vagin de l’automatrice afin d’aller aux burnes.

-Et enculeur comptez vous être de retour?

Eh bien, si je n’ai pas trouducupation, je compte revenir suce les couilles de bézouille-bézouille et deux bites;

-Parfait, Brigadier, alors anussez vous bien!


C’est beau le progrès!

Moi j’étais bien content. Depuis cinq ans je me débrouillais avec un blog tout à fait pratique, bien sous tout rapport, un peu facebookien, certes mais calme et tranquille contrairement au précédent, Onefoutus, lequel m’enquiquinait la vie au moyen de différentes fantaisies de présentation, de saisie de texte, de subtilités informatiques ingérables et puis, aussi, il faut bien le dire, avec l’épée de Damoclès d’une suppression toujours possible pour crime de malpensance. Je me transportai donc chez les Amerloques, adeptes pour quelques temps encore d’une liberté d’expression, certes de plus en plus restreinte mais largement suffisante pour votre serviteur dont ils se foutent comme de leur première dose de cocaïne, l’avantage de se trouver totalement ignoré apparaissant comme la garantie d’une existence douce et paisible. Jusqu’à présent tout allait bien. En revanche depuis ce matin me voilà au prise avec un piège à gogos, lequel sous couvert d’amélioration m’empêche de travailler correctement. Ils ont sorti un nouveau système tellement bien foutu, ces andouilles, que je ne m’y retrouve plus du tout. J’arrive à saisir du texte, rien d’autre, les fonctions de l’ancien système ont disparu et les nouvelles, bien que présentées en français, relèvent de l’ésotérisme le plus hermétique. Je n’y comprends que dalle et, n’ayant aucune envie de consacrer des heures à décrypter leurs innovations à la mords moi le clavier, je me contenterai d’aligner des mots en espérant parvenir à publier du présentable. On y va comme ça, à la guerre comme au coronavirus pour paraphraser vaguement Présipède.

Es qualité de réactionnaire impénitent, je trouve d’ailleurs surprenant, déroutant, déconcertant et déprimant, ce penchant vicelard qui pousse le monde entier à modifier les trucs qui marchent bien. C’est vrai dans tous les domaines, ça, un beau jour le désir, irrésistible autant qu’irrépressible, de changement prend le dessus. On n’y peut pas grand chose car il s’agit, au fond, de la mise en œuvre compulsive du sacro-saint concept de progrès, la marche en avant, mieux qu’hier et moins bien que demain, l’Humanité qui marche d’un pas allègre sur le chemin d’un futur porteur des plus riches promesses. Ça me rappelle un peu la Longue Marche du Grand Mao, vous savez, entre trente et cinquante millions de morts au bas mot… le progrès, quoi, comme la Belle Révolution Française et sa terreur génocidaire… le progrès, aussi, bien sûr. Tant qu’il y aura des hommes, pas forcément tous cons, d’ailleurs, ladite religion du Progrès les mènera par le bout de ce que vous pensez vers un destin incertain, risqué et potentiellement mortifère. Remarquez c’est vrai aussi pour les femmes, hein, attention! Elles ne font pas exception à la règle, bien au contraire, sauf que bien entendu elles se font mener par le bout d’autre chose, sans doute. Et puis, les femmes, après tout, ont des excuses, elles peuvent concevoir le progrès comme libératoire d’un certain nombre de contraintes sociales qui les entravaient…ce qui reste vrai chez nos amis Musulmans, pourtant choyés et adulés par les Progressistes, gens fort respectables au demeurant, à ceci près qu’ils considèrent le progrès comme la réalisation espérée de leurs fantasmes marxo-écolo-humanitaristes.

J’en étais-là de mes réflexions de vieux ringard rétrograde, lorsque Marlène, la femme du peintre, boostée par les trois ou quatre coupettes déjà descendues pour conjurer le mauvais sort covidesque, m’interpella en ces termes:
– « Décidément, mon pauvre vieux, vous trimballez toujours votre grosse couche de connerie, vous êtes incurable, vous savez! Mais qu’est-ce que vous racontez encore, là, le progrès, les nanas! Mais vous n’y comprenez rien du tout, vous n’y avez jamais rien compris et n’y comprendrez jamais rien, c’est foutu, cuit, râpé, enterré! Sans le progrès, vous seriez claqué depuis tellement longtemps que plus personne, même, ne se souviendrait de vous aujourd’hui! Quant aux femmes, malheureux, mais elles vous emmerdent, à pied, à cheval et en voiture (comme disait Papa)! Les musulmanes et les autres! Qu’est-ce que vous y captez aux femmes, hein? Parlez donc de ce que vous connaissez, le pinard, la navigation hauturière, le vélo à la rigueur…et après foutez nous la paix, on n’a pas besoin de vous! Et puis vous êtes vieux…et puis vous êtes moche…et puis vous êtes con! »
A ce stade de la conversation je lui signalai avoir déjà entendu sa dernière réplique quelque part…un film avec Serrault et Charlotte Rampling, sublimé par les dialogues d’Audiard, toujours inspirés d’une sorte de génie désormais disparu. On n’écrit plus ainsi, de nos jours. De toute façon, pour le cinoche, personne ne crée plus que des œuvres excrémentielles, tout juste bonnes à satisfaire aux critères progressistes de la commission d’attribution des avances sur recettes. Voilà, ça me revient « On ne meurt que deux fois« , il s’intitulait, le film en question, rien que pour les acteurs admirables au service des dialogues fabuleux, ça vaut le coup d’être exhumé…Preuve que c’est du balèze, Marlène qui nous en sert une réminiscence… Je lui ai coupé son effet, à cette vipère, c’est toujours ça que les Progressistes n’auront pas…
Il faut dire que Marlène, pour ceux qui s’en souviennent (1) c’est ce qu’on appelle une femme de gauche. Dans le genre vous auriez du mal à dégotter un autre spécimen de cette qualité. Alors forcément de temps à autres ça explose un peu, notamment quand votre serviteur s’emploie à tenir des propos blasphématoires…enfin, je veux dire attentatoires au dogme du progrès gauchiard, comme je vous disais plus haut. Ces gens-là se révèlent toujours chatouilleux au regard de leur catéchisme, d’autant plus qu’il part en quenouille, ce dernier, on ne sait plus trop ce qu’il en reste, « n’y touchez pas, il est brisé » comme disait l’autre… Leur rêve à la con ne tient plus qu’à un fil, alors ils s’emploient à éviter qu’il ne se rompe et ça les rend hargneux. Faut comprendre, assis sur la chaise pourrie ils craignent de tomber à tout instant le cul par terre, il y a de quoi stresser, pas vrai?

Et, bien sûr, vous en trouvez qui ont sauté le pas, les plus futés pas forcément les plus sincères, comme Maître Jean Trentasseur, le socialo-macronnien. Tous ces hurluberlus illustrent à la perfection le Théorème de Nouratin ( http://onefoutus.over-blog.fr/article-le-theoreme-de-nouratin-98087056.html) Marlène sincère et complètement aveuglée par son imaginaire utopique, Trentasseur qui, après avoir fait fortune dans le socialisme, se tourne désormais vers la Présipédie triomphante. On peut préférer l’une ou l’autre, en tout cas les deux sont nocifs.
D’ailleurs, comme il est parmi nous, à siroter, le néo-macroniste en question, je me plais à lui demander comment il le trouve, son petit président adoré, par exemple lorsqu’il engueule publiquement un journaliste pour avoir publié une information. Elle n’est pas mal, celle-là, Georges Malbrunot, qui n’est pas n’importe qui, en a fait les frais! Une volée de bois vert, il s’est morflé, le mec! Il avait écrit la petite histoire de Présipède qui se fait une gentille rencontre secrète avec le Hesbollah… Bon, d’accord, il n’y a pas de quoi être fier compte tenu de l’énormité du scoop: le Président de la République Française en personne qui s’en va négocier avec les terroristes, du jamais vu, tout de même! C’était la dernière ânerie à faire, évidemment, mais au moins, en pareil cas, on s’assure du secret total et absolu. Ben non, pas Présipède, lui il y va la bouche en cœur et, non content, il passe une branlée tonitruante devant tout le monde – à Beyrouth, s’il vous plaît, pour faire bon poids!- Le plus rigolo, dans tout ça, c’est que personne ne lui en veut, à Macrounette, de bafouer ainsi la liberté de la presse, imaginez un peu ce qu’on aurait entendu s’il se fût agi d’un autre, un personnage quelconque de la soi-disant Droite, genre Sarko, par exemple… Ben là, rien du tout, l’incident est clos, y a t-il même eu un incident, je vous le demande?
Il en pense quoi, de ça, Jean Trentasseur…eh bien il en pense que la liberté s’arrête là où commencent les intérêts essentiels de la France, voilà, circulez y a rien à voir! En revanche il nous en tartine une somptueuse sur les 150 balais de la Répupu, si dignement célébrés au Panthéon! Un siècle et demi, c’est y pas beau, ça? On oublie au passage la parenthèse de Vichy, les plein pouvoirs votés à Pétain par les dignes représentants de la IIIème et l’Etat Français qui s’en est suivi pendant les quatre années au cours desquelles « Travail- Famille-Patrie » remplacèrent au pied levé « Liberté-Egalité-Fraternité »… faudrait neutraliser, tout de même… Oui mais du coup ça ne ferait pas le compte! Cent quarante-six ans de bordel républicain ça ne se fête pas, vous comprenez, il faut un chiffre rond! Sauf que ça nous reporterait après 2022 et qu’un beau sermon républicain au Panthéon (ce jour là il avait tout l’air d’un curé en chaire, Présipède) ça fait toujours bien dans le paysage pré-campagne contre les Forces du Mal.
Interrogé sur le point de savoir s’il convenait vraiment de faire comme si les Heures les Plus Sombres etc…n’avaient pas existé, là aussi il détient la réponse, Trentasseur « la République a triomphé, au final, et le régime des collabos-fachos est censé n’avoir jamais existé ». Vae victis en quelque sorte! Malheur aux vaincus! Sauf qu’au bout du compte, le malheur finira par s’abattre sur nous tous, sans distinction…ne cherchez surtout pas quelque lien de cause à effet, surtout pas!
Mais soyez bien tanquilles, le Progrès nous tirera du pétrin, ayons donc la foi, bordel, comme dit le même Jean Trentasseur :  » Les Républicains de Progrès sont le ciment de notre grand pays« …d’accord y a trop de sable dans le mortier mais après tout ce n’est pas si faux que ça …

Pardonnez cet article, c’est exaspérant d’écrire dans ces condition-là.
Et à la semaine prochaine si j’arrive à trouver la solution de ce bourbier.

Amitiés à tous.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Voir Derrière Napoléon chapitre II (notamment).

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